Par Johan Rivalland.
Une fois de plus, voilà l’entreprise Amazon – et son dirigeant-fondateur – mis au banc des accusés, à travers une pétition dont une certaine « élite » bien-pensante a le secret. Les mêmes, parfois (ou leurs amis), que ceux qui voulaient nous interdire (ou presque) la présence trop visible d’un certain sapin de Noël.
Cette fois, il s’agit de militer pour un « Noël sans Amazon ». Et tout ce que notre beau pays compte de « professionnels de la pétition » est bien fidèle au rendez-vous. Ou s’ils ne sont pas tous là, ils ne sont en tous les cas pas bien loin.
Mais la question bien plus grave est : ne nous promeut-on pas de plus en plus, sans y prendre garde et insidieusement, des formes de dictature de plus en plus évidentes ?
Souhaitons-nous nous diriger lentement vers l’émergence d’un État totalitaire, qui nous priverait toujours plus de nos libertés au nom de présumées vertus dont on sait où elles peuvent nous mener ?
Amazon et les « brigands du net »
Car de quoi s’agit-il ? Est-ce Amazon qui a décidé la fermeture de certains commerces ? (il est d’ailleurs notable de constater comment le gouvernement patauge dans ses propres maladresses en ne sachant plus comment justifier ses fermetures). Amazon a-t-il commis un acte répréhensible qui permettrait ainsi de le qualifier de brigand ? Le commerce n’est-il pas libre en France ? Autant de questions qui méritent d’être posées.
Mais surtout, je ne puis m’empêcher, comme beaucoup, d’établir les remarques ou questionnements suivants :
1) En tant que consommateur, ne suis-je pas libre d’acheter où je veux ? Le commerce est-il libre ou non ? Faut-il imaginer des magasins d’État ou adoubés par l’État, avec tout ce que l’on peut imaginer derrière ?
2) Amazon n’a-t-il pas conçu un modèle remarquable ayant fait largement ses preuves et qui, pour cette raison, suscite l’adhésion et l’engouement d’un très grand nombre d’acheteurs qui se disent très satisfaits du service apporté ; et l’a-t-il fait en enfreignant quelque règle qui soit ?
3) Amazon détruit-il réellement de l’emploi, comme certains le prétendent, ou au-delà des milliers d’emplois qu’il crée directement, ne rend-il pas aussi service à beaucoup de PME qui trouvent là un relais efficace pour vendre leurs produits, et donc font tourner l’économie et l’emploi ? Y compris des libraires eux-mêmes. Sans compter tous les emplois générés (systèmes numériques, sociétés de transport et de logistique, etc.).
4) On peut parler en l’occurrence de « place de marché ». Et ces PME françaises trouvent, au passage, aussi un débouché pour leurs produits à l’étranger. Ce qui n’est pas négligeable.
5) Le client potentiel qui habite dans la campagne loin des commerces, la personne âgée ou handicapée qui peine à se déplacer, ou moi-même qui recherche des livres qui ne se trouvent généralement pas dans la librairie du coin, ou que je n’aurais jamais achetés car je n’ai pas forcément le temps ou l’envie de me déplacer, sont-ils des clients perdus pour le commerce local ? Ou au contraire peut-on penser que l’on crée une demande qui n’aurait pas existé sans l’existence de ce service de vente à distance ? (et tant mieux si des commerces traditionnels s’y mettent à leur tour).
6) L’arrivée d’Amazon n’a-t-elle pas justement stimulé le reste du commerce en le conduisant à s’adapter à l’air du temps et à l’évolution des services désormais attendus par une grande partie de la population, pour son plus grand bien-être ? (et libre à ceux qui le refusent de faire comme ils l’entendent de ce point de vue).
7) À l’instar de l’automobile américaine dans les années 1980, qui avait fourni de très gros efforts de modernisation avec l’arrivée de la concurrence japonaise après l’avoir subie de plein fouet dans les années 1970, pour le plus grand bénéfice du consommateur, ne peut-on pas l’envisager aussi comme un élément moteur ? (ce qui n’a rien de nouveau dans toute l’histoire de l’humanité).
