Obliger les soignants à se faire vacciner ? Chantage et manipulation !
Il n’est pas éthique d’imposer un risque vaccinal certain, même faible, à des personnes pour qui le risque vital lié à la maladie est nul.
Il n’est pas éthique d’imposer un risque vaccinal certain, même faible, à des personnes pour qui le risque vital lié à la maladie est nul.
Les conséquences de la politique désastreuse infligée au pays depuis un an sont bien plus délétères que l’épidémie elle-même.
Les gens ne jugent plus de la gravité d’une épidémie à partir de faits, mais à partir des mesures prises par l’État. Or, l’État a un objectif, celui de survivre.
Qu'il fallait être naïf pour croire que l’État, après la pénurie de tests, de masques, de gel hydroalcoolique, de lits de réanimation puisse générer l’abondance vaccinale !
Il faudra quand même bien un jour expliquer en quoi instaurer l’oppression de la population est une approche démocratique. En vérité l’opposition aux mesures coercitives est éthique. Elle se fonde sur leur inhumanité.
La France aujourd’hui s’emploie à réduire à néant les droits et libertés fondamentales avec application et ténacité.
L’État doit mettre fin au régime d’exception que constitue l’état d’urgence sanitaire. Il doit laisser les individus accomplir leur projet de vie.
Gouverner par la peur est un désastre. Raconter n’importe quoi au sujet de l’épidémie, ou pour faire gober la vaccination, engendre la méfiance. Or la confiance est primordiale dans une campagne de vaccination.
La prise en charge de l’épidémie n’a pas été médicale mais politique, avec l’« état d’urgence sanitaire », le confinement, le couvre-feu. Aujourd’hui la vaccination a elle aussi quitté le domaine médical pour se retrouver dans le domaine politique.
Une bonne gestion comprend une épidémie contenue, une économie prospère et une société harmonieuse. Pour y parvenir nul besoin de coercition. Au contraire il faut respecter la liberté, la propriété et la personnalité.
Le projet de loi instituant un régime pérenne de gestion des urgences sanitaires montre que les politiciens français sont étatistes. Ils croient en la nécessité d’une autorité centrale pour contrôler les rapports entre les êtres humains.
Le système politique français extrêmement centralisé, sans véritable contre-pouvoir, avec un libre choix pour le citoyen réduit comme peau de chagrin, se révèle en pratique l’un des plus dangereux et nuisible.
Dépister convenablement, soigner précocément : voilà comment sortir de cette crise sanitaire.
La prise en charge de l'épidémie est passée au second plan. Tout se focalise sur le confinement. Sa pertinence n'est même plus discutée. L'infection est oubliée, l'humain est oublié.
Pour bien des gens, le gouvernement n'avait pas d'autre choix que d’attenter aux libertés. C’est faux. C'est l’État qui a créé la crise et qui s’est interdit tout autre choix.
Ce qu'aucun envahisseur n'avait osé, le gouvernement élu d'un pays démocratique, patrie des Droits de l'Homme, réussit à l'imposer légalement grâce à l'État d'urgence sanitaire qui vient d'être prolongé jusqu'au 16 février 2021.
Dans un monde gouverné par la peur les sacrifices retrouvent leurs adeptes ! Les politiciens y trouvent leur compte assurant ainsi leur maintien au pouvoir.
Troisième partie de ce qu'on peut retenir des études qui ont été faites sur les traitements possibles du Covid.
Quels sont les biais signalés et ceux non signalés dans les études qui ont été publiées sur le COVID ?
Réduire la gestion du pays à la conduite à tenir face à une épidémie est une aberration. Soumettre la politique française à l'évolution d'une épidémie est irrationnel.