La pulsion totalitaire des Verts

L’écologie politique contient les germes du totalitarisme le plus effrayant.

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1984 by Oscar Martinez Ciuro(CC BY-ND 2.0)

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La pulsion totalitaire des Verts

Publié le 21 novembre 2022
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L’écologie politique contient les germes du totalitarisme le plus effrayant, tout comme le fascisme et le communisme auxquels elle emprunte certaines méthodes dans sa mise en œuvre et la propagande de ses concepts.

 

L’écologie sur la pente glissante de l’inquisition

Certes, il n’existe pas (encore) un dictateur écologiste démoniaque mû par la haine des Hommes. Mais un enchaînement d’actes anodins peut favoriser l’apparition d’une machine meurtrière.

Dans l’esprit d’Hitler existait une profonde confusion entre les communistes et les Juifs (le « judéo-bolchevisme ») qui, à ses yeux, représentait la quintessence du mal.

Aujourd’hui, chez certains écologistes radicaux, une confusion existe entre la mondialisation industrielle et les capitalistes (le mondialo-capitalisme) qui serait à l’origine du réchauffement climatique et de la destruction de la planète.

Leurs « actions non violentes » de plus en plus violentes exercent en réalité des violences passives en limitant des libertés fondamentales, dont celles de circuler.

Les Européens goberont-ils encore longtemps les mensonges de ces « maîtres en écologie » qui sévissent maintenant au plus haut niveau pour établir les lois ?

Une écologie politique dogmatique abuse les Français en voulant leur faire croire qu’ils pourront vivre de vent et de soleil. Sa volonté d’imposer rapidement des règles contraignantes et de formater la pensée pour atteindre le nirvana écologique rêvé se heurte aux réalités physiques, économiques et humaines.

Ignorant délibérément la relation étroite entre l’énergie et les progrès socio-économiques, certains écologistes catastrophistes préconisent un retour à la pauvreté et à la misère durable par la culpabilisation et par la force.

Leur credo repose sur la décroissance qui passe par la réduction de la consommation d’énergie. Leur idéal obscurantiste vise l’organisation autoritaire de privations et de contraintes sévères touchant l’habitat, les transports et au final les libertés individuelles.

Abusée par une propagande écologiste qui les berce d’illusions, ces militants vivent dans le déni des réalités physiques. Leur discours catastrophiste est un étalage d’accusations gratuites et de lamentations.

Ces activistes écologistes d’Extinction Rebellion, de Greenpeace ou des Amis de la Terre, rêvent d’enrôler la jeunesse (lycéens et étudiants) dans leur combat. Ils vénèrent « l’exemple » de Greta Thunberg en brandissant des pancartes sur la menace du capitalisme pour la santé de la planète !

Cet endoctrinement, qui rappelle d’effroyables souvenirs (l’embrigadement des jeunesses hitlériennes), est inquiétant. Ce travail d’influence insidieux a pour objectif de culpabiliser les adultes « irresponsables ».

Il est urgent que la raison revienne car ces questions environnementales sont suffisamment sérieuses pour éviter de les polluer avec des peurs irrationnelles.

« Le pire ennemi de la vérité n’est pas le mensonge, ce sont les croyances ». (Friedrich Nietzsche)

 

Une politique écologiste suicidaire ?

Ces chevaliers blancs autoproclamés « sauveurs de la planète » pourraient conduire le Parlement à adopter une politique énergétique suicidaire pour notre pays sous la pression physique et l’intimidation d’une partie endoctrinée de la population.

Ainsi, à l’heure où la compétitivité de la France est devenue vitale dans une économie mondialisée, il reste à espérer que les élus de la nation dépasseront les clivages politiques et les considérations partisanes déclinistes pour orienter l’avenir des Français vers la richesse et leur éviter un effondrement social.

Ne pas le faire serait pire qu’une erreur, ce serait une faute devant les générations futures.

 

Un nouvel obscurantisme vert

Une nouvelle forme pernicieuse d’obscurantisme vert s’insinue dans les esprits au nom d’une valeur supérieure qui serait la Nature ou Gaïa.