8) Le commerce de détail de proximité ne reste-t-il pas le modèle largement dominant en France ? En quoi devrait-il être monolithique ? N’avons-nous pas le droit, au-delà de la liberté du commerce, à la liberté du choix de son modèle et à la liberté du consommateur de consommer selon les modes qu’il entend emprunter pour cela ? Avons-nous livré la France à Amazon ? demande Philippe Alezard. Et en quoi acheter un livre en librairie serait-il de la culture, mais l’acheter en ligne un abrutissement ? ajoute-t-il.
9) En quoi la concurrence d’Amazon serait-elle plus injustifiée que dans n’importe quel autre domaine d’activité ? La concurrence est un mal ? Devons-nous être nostalgiques de l’époque des PTT et du téléphone filaire gris ? Du temps où les porteurs d’eau arpentaient les appartements parisiens pour proposer leurs services de livraison d’eau ? Ou bien encore de l’époque du Gosplan en URSS ? (Cela peut paraître excessif, mais pas du tout ; car la question est bien là).
10) La digitalisation et l’économie du numérique ne sont-elles pas inéluctables ? Entendons-nous vivre en vase clos et nous laisser dépasser par les concurrents étrangers (chinois, par exemple), qui n’auront plus un jour qu’à venir se substituer purement et simplement à toutes nos entreprises locales parce qu’on aura refusé d’ouvrir les yeux et de s’adapter au monde tel qu’il est ?
11) Quant à la question des impôts ou d’une concurrence qui serait déloyale, soit. Mais n’est-ce pas aux autorités de la concurrence que revient la responsabilité de fixer des règles ? Peut-on affirmer sérieusement qu’Amazon les aurait enfreintes ?
Des bien-pensants mus par la jalousie et l’envie
La vérité est que ces modèles de vertu qui en appellent en quelque sorte à boycotter cette entreprise, sont mus par l’envie. Ou bien, pour être plus réaliste encore, par l’image qu’ils veulent se donner, la plupart d’entre eux ayant soit quelque chose à vendre, soit une future réélection en vue. Se targuant d’une forme d’égalitarisme de bon aloi. Et avec toujours une seule et même recette, bien facile et bien commode : les taxes, les taxes, les taxes.
Mais peu leur sied la réalité de ce que les « braves gens » souhaitent vraiment ou vivent réellement. On est dans la posture, dans la polémique pure et dure, la division que l’on amène chez les clients ou entre les commerçants. Et pour cela, il est toujours bien commode de trouver ce que Yannick Chatelain nomme bien à propos un « book émissaire ».
Il est fini le temps où les FNAC, Darty, et autres grands distributeurs étaient les grands accusés (encore que…). Le vent tourne au gré des intérêts de ceux qui sont dans l’image.
Ce sont ces visions binaires et simplistes, avec toujours les gentils et les méchants, qui conduisent à semer le trouble et la rancœur. Au lieu de s’occuper des réels problèmes ou de chercher à moderniser vraiment notre économie.
Amazon a aussi le tort d’être américain, comme l’étaient les épouvantails précédents ou contemporains : les IBM, Microsoft, Google et autres. Et nous le savons depuis longtemps, en paraphrasant un célèbre ouvrage de Jean-François Revel, L’obsession anti-américaine. Pour paraphraser un autre titre d’ouvrage plus récent, nous sommes bien dans ce que l’on nomme « l’horreur politique ».
Pas très glorieux.
Une pétition est une forme d’expression démocratique, une sorte de pré-référendum. Mon petit doigt me dit que si une pétition pour la réouverture de tous les commerces circulait, l’auteur ferait moins la fine bouche 🙂
L’auteur ne critique pas le processus de pétition mais le sujet de celle qui est citée dans l’article. Rien de plus.
Belle tentative Lépine: essayer de faire passer la critique d’une manœuvre stupide des incultes économiques gauchisants qui nous gouvernent pour une critique d’un procédé permettant aux personnes de faire connaître leur avis. 🙂
Caramba Lépine, encore raté! 🙂
Waouh ! Vous n’avez pas perdu votre souplesse de contorsionniste ! Comme vous le savez très bien, je suis quelqu’un d’honnête donc je n’essaye rien du tout.. Quand je lis « Et tout ce que notre beau pays compte de « professionnels de la pétition » est bien fidèle au rendez-vous. », désolé d’y lire une critique de ce mode d’expression.
