Les finances publiques plombées par la politique gouvernementale
La politique de Bruno Le Maire entrave l’économie plutôt qu’elle ne la libère, ce qui nuira à la croissance nécessaire. Carrefour en offre un exemple manifeste.
La politique de Bruno Le Maire entrave l’économie plutôt qu’elle ne la libère, ce qui nuira à la croissance nécessaire. Carrefour en offre un exemple manifeste.
Le Royaume-Uni sort de l’Union européenne et y retrouve presque tous les avantages économiques de l’Europe sans les contraintes qui l’ont décidé à en sortir lors de son référendum de 2016.
Le gouvernement devrait concentrer ses efforts sur le renforcement et la formation des forces de l’ordre plutôt que de mettre le feu à l’économie et à la société au nom d’une urgence sanitaire.
Macron rêvait d'étendre les régimes d'indemnité maladie aux professions libérales, sans savoir comment y parvenir, et ce sont les professionnels libéraux eux-mêmes qui sont venus se jeter dans la gueule du loup.
La nationalisation rampante de la politique, de la presse et des syndicats n’est que le reflet d’une société tout entière prise en charge par l’argent public.
La négation du libre arbitre est nécessairement la négation de la liberté et de la dignité humaine.
L’arrêt de l’activité décrété par le gouvernement assèche les ressources des caisses de retraite sans que leurs dépenses soient réduites sensiblement car les décès de la COVID frappent très majoritairement des personnes très âgées proches de l’âge moyen de mortalité.
Déficit du budget, trou béant de la Sécu, fausse baisse d'impôts : tous les clignotants sont au rouge.
En 2018, il y a eu près de 250 retours de contribuables devenus assujettis à l’IFI au 1er janvier 2019. Pour la première fois depuis le début des années 2000, le nombre de retours de redevables excède celui du nombre de départs.
Emmanuel Macron et Bruno Le Maire ne cessent de répéter qu’ils ne proposeront pas de nouveaux impôts. Mais ils se battent pour que l’Europe acquière une souveraineté fiscale, c’est-à-dire qu’elle lève de nouveaux impôts.
Le cheval de bataille de l’égalité est celui que préfère M. Macron car il est aussi gratifiant politiquement que dangereux humainement, économiquement et philosophiquement.
Une dose supplémentaire de poison fiscal pourrait être fatale aux contribuables français et à l'économie du pays.
La décroissance exprime une fatigue qui accroît la lassitude du monde ; c’est une faiblesse mortelle pour les civilisations qui profitera à d’autres civilisations plus fortes.
Le 11 mai nous introduit dans une nouvelle période de théocratie impériale. Nous serons surveillés par des brigades d’anges gardiens.
L’État d’aujourd’hui a mis les chaînes aux prisonniers de la caverne avant de venir prétendre les gouverner dans leurs fers.
L’histoire des dernières décennies dans les pays développés démontre que plus l’État intervient dans l’économie, plus la croissance baisse. Il convient donc de rester vigilant pour éviter que la crise soit prétexte à une collectivisation durable.
Si les États s’assemblent en cartel pour décider des taux d’impôt, ils ne seront plus freinés dans leur rage taxatrice par le risque de voir les entreprises s'installer dans un pays voisin.
On ne peut s’empêcher de penser que le coronavirus est un bon prétexte pour faire passer cette réforme dangereuse des retraites en faisant taire toute voix contraire.
Le chômage baisse et c'est tant mieux. Mais nous ne travaillons plus beaucoup en France, et nous cherchons à le cacher. Les chiffres ne mentent pas et ils expliquent nos faiblesses.
La polémique de la retraite des cadres souligne l’incohérence de cette gauche acariâtre rivée obsessionnellement aux vertus de la répartition comme à la beauté d’un mirage.