Confinement : la trahison de l’État est sans précédent

Ce qu’aucun envahisseur n’avait osé, le gouvernement élu d’un pays démocratique, patrie des Droits de l’Homme, réussit à l’imposer légalement grâce à l’État d’urgence sanitaire qui vient d’être prolongé jusqu’au 16 février 2021.

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Confinement : la trahison de l’État est sans précédent

Publié le 3 novembre 2020
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Par Patrick de Casanove.

La santé plutôt que la liberté, mais sans liberté point de santé, ni physique, ni psychique. La société sans liberté devient malsaine.

 

« Nous devons réapprendre à être pleinement une nation. Nous vivions dans une société d’individus libres, alors que nous sommes une nation de citoyens solidaires. »

Cela fait longtemps que les libéraux attirent l’attention des Français sur la réduction de leurs libertés. Cette fois elle est actée par Macron lui-même. Les Français ne sont plus libres et ne le seront plus.

Ils seront des prisonniers, solidarisés les uns aux autres par les chaînes que l’État aura forgées. Ils n’auront aucune autre latitude autre que celle d’agir là où l’État leur dit d’agir et de penser. Emmanuel Macron ose appeller cela une nation…

C’est une trahison

Ce qu’aucun envahisseur n’avait osé, le gouvernement élu d’un pays démocratique,  patrie des Droits de l’Homme, réussit à l’imposer légalement grâce à l’État d’urgence sanitaire qui vient d’être prolongé jusqu’au 16 février 2021.

Ceux qui croient que l’État d’urgence sanitaire sera un jour entièrement levé sont probablement très naïfs. Avec lui les hommes de l’État ont trouvé un levier extraordinaire, inespéré et d’une puissance terrifiante pour accroître leur pouvoir, leur mainmise sur la société, sur les individus, jusque dans leur vie privée, jusque dans leur domicile, jusqu’au cœur de leur famille.

Les politiciens peuvent accomplir leur rêve de façonner l’Homme nouveau (vert) pour une société nouvelle (verte). Sans oublier que tant qu’il dure ils n’ont pas de comptes à rendre.

Ainsi, en prenant des mesures coercitives au prétexte de cette épidémie :

L’État a trahi les principes de la République française

Dont la devise est « Liberté, égalité, fraternité ». Il faut remarquer que liberté figure en premier. Grâce à l’État d’urgence sanitaire l’État a restreint les libertés individuelles. Il est allé jusqu’à confiner, puis reconfiner toute la population, sans jamais lui avoir rendu sa liberté.

L’État a trahi la Constitution

Le Préambule de la Constitution fait référence à la Déclaration des Droits de l’Homme de 1789.

Elle dit dans son article 2 : « Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l’homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l’oppression. »  

La liberté est citée en premier.

Le Préambule précise :

« Le peuple français proclame solennellement son attachement aux Droits de l’Homme et aux principes de la souveraineté nationale tels qu’ils ont été définis par la Déclaration de 1789. »

De plus la Déclaration ses Droits de l’Homme de 1789 figure en bonne place sur le site de l’Elysée.

Il n’est pas inutile de se rappeler ici que pour les pères de cette Déclaration les problèmes surgissent quand l’État se dispense de les respecter :

« Les représentants du peuple français, constitués en Assemblée nationale, considérant que l’ignorance, l’oubli ou le mépris des droits de l’homme sont les seules causes des malheurs publics et de la corruption des gouvernements, ont résolu d’exposer, dans une déclaration solennelle, les droits naturels, inaliénables et sacrés de l’homme, afin que cette déclaration, constamment présente à tous les membres du corps social, leur rappelle sans cesse leurs droits et leurs devoirs »  

L’État a trahi les Français en détruisant leurs droits naturels

« Personnalité, Liberté, Propriété, — voilà l’homme. »  Frédéric Bastiat, La Loi (1850)

Son rôle consiste pourtant à les garantir.