Oh, dites, l’auteur utilise l’expression « binaires et simplistes », vous croyez que je peux demander des droits d’auteur ? C’était mon expression favorite, snif… et plus sérieusement Cyde… si vous pouviez éviter de vous foutre de moi ou de m’accuser (à tort) directement de manoeuvre ridicule etc et que vous vous contentiez de LIRE ce que j’écris sans arrières pensées, les discussions pourraient être apaisées et constructives…
Votre technique qui consiste à venir discréditer systématiquement les auteurs des articles de Contrepoints, en prenant au hasard une petite phrase, qui ne correspond en rien au fond du sujet, et à la tourner en ridicule est pénible.
Si vous en étiez capables et moins hypocrites, vous chercheriez à produire de vrais arguments pour contester le propos d’un article.
L’ad hominen est l’arme des médiocres.
Je sélectionne parfois une phrase (pas au hasard) non pas pour discréditer un auteur mais pour mettre en lumière un point de faiblesse dans le raisonnement ou carrément un antinomie avec le libéralisme. Désolé de ne pas de l’aplatventrisme ou de dire amen à tout ce qui est dit. Mes critiques sont constructives, sourcées, raisonnées. Parfois moqueuses ou virulente, j’avoue. Comme expliqué, je pars déjà en sachant que je vais me faire démonter la tête systématiquement avec des attaques ad hominem et des mensonges.
donc pour vous la pétition serait « en antinomie avec le libéralisme » ? Pouvez-vous trouver quelque chose dans les droits naturels qui l’interdirait…?
Le fait est qu’aujourd’hui dans le microcosme médiatique et politique français, la pétition est (sur)utilisée par des professionnels de l’indignation, plus ou moins toujours les mêmes, qui en profitent pour se payer un petit rayon de lumière facile et pas cher, et s’acheter à bon compte une petite virginité. Ce n’est pas condamnable au sens « libéral » du terme, mais on est, d’un point de vue parfaitement libéral, autorisés à penser ce qu’on veut des « professionnels » en question.
Et quand on les interroge vraiment sur leurs comportements réels, la réponse est toujours la même : « j’ai beau être dévot, je n’en suis pas moins homme ! ».
non non, pour moi la pétition est libéral, justement ! Il y a des pro de la pétition ? Ben c’est le marché de la pétition. Libre à tout le monde de créer des pétitions, de faire du démarchage, de créer son réseau, etc etc. Que ceux qui les signent soient des convaincus ou juste ils s’ennuient, ben c’est la vie… Que des gens gagnent leur vie en organisant des pétitions, ben c’est le marché des services et des idées… C’est l’auteur qui n’a pas l’air d’aimer les pétitions.
Pour les droits naturels, c’est un autre sujet…
mec, t’es lourd à la longue ..arrête un peu ton nombrilisme et ouvre toi un peu aux commentaires des autres intervenants.
ok… c’est ce que je fais, tout en ne reniant pas mes convictions libérales. N’hésitez pas à faire la même remarque à tous les autres intervenants qui m’accusent de gauchisme.
Bisou.
Faut-il vous rappeler que l’appel au boycott est illégal en France ?
Pour ma part, je commanderai mon sapin de Noël chez Amazon.
Et si j’étais americain, j’ajouterais une plaquette de Plaquenil…
La fameuse légalité socialiste, celle qui a fait plus de cent millions de morts.
« Une pétition est une forme d’expression démocratique, une sorte de pré-référendum. »
Autogoal : pour 200’000 qui l’ont signée, des dizaines de millions ne l’ont pas signée…
Bonjour Sam Player : pouvez-vous me dire où j’ai dit qu’une pétition devait avoir force de loi ? Nulle part bien sûr vu que je ne l’ai pas dit. Définition de pétition : « Écrit par lequel quelqu’un ou un groupe expose ses opinions, formule une plainte ou une demande auprès des autorités. »
(Pour votre info : les référendums suisses ont des taux de participation de participation en général entre 30% et 50% de la population de plus de 18 ans.)