Dans ce monde idéalisé, les mensonges et la propagande submergent les arguments techniques et économiques. Ces méthodes s’inspirent d’idéologies despotiques aux couleurs variées (brune, noire, rouge,..) recyclées aujourd’hui dans la couleur verte.

Cette écologie coercitive masque ses intentions à la fois sous des concepts séduisants et lénifiants (le monde vivra d’amour et d’eau fraîche) et en brandissant des épouvantails diabolisant les transports (avions, voitures…), l’industrie, les insecticides…

En s’appuyant sur des dogmes partisans, ces apprentis sorciers dénués de toute compétence technique tentent d’influencer les lois dans des domaines industriels et économiques sans seulement entrevoir les graves conséquences sur le niveau de vie, le confort et la sécurité des Français.

Avec l’aide des grands médias, ces nouveaux gourous verts abreuvent les Français, y compris des enfants, d’arguments séduisants mais faux comme : « la croissance et l’emploi en France vont revenir en développant les énergies renouvelables ».

Mais c’est le contraire qui se produit et se produira.

Lorsqu’un bateleur médiatique (élu ou non) se pose en défenseur de la planète au nom de l’écologie, il est persuadé de se trouver du côté des bons et des gentils. Tout ce qu’il promet va dans le sens d’une humanité plus solidaire, propre, autonome, responsable et juste. Les vérités premières qu’il assène deviennent une évidence. Ne pas les suivre relèverait de l’imbécilité et de l’égoïsme.

Cette caste d’activistes et « d’experts » parfois autoproclamés justifie doctement cet assassinat de la pensée rationnelle au nom de l’écologie en érigeant ses certitudes en dogme « irréfutable » et en s’arrogeant le droit de définir le Bien et le Mal.

 

Écologie et religion

Des écologistes et des religieux empruntent parfois des chemins parallèles, avec les mêmes discours, en utilisant de plus en plus des méthodes violentes pour faire triompher leurs causes.

L’écologie et la spiritualité, porteuses du meilleur et du pire, s’occupent respectivement de la protection de la nature et de l’âme. Ces deux forces remettent en cause la démocratie. Cette dernière laisse le dernier mot aux Hommes alors que les deux premières privilégient les valeurs naturelles et spirituelles considérées comme supérieures aux lois humaines. Elles s’opposent donc aux démocraties qui privilégient la liberté individuelle.

S’il existe une possibilité de détruire le Mal (aujourd’hui la civilisation occidentale), alors seuls les détenteurs du Bien (les militants écologistes) peuvent agir pour sauver la planète et l’humanité. Il faudrait être fou ou pervers pour s’y opposer.

Mais pour ces militants écologistes, sauver la planète et l’humanité implique la suppression de la liberté individuelle !

Les prophètes violents sont communs entre l’écologie et les religions. L’écologie s’est appropriée le Bien et le Mal de telle sorte qu’après le marxisme une nouvelle idéologie apparaît : l’écologisme.

Dorénavant, des juges condamnent même des États au nom du climat, comme hier d’autres l’ont fait au nom de Dieu, du prolétariat ou de la race.

L’émergence des dérives sectaires et violentes (véganisme, antispécisme, attaque de centrales nucléaires…) n’est pas due au hasard.

Si les démocraties n’y prennent pas garde, elles pourraient être balayées par ces nouvelles forces qui conduiront à de nouveaux totalitarismes et des désastres catastrophiques.

Ces idéologies aux relents nauséabonds peuvent se targuer de beaux succès catastrophiques dans l’Histoire du monde. Les chemises brunes, noires, les foulards rouges, verts et autres cols Mao sont autant de signes extérieurs de tyrannies ayant réussi brillamment, avant d’imploser devant les réalités économiques et physiques.

Pour le moment, l’écologie politique s’appuie sur des médias complaisants pour faire croire à sa légitimité. Mais son inconsistance se dévoilera un jour dans le monde réel. Sa volonté tyrannique se consumera alors sur le bûcher des réalités. Mais quand ?

Lorsque les supercheries se révèleront, il sera bien tard et le mal sera fait, et probablement pour longtemps.