La liberté est donc en France un droit individuel naturel, imprescriptible, inaliénable et sacré. Malgré cela le gouvernement l’a détruite.

Ce que dit cette atteinte aux droits naturels individuels

C’est un test de résilience et de résistance de notre société, voire de notre civilisation. Le résultat est très inquiétant.

La soumission c’est la facilité. La soumission c’est la disparition de l’élan vital. La liberté a un coût, un prix. Il est cher. Elle se mérite.

La valeur suprême qu’est la liberté irrigue, vivifie, sublime toutes les autres. En effet il est légitime de se battre et mourir pour défendre la personne ou la propriété. Mais se battre et mourir pour la liberté est un élan transcendant universel qui soulève l’humanité. Le combat pour la liberté est aussi vieux que la civilisation humaine.

Il fut un temps où en Occident la liberté était première, absolument sacrée, inattaquable. Le sacrifice de la vie était parfois nécessaire pour la défendre. Cela ne se discutait même pas. Ce fut encore le cas il y a un peu plus de 80 ans, quand des millions de personnes se sont battues et ont perdu la vie pour être libres. Aujourd’hui il est légitime de se demander s’il existe encore une cause pour laquelle les Occidentaux accepteraient de se battre et éventuellement mourir.

Toujours est-il que, malheureusement aujourd’hui en France, il ne reste plus grand monde pour défendre la liberté.

Des frémissements peuvent laisser espérer que cela pourrait changer. Par exemple ces actions de beaucoup de maires  ou d’autres plus désespérées. Il existe aussi des réflexes malsains consistant, au lieu de réclamer la liberté pour tous, par exemple tous les commerces, d’exiger la coercition pour tous, petits commerces, certains rayons de grandes surfaces, e-commerce.

Force est de reconnaître que la machine à broyer étatique a écrasé tout esprit de résistance. Non seulement le totalitarisme est mis en place sans aucune difficulté mais il est réclamé par beaucoup. La peur, la soumission à l’autorité, le suivi de la masse font leur office. Un pouvoir totalitaire ne peut rien espérer de mieux qu’une population qui réclame son oppression.

Aujourd’hui toute une population accepte quasiment sans broncher d’être enfermée une deuxième fois, de subir des mesures de privation de liberté, sans avoir commis aucun délit et objectivement sans cause valable. La Covid-19, quoi qu’on en dise, est gérable. Ces mesures coercitives sont les seules qu’utilise l’État pour, prétend-il, lutter contre l’épidémie. En particulier :

  • il interdit de traiter étiologiquement l’infection au stade précoce ;
  • il se détourne de l’isolement des seuls malades ;
  • il n’a toujours pas prévu suffisamment de lits de réanimation.

L’État nous refuse de vivre, il fait de nous des non-morts

Selon toute vraissemblance « Il faut vivre avec le virus », l’infection prenant une tournure saisonnière. Le mot important est vivre.

Pour Bastiat la vie sans la liberté n’était pas la vie.

Vivre sans la liberté ce n’est pas vivre, puisqu’avec elle, la personnalité, la propriété  « sont les trois éléments constitutifs ou conservateurs de la vie. » Détruire la liberté détruit la vie, au sens métaphysique mais aussi physique puisque beaucoup sont morts alors qu’ils n’auraient pas dû, du SARS-coV2, de privation de soins ou d’isolement et d’abandon.

Ces trois droits naturels sont liés, porter atteinte à l’un détruit les autres.

En supprimant la liberté l’État n’a aucun respect pour les Français, ni pour leur travail, ni pour la transmission de leurs savoirs, ni pour leur projet de vie. Nous ne pouvons plus disposer de ce qui nous appartient, de ce que nous créons par notre travail. Toute personne est considérée incapable d’agir rationnellement, de choisir librement, de prendre des risques et des responsabilités.