Merci de ne pas tomber dans les mêmes travers que les autres svp, n’interprétez pas mes paroles faussement.
” pouvez-vous me dire où j’ai dit qu’une pétition devait avoir force de loi ? ”
Euh… j’ai écrit ça où?
Mon propos est uniquement de dire que vous parlez de pré-referendum (?) alors que dans une pétition il n’y a que les “oui”, donc pour les “non” il suffit de calculer par soustraction ceux qui ne l’ont pas signée, ou mieux encore comme l’a dit un intervenant plus bas : regarder le nombre de clients.
C’est tout.
« La vérité est que ces modèles de vertu qui en appellent en quelques sorte à boycotter cette entreprise, sont mus par l’Envie. »
L’envie est surtout le carburant de la gauche. Ici ce sont les bobos qui arrivent au bout de leurs incohérences et entendent supprimer ce qui marche et leur fait fatalement concurrence.
Cela dit, les bobos ont déjà perdu la partie avec amazon et ils ne le savent pas. Mais ils se trompent d’ennemis.
Ce n’est pas Amazon qui les emmènera à l’échafaud mais les sites de VPC asiatiques. Google a étendu l’offre et la concurrence principalement à l’Europe et les US. Les sites de VPC Internet Chinois ou autres sont en train de l’étendre à l’Asie. La seule barrière est qu’un petit revendeur chinois ne peut donner une description attractive de ses produits en français. Les bobos fantasment sur l’IA qui va manger le pain des français ou réduire l’humanité en esclavage, mais la encore, ils se trompent d’ennemi : dès que l’IA permettra de réaliser un traducteur potable, il n’y aura plus de commerce en France et les services se limiteront à assembler des éléments conçus sur mesure et fabriqués ailleurs.
Finalement le modèle de dictature libérale chinois est bien plus efficace que la dictature rosâtre malthusienne de nos « élites ».
« modèle de dictature libérale chinois »
Bonjour camarade capitaliste !
Et Noël réduit à une quinzaine commerciale,les contes de Noël sont devenus les comptes de Noël…à nous faire regretter le temps d’une orange à Noël!
Joyeux Noël quand même!
Les gauchistes sont des peureux (d’où le vote massif par correspondance aux USA ?). Donc ils ne peuvent pas critiquer la fermeture des commerces qui va dans le sens de leur demande toujours plus importante de protection. Donc ils critiquent « ceux qui deviennent les gagnants » de la fermeture des commerces.
Les gauchistes ne comprennent rien à l’économie (d’où le vote pour biden qui souhaite pourtant ruiner les états producteurs de gaz de schiste ?). Donc ils croient que les Gafa contourne forcément les lois pour ne pas payer d’impôts, alors qu’ils ne font qu’appliquer les lois qui sont juste mal conçues par le gouvernement (mais pourraient elle êtres bien conçues ?).
On pourrait y opposer le nombre de ventes que va faire Amazon durant cette période, quelques dizaines de millions de produits, ce qui est une pétition bien plus valable, celle du marché, mais le plus amusant ce serait de compter le nombre de paquets Amazon sous les sapins de nos chers collectivistes.
Les élites de gauche ont toujours été les plus corrompues, se gavant tout en expliquant aux autres comment se priver de tout.
Amazon vit exclusivement en fournissant un immense service à l’humanité, qui récompense l’entreprise et son fondateur pour cela. En régime de marché libre, vous ne vous enrichissez qu’à hauteur des bienfaits que vous apportez à votre prochain, qui choisit alors volontairement de vous donner son argent. Le marché est une institution purement démocratique.
Les signataires de cette pétition (politicards, ONG, « personnalités du monde de la culture »…) eux, vivent largement d’une chose: l’impôt. En gros ils n’ont jamais rien produit, ou en tout cas il est impossible de le prouver.