Alors, assis sur un monde en ruines, une jeunesse soucieuse regardera à terre les folles illusions d’un monde effondré, car reposant sur du vent et du soleil, en se demandant benoîtement : « comment avons-nous pu en arriver là ? »

 

Une dictature verte en gestation ?

Les assassins de la liberté ont besoin de formulations creuses et grandiloquentes (« il faut sauver la planète ») qui émeuvent et rassemblent sous la bannière d’une écologie sympathique. Le pouvoir dictatorial s’impose ensuite. Les réfractaires « pollueurs » (par exemple des propriétaires de grosses voitures, de bateaux, ou d’avions) sont désignés à la vindicte médiatique et populaire.

Quelques siècles de pratiques de ces méthodes détestables ne permettent pas toujours de discerner ces agissements pernicieux qui contrôlent la pensée. Ils ont l’apparence d’un déroulement logique et rationnel alors qu’ils ne sont constitués que de syllogismes et de juxtapositions d’idées fausses martelées systématiquement.

Généralement, le peuple berné par la duplicité de ces manœuvres s’en aperçoit trop tard.

 

Le retour de l’obscurantisme

À l’opposé du siècle des Lumières et de son culte de la technique et du progrès, le XXIe siècle naissant affiche désormais sa défiance envers la technique et chacune de ses avancées. Elle scrute ses inconvénients pour la planète.

Au nom du dieu Nature, ce siècle marque le retour de la culpabilité de l’Homme, néfaste par essence à son environnement. Sa nécessaire contrition est liée au mythe d’une future apocalypse dont il serait responsable.

L’écologie politique brandit à la fois le spectre de la fin du monde et les délices d’un paradis perdu en manipulant les peurs.

La véritable écologie, c’est-à-dire la protection de l’environnement et l’arrêt du gaspillage des ressources, est une science qui fait appel à la technique, l’industrie, l’économie, ainsi qu’à la recherche.

Mais la politisation de l’écologie doit être redoutée car elle fait de la protection de la planète un projet prioritaire de société.

L’écologie politique ne doit pas être un fondement des relations sociales car les écologistes ne cherchent pas à résoudre les problèmes humains, sociaux ou économiques. Ils veulent avant tout créer une icône supérieure à l’Homme : la planète. Cette idole sacrée déciderait au-dessus de toute autorité humaine du bien et du mal.

Il ne s’agit donc plus d’un projet républicain mais d’une idéologie religieuse fondée sur un arbitraire au nom de la sainte quête du développement éco-durable où les véritables scientifiques sont mis au pilori comme falsificateurs aux ordres des industriels.

 

La défiance du progrès

L’écologie moderne se méfie de la civilisation et de l’industrie. Elle préfère un repli sur elle-même dans lequel l’auto-consommation, le retour à la nature primitive, à la frugalité et la « sobriété » deviennent des buts.

Ceux qui s’imaginent encore que l’écologie permettra d’aller vers un monde meilleur sont les dupes de l’histoire. Cette idéologie s’organise pour imposer une réduction du niveau de vie de l’humanité par la contrainte en détruisant le principal facteur de développement social et de compétitivité de toute économie : une énergie bon marché, en particulier l’électricité.

Aujourd’hui, l’écologie politique recherche le pouvoir pour faire de bonnes affaires financières. Elle veut obtenir le soutien financier des États et des industriels honnis, c’est-à-dire de tous les contribuables et consommateurs, ces vilains pollueurs.

Dans cette optique, elle a besoin d’un système autoritaire qui lui permettra d’imposer sa vision pour, selon elle, « le bien de la planète ».

 

Des méthodes sournoises

Les écologistes politiques utilisent des méthodes sournoises aux relents dictatoriaux pour s’imposer au peuple récalcitrant. Pour imprégner les esprits ils déploient une propagande médiatique tous azimuts afin de radicaliser, fanatiser, discréditer, jeter l’anathème, supprimer et interdire, toujours et encore au nom de la planète.

En poussant le raisonnement jusqu’au bout, le meilleur moyen de diminuer l’empreinte écologique de l’homme sur Terre est de l’exterminer pour le transformer en humus qui nourrira la Nature.

