La taxe sur votre cabane de jardin va augmenter !
Non, il ne s'agit pas d'une blague : la taxe sur la cabane de jardin vient d'augmenter fortement.
Non, il ne s'agit pas d'une blague : la taxe sur la cabane de jardin vient d'augmenter fortement.
Comme pour la fusion des régions, les résultats et les objectifs visés ne sont pas au rendez-vous. Une fois de plus, une réforme territoriale crée des mastodontes peu efficaces mais onéreux et financés par des hausses d’impôts.
En Norvège aussi, trop d’impôt tue l’impôt. Le gouvernement en a pleinement conscience et envisage maintenant de réduire les taux d’imposition pour encourager la croissance.
Le propriétaire français est de plus en plus la cible idéale de notre étatisme.
La France est pour le moment le seul pays à avoir unilatéralement instauré cette taxe qui n’est qu’un projet politique destinée à caresser dans le sens du poil une certaine frange de l’électorat.
Autant les finances parisiennes étaient présentées comme « parfaitement saines » pendant la campagne électorale autant Anne Hidalgo admet maintenant que « les marges de manœuvre budgétaires sont extrêmement réduites ».
Bruno Le Maire ne manque pas une occasion de rappeler que son principal objectif est une taxe mondiale appliquée aux GAFA.
En 2018, il y a eu près de 250 retours de contribuables devenus assujettis à l’IFI au 1er janvier 2019. Pour la première fois depuis le début des années 2000, le nombre de retours de redevables excède celui du nombre de départs.
Emmanuel Macron et Bruno Le Maire ne cessent de répéter qu’ils ne proposeront pas de nouveaux impôts. Mais ils se battent pour que l’Europe acquière une souveraineté fiscale, c’est-à-dire qu’elle lève de nouveaux impôts.
La fraude d’aujourd’hui est le fruit de la non gestion du problème depuis des lustres, alors pourquoi tout le monde s’en étonne ?
Au lieu d’expliquer clairement aux Français les raisons de ces baisses de charges pour les entreprises, tout se passe comme si nos dirigeants politiques en avaient honte et devaient s’inventer des chartes de bonne conduite.
Une taxe sur la richesse est inefficace et d'ailleurs elle a été abandonnée dans la plupart des pays, car au final, ce sont les citoyens moins fortunés qui doivent payer la note.
Comment relancer l’économie et aussi augmenter les recettes fiscales sans alourdir le fardeau de la classe moyenne québécoise ?
Les impôts de production vont baisser. Mais cette mise en oeuvre trop timorée et étalée dans le temps qui ne pourra pas provoquer le choc fiscal dont la France a désespérément besoin aujourd’hui.
Les milliards pleuvent sur les entreprises françaises, mais on peut s'interroger sur les effets pervers de cette manne financière.
Grâce à des données calculées par EY, l’Institut économique Molinari publie pour la onzième année consécutive son étude sur la pression sociale et fiscale réelle du salarié moyen de l’Union européenne (UE).
Une dose supplémentaire de poison fiscal pourrait être fatale aux contribuables français et à l'économie du pays.
Les entreprises paient deux types d'impôts : l’impôt sur les sociétés (IS) et les impôts de production dits « autres ». La France pâtit d’un recours massif à ces impôts de production qui pèsent sur la fiscalité sur les entreprises.
Si un économiste essayait d'inventer consciemment le pire système d’imposition possible dans le but de saborder l’offre de travail, il tomberait sur le système français.
La perte d’efficacité, de temps, d’argent, d’un dispositif si complexe doit être bien supérieure à ces 12 milliards d’euros.