Emmanuel Macron, le Président qui « joue au Président » ?
Emmanuel saisit toutes les occasions de se mettre en scène pour apparaître comme le président de la république. N'en fait-il pas trop ?
Emmanuel saisit toutes les occasions de se mettre en scène pour apparaître comme le président de la république. N'en fait-il pas trop ?
Le cadre juridique qui s'appliquera aux véhicules autonomes (première partie).
Le gouvernement semble dans une double impasse : pas de programme cohérent et structuré et, en même temps, le besoin impérieux d'ouvrir un maximum de chantiers pour maintenir l'illusion de la transformation du pays.
En 2012, le changement, c’était maintenant, ou presque. Cinq années plus tard, il fallut se rendre à l’évidence : le quinquennat pédaloflanbyste se traduisait par la…
Attaquer les GAFA est à la mode. Mais il s'agirait de ne pas se tromper d'ennemi, et de ne pas sacrifier la liberté par démagogie.
Limiter les grèves politiques ou illégales demande de réviser le droit de grève lui-même.
Dans les universités, la justice a laissé la place à la justice sociale, qui a ses guerriers qui transforment leur vertu morale supposée en chasse aux sorcières.
Une synthèse sur le Bitcoin qui s’appuie principalement sur l’œuvre des deux principaux représentants de l'école autrichienne en économie, Ludwig von Mises et Friedrich Hayek.
Le problème auquel la France est confrontée avec l’autisme montre que la fascination étonnante de ce pays pour la psychanalyse, mise en exergue par la carrière de Françoise Dolto, a eu de lourdes conséquences.
Comment interpréter cette séquence médiatique entre Emmanuel Macron, Edwy Plenel et Jean-Jacques Bourdin, alors que la parole du Président de la République est plutôt rare ?
Cinquante ans après mai 68, Macron et les élites qui l’entourent, devraient se demander si l’exaltation pavlovienne et narcissique de la contre-culture n’a pas pour conséquence directe la culture du contre.
Par l’innovation et la concurrence, le capitalisme permet de démocratiser l’accès à la connaissance. Les revendications anti-sélection des étudiants d’extrême gauche des universités publiques françaises semblent complètement dépassées.
La France n’a pas voulu de la réforme régionale présentée par de Gaulle, une sphère publique décentralisée comme en Suisse où la concurrence entre les cantons pour attirer les entreprises permet un contrôle naturel des coûts et une économie saine.
Le gouvernement semble dans une double impasse : pas de programme cohérent et structuré et, en même temps, le besoin impérieux d'ouvrir un maximum de chantiers pour maintenir l'illusion de la transformation du pays.
SNCF : la négociation de la réforme doit être plus que jamais à l’ordre du jour du gouvernement. Mais attention, si celui-ci ne peut pas reculer, aucune partie ne doit être humiliée et perdre la face.
Tant que l’État politique ou technocratique sera aux commandes, l’entreprise ne sera pas innovante et dynamique, mais criblée de dettes et en crise. Aussi, l’avenir de la SNCF passe par sa privatisation.
SNCF : le gouvernement ne respecte même pas les directives européennes et retarde encore la transformation de la SNCF qui coûte déjà 13 Md€ par an, avec une dette de 50 Md€.
SNCF : la négociation de la réforme doit être plus que jamais à l’ordre du jour du gouvernement. Mais attention, si celui-ci ne peut pas reculer, aucune partie ne doit être humiliée et perdre la face.
Le gouvernement prépare une loi sur le logement qui prévoit de nombreuses mesures, mais sans cohérence d’ensemble.
Le compteur de la dette québécoise continue de tourner, et la cadence a même légèrement augmenté à l’annonce du budget. Comment est-ce possible ?
Si l'Afrique veut une croissance réelle, ses économies doivent commencer à travailler davantage ensemble et se diversifier.
Le mardi 18 avril 1988 du calendrier des facteurs syndiqués de Neuilly disparaissait Pierre Desproges. Hommage.
Non seulement les frappes en Syrie ne règlent pas la situation, mais elles accréditent le scénario russe d’un Occident opposé à la paix et faiseur de guerres.
Fake News : donner à l’État le pouvoir de corriger des informations mensongères revient à lui donner une arme de propagande extrêmement puissante.
Le Sénat organisait mardi une table ronde sur les mesures à prendre pour lutter contre les « fake news ».
Qu’on se le dise : la lutte contre les fake news, c’est une affaire âpre, de longue lutte et qui implique progressivement de plus en plus…
La crise que les membres du quartet (Arabie saoudite, Émirats arabes unis, Bahreïn) ont déclenchée n’en finit plus. La perte, au Royaume-Uni, de la licence de diffusion d’Al-Arabiya pourrait bien en constituer une nouvelle illustration.
Tant que l’État politique ou technocratique sera aux commandes, l’entreprise ne sera pas innovante et dynamique, mais criblée de dettes et en crise. Aussi, l’avenir de la SNCF passe par sa privatisation.
SNCF : le gouvernement ne respecte même pas les directives européennes et retarde encore la transformation de la SNCF qui coûte déjà 13 Md€ par an, avec une dette de 50 Md€.
Il faut dédramatiser le dividende, loin d’être l’alpha et l’oméga du capitalisme, il est en réalité un aveu de faiblesse de la part des actionnaires. Voyons pourquoi.
Le rapport Notat Senard nous offre l'occasion de rappeler les bienfaits des entreprises privées et de l’économie de marché.
Réforme constitutionnelle : réduire la liberté des parlementaires est malvenu, à la fois d’un point de vue théorique et historique.
Petite histoire de la monnaie et du rôle des banques centrales.
En fonction de votre situation, en particulier si vous détenez vos biens immobiliers en nom propre, ou via une société, l’impact sur l’impôt sur la fortune immobilière est important.
Illibéralisme, nationalisme européen et souverainisme communautaire. Il y a orbanisation de l’Europe car cette doctrine éprouvée par huit ans de pouvoir et trois victoires électorales de rang déteint aujourd’hui sur le territoire de l’Union Européenne.
La droite s'attaque au droit de grève par pur calcul politique et ne prend pas la peine de répondre au vrai problème qui tue le pays à petits feux.
Pascal Salin est un économiste français, Professeur honoraire à l'université de Paris IX Dauphine, spécialiste de la finance publique et ancien président de la Société du Mont-Pèlerin (1994-1996).
Serge Federbusch est président du Parti des Libertés, élu conseiller du 10ème arrondissement de Paris en 2008 et fondateur de Delanopolis, premier site indépendant d'informations en ligne sur l'actualité politique parisienne. Président de l’association « Aimer Paris », il est candidat à la mairie pour les municipales de 2020. Serge Federbusch a été successivement conseiller commercial en Asie, conseiller du maire du Paris pour l'urbanisme et les transports, directeur général de la Société d'économie mixte du Centre de Paris (Halles). Il est diplômé de l'IEP de Paris, Maître en droit public, titulaire d'un DEA d'Histoire et ancien élève de l'ENA.
Alexis Vintray est rédacteur en chef de Contrepoints, le journal libéral de référence en France avec 2 millions de visiteurs par mois. Il a lancé le journal dans son format actuel en 2009. Diplômé d'HEC Paris et de la Sorbonne, il est lauréat de la Bourse Tocqueville 2010.