En détruisant la liberté l’État détruit la personnalité, l’humanité, il réifie. La liberté est consubstancielle de l’humanité. Sans liberté il n’y a pas d’Homme. Les êtres humains ne sont plus que des pions, les rouages d’une mécanique sociale.

« Détruire la liberté d’agir, c’est détruire la possibilité et par suite la faculté de choisir, de juger, de comparer ; c’est tuer l’intelligence, c’est tuer la pensée, c’est tuer l’homme. » Frédéric Bastiat, Harmonies économiques, Chapitre X, Concurrence (1850)

Aujourd’hui ce qui nous est imposé est de vivre confinés dans un monde désinfecté, stérile, ou plutôt d’y rester physiologiquement non mort, sans souffrance physique, le plus longtemps possible, à n’importe quel coût même celui de sa liberté. La joie, le plaisir de vivre ses passions, d’accomplir son destin, son projet de vie sont secondaires.

Le bonheur de vivre pleinement, d’embrasser ses enfants, ses petits- enfants, ses parents, ses amis, de partager des moments de convivialité, d’accompagner les êtres chers, s’il le faut jusqu’à leur dernière demeure, sont sans valeur.

La liberté est un droit naturel et un principe

Il ne faut pas reculer sur un principe. Il ne faut pas reculer sur la liberté. Les conséquences délétères sont incommensurables, sociales, économiques, humaines. Au nom de la santé, l’État détruit notre vie en détruisant notre liberté.

Il faut cesser de gouverner par la peur. La peur est mauvaise conseillère et dans la panique on fait n’importe quoi, surtout des erreurs qui deviennent des fautes lorsqu’elles se répètent.

Il faut que l’État cesse d’infantiliser les gens et les traite comme des personnes rationnelles capables de choisir. Les Français prendront leurs responsabilités, agiront de manière bien plus pertinente et efficace.

La politique doit cesser de vouloir s’occuper d’une épidémie.

Il faut rétablir la confiance. Il faut rétablir la liberté.

« La propriété, le droit de jouir du fruit de son travail, le droit de travailler, de se développer, d’exercer ses facultés, comme on l’entend, sans que l’État intervienne autrement que par son action protectrice, c’est la liberté » Propriété et loi (1848)

« Se conserver, se développer, c’est l’aspiration commune à tous les hommes, de telle sorte que si chacun jouissait du libre exercice de ses facultés et de la libre disposition de leurs produits, le progrès social serait incessant, ininterrompu, infaillible. » La Loi (1850)

 

Sinon, toute espérance perdue, ceci est peut-être un avant-goût de ce qui pourrait arriver. Autant l’éviter.

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  • Le temps est venu de demander des comptes à nos députés et sénateurs qui ont été élus pour nous représenter
    Il faut se lever pour garder notre liberté
    d’aucun l’ont fait avant nous et il serait bien de réactiver le CID UNATI.,..

    • Le Gastro des assemblées est il toujours ouvert ?

      Pour nous représenter 😉 , il représente pas grand monde à part euh même je vois pas trop.
      Une seule et unique chose fera bouger la population , le jour ou les salaires le rca le chomage les indemnités les subventions ne seront plus payés. Pour le reste il se passera rien comme d’hab même si on avait un confinement dur , la soupe est trop bonne , la lobotomisation est parfaite a coup de prime de fin d’année ….

      • @M’enfin: vous avez mis le doigt dessus tant que…….

        • Le contrôle par les électeurs (3 groupes en alternance de 8 à 10 retraités chacun, habitant les circonscriptions voisines de l’élu et désignés par le sort) le contrôle de ces élus (quantités divisées par 6) dès le lendemain de leur élection résoudrait un certain nombre de problèmes (résumé).