Finalement, se suicider serait bon pour la planète. Un bon humain, pour un « véritable écologiste », serait donc un humain mort.

Ainsi, sous sa vision écologique « ambitieuse » et idéaliste, le gentil écologiste Nicolas Hulot, comme dans la chanson de Jacques Dutronc, « a l’air sympa et attirant, mais, mais, mais… faites attention », c’est un dangereux bouffon !

Attention… l’écologie politique est dangereuse pour la démocratie et la liberté !

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  • D’accord sur le fond, mais je pense que vous mélangez trop les mots écologie et écologisme.
    L’écologie est l’étude des êtres vivants, de leur milieu naturel et de leurs interactions.
    L’écologisme est le mouvement (politique) qui met la protection de la nature comme priorité.
    Parler d’écologie politique n’est pas pertinent, l’écologie étant à priori apolitique, il s’agit simplement d’écologisme (je veux bien croire que la pratique de l’écologie mène facilement à l’écologisme mais pas nécessairement).
    Parler d’écologistes politiques est un pléonasme.

    • Ces subtiles distinctions de vocabulaire partent sans doute d’une bonne intention, mais n’aboutissent qu’à noyer le poisson (acte anti-écolo s’il en est). Les vrais écologues, ceux qui ne sont financés que par la soif de connaissances et le désir de comprendre, se comptent sans doute au monde sur les doigts d’une main. Alors laissons la distinction aux hommes cultivés, et nous, entre purotins, passons à autre chose.

    • En effet, l’écologisme n’en a absolument rien à faire de l’écologie, mais vu la tête des militants, on peut le comprendre tellement le niveau d’étude est bas…

  • Les parallèles avec la religion sont pertinents : l’Homme est coupable et doit racheter sa place au Paradis.
    L’écologisme n’est fort que parce que notre pouvoir est lâche. Les scores électoraux des écolos sont ridicules voire décroissants.
    Les vrais responsables de cette ambiance délétère sont les partis de gouvernement qui ne respectent pas le vote des Français.

    • Oui pour la comparaison avec la religion mais arrêtez avec cette histoire de place au paradis à acquérir. Dans cette nouvelle religion, il n’y a pas de vie après la mort, en tout cas pour les humains. Ce qui compte, c’est que gaia survive à l’homme. Point.
      Arrêtez aussi avec les scores des écologistes aux élections car ils ont réussi à intoxiquer la majorité de la population et des partis politiques avec leur idéologie qui est désormais dominante dans notre société. C’est pour ça que leurs scores restent faibles puisqu’a part le RN, tous les partis politiques sont écologistes.

  • Ecologie / Ecologisme ? Cela rappel les théories plus que fumeuses sur Islam et l’Islamisme.
    Le débat sur le sexe des anges est, en comparaison beaucoup plus serieux, et surtot, ne nuit a personne, Alors que Manipuler l’opinion qu’il ya derriere, Les deux exemples de l’ecologie et de LIslam ont des consequences dramatiques sur notre Nation , méme si ces deux sujets interviennent dans des chapms tres differents. Le Processus de manipulation est le méme. Il Interdit l’analyse objective et rationnelle, Il bayonne l’expression des idées, An final tout cela nous méne au declin, a la peur, a l’abattoir.

    • « Il bayonne l’expression des idées »
      comme le jambon, pas du tout halal.

      • Vous nous la « Baillez Belle », Bien vu ! A l’age que j’ai, ce probléme de dyslexie ne me préoccupe plus, je ne vais pas me « Baillonner », en plus il aiguise l’attention et la perspicacité des gens aimable qui fond l’effort de dechiffer.