Amazon est plébiscité par le peuple, alors que les signataires de cette pétition vivent en parasites sur le dos des forces vivent du pays, et ils osent faire de la morale, les enf****!
Sinon complètement d’accord avec l’auteur, il y a une volonté totalitaire évidente chez ces gens.
Nouvelle pétition pour un » Noël sans dinde « : cette sale bête est américaine !
( et la dinde française, Ségolène, n’est vraiment pas comestible )
Je suis jaloux et envieux car ça me dispense de réfléchir.
Applicable à n’importe quel gauchiasse.
Les mêmes approuvent le pillage du travail des enfants via la retraite Petain par répartition. Beurk.
Une bande de crétins ces signataires.
Dérives contreproductives de gauche.
Le mouvement des gilets jaunes engagé à son origine contre l’autoritarisme étatique et bureaucratique s’est vite transformé en une revendication fiscale punitive anti riches.
Le mouvement des petits commerçants engagé à son origine contre leur fermeture administrative autoritaire est en train de se transformer en une revendication punitive à l’égard de concurrents épargnés
Dans les 2 cas, l’hystérie égalitariste et l’envie prennent rapidement le pas sur l’accusation d’origine contre l’absolutisme administratif qui, de ce fait, renforce sa position jacobine.
Dans les deux cas, la transformation n’est pas du fait des mouvements eux-mêmes mais de l’intervention de l’Etat.
Via la Convention citoyenne pour les Gilets jaunes qui en a complètement dénaturé les demandes – rendez-vous compte que les Gilets réclamaient la suppression du 80 km/h et des taxes sur les bagnoles et qu’on a eu droit à de nouvelles taxes sur les bagnoles et presque droit au 110 sur autoroute !
Idem pour les commerçants, ils réclamaient avant tout le droit d’ouvrir, finalement l’Etat a fermé les rayons des GS !
On se croirait à l’armée : ça chahute dans les rangs ? Punition collective !
Au moins vous êtes cohérent. Ce qui n’est pas le cas des gaucho-bobo-écolos qui veulent enfoncer une entreprise et un patron qui porte les mêmes combats idéologiques qu’eux… (anti-Trump aussi).
Probable que chez ces gens-là, leur anti-americanisme primaire dépasse et de loin leur intérêt pour les grandes causes mondiales… Militantisme de pacotille !
Agenda caché… bien sûr bien sûr… ou simple achat d’une conscience écolo pour faire un peu de green washing marketing, non ?
Mmmmh, je vais faire un screen. On en reparle dans 1 an ? ça vous laisse le temps de peaufiner les raisons du pourquoi vous vous êtes trompé. Par contre, je suis convaincu aussi que Biden ne terminera pas son mandat.
Les conditions sont excellentes pour un premier travail sans aucune formation. Évidemment, elles peuvent surprendre une jeunesse plus habituée aux doux câlins inclusifs qu’au travail des champs.
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Le rapport est une farce. Personne ne devrait le lire sans éclater de rire, l’esprit critique est il mort ou jamais enseigné à l’EDNAT ?
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Si on prend les mêmes « symptômes, on peut en déduire que le fonctionnariat est pire que le travail dans les mines de cobalt: consultations en lien avec le travail très fréquentes, absentéisme record.
On peut en déduire aussi que n’importe quel effort qui sort de l’habitude cause des douleurs musculaires (le temps que le corps s’adapte). Grande nouvelle !
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Honteuse découverte en France : un travail physique poussé est plus astreignant que regarder des séries Netflix sur son canapé après 8 heures passées à bâiller sur une chaise d’école.
Les Google, Amazon, AliExpress, Netflix et autres gros bidules sur Internet ont considérablement changé ma vie au cours de ces 15 dernières années. Je ne peux pas en dire autant de tous ces clowns politiques qui me veulent toujours du bien, ou plutôt mes biens.
ils ont pété un sondage sur itélé et une écrasante majorité de français commande sur Amazon, qu’ils la fassent leur pétition à deux balles ils ont perdu d’avance..non ce qui me fait chier c’est que suite à ça ils vont encore pondre une taxe sur Amazon qui sera répercutée au client au final , gouvernement de cons.