La France a peur... de la réalité
La peur de ce qui se produira une fois que tout ce cirque se finira enfin a remplacé la peur d’une maladie dont tout le monde ou presque a pris la correcte mesure.
La peur de ce qui se produira une fois que tout ce cirque se finira enfin a remplacé la peur d’une maladie dont tout le monde ou presque a pris la correcte mesure.
Il est désormais question de s’abriter hypocritement derrière le protocole sanitaire des écoles pour imposer un menu unique sans viande parfaitement idéologique.
Il n’y a plus d’analyse de résolutions de problèmes dans nos institutions. L’émotionnel, le ressenti font la loi. Il en va de même pour la gestion de la crise covid.
OPINION : la stratégie française actuelle de lutte contre la covid n’est pas la plus judicieuse car elle atteint les libertés fondamentales pour des bénéfices discutables.
Incrédules devant trop de contradictions et de promesses non tenues, les Français usent de leur bon sens pour soulever quelques questions pas si impertinentes qu’il y paraît. L'état d’urgence a-t-il permis de maitriser la Covid-19 ?
Trop persuadée de la puissance de sa masse de commandes, l’Europe a forcé les prix du vaccin vers le bas sans réaliser que la sécurité d’approvisionnement devait, elle aussi, être rémunérée, et justifiait un prix plus élevé.
On peut avancer le chiffre de 750 milliards de dollars, soit environ 600 milliards d’euros, ceci dans l’hypothèse où, en temps normal, la zone euro aurait crû en moyenne au rythme de 1,9 % par an.
François Bayrou a fait parler de lui le 7 février en déclarant que l’on n’était pas riche avec 4000 euros par mois. Décryptage.
Dans ce nouvel essai préfacé par l’économiste Jean-Marc Daniel, le spécialiste du développement Guilhem Delon-Saumier montre comment le pays et les régions françaises réussissent dans la mondialisation.
Le coût de la mauvaise gestion de la crise sanitaire par le gouvernement et l’État se précise. Vacciner toute la population coûte 10 fois moins cher qu’une semaine de confinement dur.
Cette pandémie aura été une révélation : le début de campagne de vaccination certifie la faiblesse d’un État dont l’obésité bureaucratique est inversement proportionnelle à sa capacité d’agilité et d’organisation.
La pandémie est un test en grandeur nature de la société de décroissance. Le citoyen serait-il prêt dans l’avenir à se confiner de nouveau mais pour raisons climatiques ?
Qu'il fallait être naïf pour croire que l’État, après la pénurie de tests, de masques, de gel hydroalcoolique, de lits de réanimation puisse générer l’abondance vaccinale !
Si l’État doit gérer les soins de santé, orienter vers le secteur privé les patients ne pouvant se faire opérer à temps en secteur public pourrait faire économiser de précieux fonds.
Aujourd'hui, le couperet de 18 heures est le prétexte absurde à un cinéma d'autoritarisme qui semble bien éloigné de la seule lutte contre le Covid-19.
Pour faire le bilan des effets du confinement nous développerons des notions telles que la prudence collective ou l’espérance de vie.
La question n’est plus de savoir s’il y aura un reconfinement, ni de savoir si celui-ci sera suivi d’une explosion de colère. La question est de savoir quelle ampleur l’un et l’autre vont prendre.
Tout indique qu’à ce stade de la pandémie où la vaccination de la population est encore trop limitée, on s’avance vers des mesures restrictives supplémentaires qui pourraient même prendre la forme d’un « confinement très serré ».
OPINION : est-il possible de limiter le nombre de morts du à la pandémie sans sacrifier nos entreprises et notre vie sociale ? L’argument en faveur du confinement ciblé est d’ordre utilitariste.
Si un monde globalisé accélère la propagation d’un virus, il ne faut pas oublier qu’il a surtout rendu les sociétés plus résilientes à travers la création de richesses qui a permis l’amélioration des systèmes de santé dans le monde entier.