    • L’islam, comme toute religion, a ses principes, ses dogmes, ses valeurs qui lui sont propres et qu’on peut considérer comme subjectifs, elle contient dans ses fondements les gênes de l’islamisme car celui-ci est en grande partie une application très rigoriste de l’islam (et même au delà sans doute).
      L’écologie est une discipline que l’on peut considérer comme scientifique et donc à priori dénuée de dogmes et valeurs. Elle est d’ailleurs tout à fait utile et nécessaire, et si les écologistes étaient objectifs, ils seraient beaucoup moins radicaux, car leur discours est plein de contre-vérités écologiques. En fait ils instrumentalisent l’écologie à des fins idéologiques qui relèvent à la base de la haine de la prospérité et du progrès technologique.
      Vous me direz que c’est un peu la même chose pour les islamistes (dans les deux cas, l’objectif est d’imposer par la contrainte un mode de vie à ses congénères), mais l’islam est intrinsèquement totalitariste. Pas l’écologie.

  • Tout ce qui est dans cet article ne se passe qu’en France. En Allemagne, rien ne vaut une bonne énergie polluante au charbon et au gaz. Rien ne vaut un gros SUV Porche ou BMW. Rien ne vaut une bonne Industrie chimique comme BASF et rien n’est mieux que les OGM et les pesticides de Monsanto.
    Le problème de la France est uniquement dû à l’éducation nationale, investie par la gauche communiste (dont l’écologie fait partie) depuis Mitterrand, et qui détruit tout savoir et capacité d’analyse chez les enfants. Ces enfants qui une fois adultes suivent bêtement les idéologues qui les ont formatés. Exactement comme le fit l’URSS en son temps. Exactement comme le fait l’islam pour son gihad. Et difficile de combattre une religion.

    • « Le problème de la France est uniquement dû à l’éducation nationale, investie par la gauche communiste (dont l’écologie fait partie) depuis Mitterrand, et qui détruit tout savoir et capacité d’analyse chez les enfants » : êtes-vous sûr que ce problème n’a pas commencé avant Mitterrand ?

      • Effectivement, Staline a financé les communistes dès 1940. Mais Mitterrand a été le 1ier a nommer un ministre d’extrême gauche à l’éducation nationale.

      • Le problème est dû à cette majorité jalouse et parasite qui a cru malin d’élire Mitterrand. Notez que cette majorité était écrasante parmi les universitaires dont la superbe « capacité d’analyse » a réussi à polluer les générations ultérieures.
        Quarante plus tard les méfaits de la propagande soviétique sont encore bien évidents.

  • C’est exactement la situation et c’est effectivement bien inquiétant. Je trouve la comparaison avec la religion tout-à-fait juste. L’écologisme est dangereux et il semblerait qu’en France, gouvernants et media le considèrent comme une bagatelle. Quand ouvriront-t-ils les yeux?

  • Tout ceci est gentiment excessif. Eliminons d’emblée une hypothèse naissante : l’écologisme n’est pas une religion.
    C’est une idéologie. Très inquiétante par ses objectifs.
    Et très inquiétante par son poids sur la décision polltique.
    Mais.
    Elle est fondamentalement anti-capitaliste et anti-libérale. Et n’est sans doute que cela.
    Insuffisant pour bâtir un culte avec tous les apparats du culte.
    Suffisant pour comprendre comment la combattre et comment elle finira par tomber comme toutes les idéologies du même tonneau.
    Au début des années 70, à la fin des 30 glorieuses, le GIEC n’existait pas, l’écologie politique ne s’était pas encore portée candidate. Mais nous avons eu droit au Club de Rome, à Meadows et son rapport.
    C’était déjà une projection des angoisses pathologiques d’une société soumise au doute et à l’attrait du marxisme.
    Qu’en reste-t-il aujourd’hui ?

  • Vous parlez de « syllogismes », je dirais « sophisme », comme ce fameux « syllogisme » bien connu des bacheliers (du moins ceux d’autrefois) dont la conclusion était « donc un cheval bon marché est cher ».

  • Excellente et salutaire mise au point sur la gigantesque pire arnaque des 2 derniers siècles…

  • Les religions ont construit leur pouvoir en faisant peur : les ‘’10 commandements’’ ou le péché et l’enfer.
    L’écologisme utilise la même recette : d’abord faire peur, peur du nucléaire, peur des OGM, peur des catastrophes dites climatiques, peur de l’apocalypse…
    La recette est universelle, les écolos n’ont rien inventé et ils arrivent à point nommé dans une société où le sentiment religieux décline.

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