Par Charles Boyer.
À en croire ce que l’on peut trouver sur les réseaux sociaux, et qui est bien entendu toujours à prendre avec des pincettes, d’aucuns rêvent en ce 1er mai à une “convergence des luttes” consistant à insérer dans les traditionnelles manifestations de ce jour celles devenues habituelles (les samedis principalement) menées par le mouvement des Gilets jaunes depuis le 17 novembre 2018.
Initialement, celui-ci est apparu dans la continuité d’une révolte fiscale contre une surtaxation du diesel dont l’impact sur la vie quotidienne en milieu rural avait été sous-estimé par le gouvernement et qui a frappé une partie de la population déjà bien échaudée par la baisse de la limitation de vitesse sur les routes à 80 km/h. À présent, la nature des revendications des Gilets jaunes semble avoir fort changé depuis les premières manifestations.
Un mouvement rebelle qui s’est socialisé
Désormais, l’idée que “l’argent est quelque part et qu’il n’y a qu’à le prendre là où il se trouve” semble avoir pris le dessus. Elle vise les riches qui, dans cette logique, le seraient grâce aux manipulations illégitimes de l’oligarchie et grâce aux “80 milliards de fraude fiscale” qu’il faut éliminer pour la récupérer.
En d’autres termes, il s’agirait de prendre aux riches pour donner aux pauvres, ce qui correspond à une politique renforcée de redistribution dans un contexte où elle est déjà très soutenue. Un autre mot pour désigner cette approche est l’égalitarisme, consistant fondamentalement à considérer toute inégalité de résultat entre les personnes comme une injustice demandant à être corrigée par la puissance publique.
Au même moment, loin de chez nous, il est un pays où le régime en place vit précisément de cette promesse depuis des décennies : le Venezuela chaviste. Et par une frappante coïncidence du calendrier, alors que les Gilets jaunes, des syndicats et des Black Blocs s’apprêtent peut-être (ce qui n’est pas à souhaiter) à se livrer à des violences et des actes de vandalisme chez nous, une situation insurrectionnelle explose au Venezuela depuis hier.
La redistribution, ennemie du peuple
Les politiques mises en place depuis longtemps par ce régime sous prétexte de prendre aux riches pour donner aux pauvres ont abouti à plonger une quantité énorme de personnes dans la pauvreté voire la misère. Elles ont faim, ne trouvent plus de quoi se nourrir, et pour espérer survivre n’ont donc plus d’autre issue que de faire chuter le régime en place. Comme celui-ci ne compte pas se retirer de lui-même, une grande partie du peuple ne voit pas d’autre solution que la violence.
Très cruellement, le gouvernement semble y répondre par une barbarie sans nom qui nous rappelle atrocement les scènes de terrorisme que nous avons connues à Nice le 14 juillet 2016. C’est insoutenable.
Ainsi, ce 1er mai 2019 pourrait nous livrer un spectacle d’une ironie sans nom : d’un côté, un peuple qui souffre mille maux aux mains d’un régime bâti sur la promesse du socialisme égalitariste intensément redistributif et de l’autre, dans notre propre pays, une convergence des luttes prête à saisir toute occasion de faire dégénérer en émeutes ses manifestations qui visent précisément à tenter de mettre en place un tel régime…
” viser les riches “…..lesquels vont finir par prendre leurs jambes à leur cou , parce que mine de rien , là , ça devient du harcèlement à leur encontre ….et ça ne donne pas envie de venir s’installer en France…..ou nous avons pourtant bien besoin de cette catégorie de la population ;
Nous, oui, mais les discoureurs de la télé n’en ont pas le moindre vote à espérer, et ceux dans la tête bien vidée par l’EN desquels ces discours résonnent, d’une certaine manière, non plus puisqu’ils ne font pas le lien entre leurs créations personnelles de richesses et leur éventuel bien-être, ils ne croient qu’en une “juste” distribution de l’existant par la puissance publique.
Bof ,les riches le deviennent quelquesoit l’envirronement politique , les faire fuire…c’est risible de penser cela ,c’est sans doute sous leur influence que cette rumeur circule ,ceux qui fuient sont les pas assez riches selon leur point de vue , bon debarras.
Chavez fut élu légalement, surtout parce que la situation du pays était désastreuse et très inégalitaire, ce qui l’a largement favorisé. La situation est encore pire aujourd’hui et c’était prévisible puisque Chavez étant révolutionnaire dans l’âme, il a vérouillé le pouvoir avec autoritarisme.
En France nous n’en sommes pas là, et si l’extrême gauche est bruyante, les 4/5 des français la déteste. En revanche avec notre régime super centralisé, et la passivité de presque tout le monde à son égard, je n’ose imaginer les dégâts si un Mélanchon ou un autre dingo arrivait à se faufiler au pouvoir suprême par miracle.
Chavez a surtout permis à sa famille de piller le pays.
Patience on va y arriver au paradis venezuelien
Que le communisme vienne… car la France seule démontre année après année quelle y survit grâce à des ponctions extraordinaires 1.035 milliards de prélèvements sociaux qui ne sont pas payés par ceux qui réclament. C’est plutôt normal qu’ils soient amenés à penser qu’il y a plus à se mettre sous la dent. Aucun gouvernement n’a cherché à ce jour à donner les chiffres de qui paie quoi, alors que la révolution bolchevique vienne avec ses malheurs pour qu’ils sachent comme dans tout pays socialiste qu’il n’y a que pénuries et misère en partage.
Les deux M au pouvoir (Mélenchon président, Martinez au fiscal, à l’économie, à l’emploi et au social) et l’International au 1er mai et la soupe populaire tous les autres jours
A qui profite le désordre causé par l’extrême-gauche?
Au RN
Oui dans un premier temps.
A la gauche , au socialisme tout simplement ,ils permettent de montrer que la gauche n’est pas aussi pire qu’elle pourrait etre ,d’ailleurs ils font semblant de s’attaquer aux socialistes qui eux memes sont forts complaisant devant leurs inactions.
Alors qu’en France… :
“Les politiques mises en place depuis longtemps par ce régime sous prétexte de prendre aux pauvres pour donner aux riches ont abouti à plonger une quantité énorme de personnes dans la pauvreté voire la misère. Elles ont faim, ne trouvent plus de quoi se nourrir, et pour espérer survivre n’ont donc plus d’autre issue que de faire chuter le régime en place. Comme celui-ci ne compte pas se retirer de lui-même, une grande partie du peuple ne voit pas d’autre solution que la violence.”
Et voilà pourquoi et comment, ici, on veut se débarrasser de Macron comme on veut au Venezuela se débarrasser de Maduro !
Ainsi donc, Le premier Mai est plus calme au Venezuela qu’a Paris.
Voila un bon indicateur du degré de pourritude en France.
Ne plaisantons pas avec Maduro (faux air avec MARTINEZ)
J’ai lu un post disant que Chavez avait pris le pouvoir pour lutter contre la misère ambiante slogan éculé de l’ultra gauche
Le résultat Est Maduro primate primaire dont les discours sont des mélanges de haine vengeresses et dé platitudes marxistes
Le résultat vous le trouvez à Cuba après soixante ans de régime marxiste