  • Le gouvernement, président en tête, s’est effondré à force d’erreurs, de mensonges, d’omissions, de lâchetés grades et petites.
    A ces lâchetés se rajoute le pathétique et le ridicule lorsque qu’un premier ministre, caricature courtelinesque du rond-de-cuir, décide de savoir qui a le droit ou pas de vendre des chaussettes.
    Nos gauleiters en chaussettes vont bientôt avoir les orteils qui dépassent.
    Ce gouvernement n’a plus trouvé qu’une solution pour gouverner: gouverner par la peur. Celui qui n’y communie pas est un mauvais Français.
    C’est la pire manière de gouverner car elle n’aboutit qu’à la destruction de la société et de la Nation.
    Comme dit Henri Guaino, le gouvernement de la peur c’est Vichy, le gouvernement du courage, c’est la France libre. Le Covid n’est pas les armées Nazis mais le personnel politique est bien celui de 1940.
    Ce gouvernement est légal mais une chose est sûre, il n’est plus légitime.

  • Je suis scié de voir le nombre de personnes, dans mon entourage, qui cautionne la perte des libertés fondamentales.
    Fort heureusement, mes collègues juristes, suisses, pour la plupart s’insurgent.
    Ce pays est – je le déplore – foutu. Par ses dirigeants, mais aussi et surtout par son peuple qui leur ressemble.
    Je n’ose penser aux conséquences monétaires et économiques de tout ceci…

    • Je suis surtout sidéré que ceux qui défendent les libertés se contentent de combattre les autoritaires et n’aient pas de discours crédible sur la manière dont ils offriraient un meilleur cadre d’existence aux Français une fois les autoritaires vaincus. Dans le laisser-faire, les Français voient surtout qu’on laisserait faire ceux qui veulent leur nuire, alors…

      • C’est vrai ca! Stop au laisser-faire ! Aujourd’hui, on laisse faire les peureux, les démagogues, les bureaucrates, les populistes, les moralisateurs, etc ca suffit !

        • Stop à l’interprétation au degré zéro et au refus systématique d’expliquer ce qu’est le laisser-faire. Certains articles sur CP s’y attachent, mais ils n’ont aucune chance de toucher la masse des citoyens. Plus de pédagogie à l’usage des moins cultivés, ça vous fatiguerait ?

          • Votre refus d’un laisser-faire fantasmé dans la population (car ce qui est réclamé est en réalité le laissez-faire nécessaire et suffisant qui nous est actuellement refusé) revient à donner quitus au laisser-faire du pouvoir, au cas où vous n’auriez pas compris le message précédent.

            Ces deux laisser-faire ne peuvent être mis sur le même plan, les rapports de force étant tellement déséquilibrés. Le débat dans ces conditions est sans valeur : pour qu’il ait lieu, le gouvernement doit d’abord renoncer au confinement, à l’usage de la force pour l’imposer, et renoncer également à ses mensonges en rafale. Macron peut annoncer la fin du confinement dès ce soir s’il le souhaite. En s’excusant pour faire bonne mesure. En établissant le constat sanglotant de son incompétence devenue notoire pour tous les Français. Et en démissionnant dans la foulée.

            A cette condition seulement, on pourra valablement débattre des options. Le débat n’étant pas possible à cause du rapport de force, le problème de cette épidémie ne se trouve évidemment pas dans la population. Il se trouve seulement dans les décisions gouvernementales non seulement vaines et désordonnées, mais surtout manifestement contre-productives, notamment contre l’indispensable liberté de prescription avec l’affaire de l’HCQ qui démontre la corruption de ce pouvoir.

            Vous reprochez au libéraux de ne rien proposer à la place ? Mais précisément, la bonne proposition, c’est de ne rien proposer, autrement dit le refus du laisser-faire pour le gouvernement.

            De la pédagogie ? Du haut de votre supériorité, vous prenez les Français pour des enfants irresponsables. Comment ça, vous iriez jusqu’à vous abaisser à faire la leçon à des enfants irresponsables ? Mais enfin, devenez raisonnable un instant, aucun échange valable ne peut reposer sur le mépris d’autrui. Ca vous fatiguerait de cesser d’insulter les Français à longueur de messages ?

