1er mai : la convergence des luttes n'a pas eu lieu
Le défilé du 1 mai qui se voulait une démonstration de force et la concrétisation de la convergence des luttes a surtout été un flop monumental pour la gauche et les syndicats.
Le défilé du 1 mai qui se voulait une démonstration de force et la concrétisation de la convergence des luttes a surtout été un flop monumental pour la gauche et les syndicats.
Discours anticapitalistes, Gilets jaunes et violences. La France a vécu un 1er mai somme toute assez banal dans ses revendications. Et si le prochain s'avérait plus libéral ?
L'actualité pourrait nous offrir aujourd'hui un clash au ton fort cruel : une union Gilets jaunes-syndicats en France tentant de créer une situation d'émeute pour rapprocher notre régime de celui que connaît le Venezuela. Pays où l'insurrection et la violence explosent, justement pour se débarrasser du régime.
Si les Français jouissent du 1er mai comme jour chômé, c'est grâce à Pétain.
Aucun gouvernement ne fait mieux que le précédent pour la sécurité et le maintien de l’ordre républicain.
Alors que la CGT joue la lutte des classes sur la Loi Travail, moins d'un Français sur deux croit que les syndicats de salariés défendent l'intérêt des salariés. À peine 35 % en ont une bonne image.
La fête ne devrait pas être le 1er mais mais le jour où les travailleurs seront libérés des leaders syndicaux, de la Sécu, et des impôts excessifs.
Un article de Libération donne l'occasion de commenter de manière grinçante et humoristique les activités de Nuit Debout.
À l'occasion de la fête du travail, extrême droite et extrême gauche ont joué un même sketch surréaliste.
Le regard de René Le Honzec.
Le regard de René Le Honzec.
Le regard de René Le Honzec.
Le regard de René Le Honzec.
Le syndicalisme moderne est devenu une machine à tuer l’économie, à détruire la prospérité favorisée par le libre marché et la division du travail
Le regard de René Le Honzec.
Hollande a raison d'essayer d'assainir la dette en vendant à ses heures perdues du muguet.
Ce 1er mai à La Havane, la journée s’est achevé sans que l’on n'ait pu exiger de ce patron nommé État qu’il élève les salaires, qu’il fasse baisser le coût de la vie ou qu’il améliore les conditions de travail.