Classes moyennes : non, monsieur Macron, la hausse des dépenses publiques n’est pas la solution
Les classes moyennes ne souffrent pas d’un manque de dépenses publiques mais de trop de dépenses publiques et de trop d’État.
Les classes moyennes ne souffrent pas d’un manque de dépenses publiques mais de trop de dépenses publiques et de trop d’État.
En 2018 aux États-Unis, la part des ménages gagnant moins de 50 000 dollars (la classe inférieure) est tombée sous la barre des 40 % pour la première fois depuis que le Census Bureau a commencé à collecter des données en 1967.
Fondamentalement duale, la société française a connu une polarisation accélérée de son marché du travail, beaucoup plus intense qu’aux États-Unis ou au Royaume-Uni.
La pression fiscale augmente discrètement sur les particuliers, malgré les grandes déclarations du gouvernement qui disent le contraire.
Guillaume Peltier a déclaré qu'il faudrait augmenter fortement le SMIC. Cette vieille recette, dont la nocivité pour les classes moyennes est bien connue, montre toute la confusion idéologique où les Républicains sont entraînés aujourd’hui.
Le modèle scandinave a été le fer de lance de la social-démocratie européenne dans les années 1990 et 2000. Est-il exportable en France ? Un tribune du groupe Cincinnatus.
Emmanuel Macron n'est ni pour l'ISF actuel ni pour sa suppression. Il souhaite le réformer. Quel impact cela peut-il avoir ?
Qui sont ces électeurs qui demandent que leurs valeurs soient reconnues, qu’on les traite avec dignité, qui s’indignent de la fiscalisation excessive de leur activité et qui attendent seulement de la reconnaissance ?
L'élection de Trump ou le Brexit sont une des incarnations de la grande révolte des classes moyennes occidentales.
L’auteur de "La Spirale du déclassement" fait un constat sans appel : les dégâts sociaux ont été minimisés et il est urgent de prendre conscience du problème.
Au nom de la solidarité, les classes moyennes croulent sous les impôts.
Frappée de tous bords et tous côtés, la classe moyenne me fait penser à la marmotte dans le jeu « Tape la marmotte » des parcs d’amusement.
Ce qu’on voit : une hausse de la fiscalité sur l’immobilier.Ce qu’on ne voit pas : la pénurie de logements, encore aggravée, à venir