            • Eh bien si vous avez raison, je me suis trompé en voulant soutenir le libéralisme. Je ne me sens aucun atome crochu envers ce qui est arrogant et haineux, quand bien même cela serait anti-étatique. Je pense les Français capables de devenir plus responsables et plus autonomes, mais certainement pas plus en les mettant dans la mouise et en leur intimant de s’en démerder tous seuls à la Cavaignac qu’en les mettant dans la mouise et en se posant en protecteur à la Macron.
              Et si demander de la pédagogie est un signe de prétention et de mépris, alors, oui, je suis prétentieux et méprisant, et vous êtes humble et respectueux. Mais CPEF.

              • Il faut dire que l’arrogance et la brutalité de ce pouvoir ont atteint un tel niveau que toute forme d’expression qui lui ressemble, même de loin, devient intolérable et inaudible.

                Dont acte si ce n’est pas de là que vous parlez et sincères excuses pour la virulence des propos qui se voulaient sévères mais justes… mais sévères quand même, la perte de liberté étant sans rapport avec le gain sanitaire espéré (nul en réalité). Pour poursuivre, il ne s’agit pas d’alterner entre prétention ou humilité, juste de se fixer comme règle absolue de ne pas se mêler de la vie des autres sous des prétextes éminemment fallacieux, comme la contamination ou le réchauffement pour prendre les exemples à la mode, pour autant qu’on n’est pas agressé.

                Si jamais l’aide soignante de votre maman devait la contaminer alors qu’elle n’est pas malade, ce ne serait pas de sa faute. C’est simplement la fatalité. C’est la vie. On ne lutte pas contre la vie et on ne peut pas se satisfaire de compenser la fatalité en désignant des boucs émissaires faciles, ce que fait ce gouvernement d’abrutis. On a tous des parents fragiles et en danger, vous savez.

              • C’est pourtant le BA-ba du libéralisme, Aides-toi, le ciel t’aidera.
                Ce n’est pas être égoiste, c’est tout simplement de ne pas compter sur les autres (la cigale la fourmi) ou pire sur le vol légal (l’impôt).
                Non que la population à risque se planque, et laissons les jeunes vivre leur vie LIBRE.

                • Mais avec vos premières phrases, je suis d’accord ! Parfaitement d’accord ! En revanche, que les uns pour vivre leur vie obligent à ce que les autres se planquent ou meurent me révulse, que les uns soient jeunes ou vieux ou n’importe quoi et les autres vieux ou jeunes ou n’importe quoi. Et si c’est ça le libéralisme, alors je n’en veux à aucun prix.

                  • On vit une période que même pas les pires dictateurs n’auraient pas oser rêver. Ma mère a connu l’occupation allemande, elle était plus libre, Et vous en redemandez. Soit vous êtes du coté de Pétain, soit vous êtes du coté de la France libre. Faites votre choix. Du coté de la résistance, du coté de la collaboration.

                    • Je n’en redemande pas. Ma mère et ma belle-mère aussi ont connu l’occupation. L’une comme l’autre ont construit leur vie par un travail acharné respectueux des autres, en ne demandant jamais à personne de se planquer pour leur faire de la place. L’une comme l’autre est aujourd’hui prête à disparaître si ça peut être utile. Et l’une comme l’autre est aujourd’hui chacune planquée dans une structure où des inconscients ont malgré tout largement répandu le covid, et à la merci de la prochaine visite d’un aidant contaminé. Votre exigence de choix est hors-sol. A de très rares exceptions près, personne pendant la guerre ne se posait la question sous la forme binaire résistant ou collabo, mais sous la forme de comment se construire un avenir malgré le contexte. On est du côté de l’insouciance ou de celui du comportement responsable. Si on est du côté responsable, on fera ce qu’on pourra pour retirer le pouvoir aux liberticides, mais on fera aussi, et en priorité, ce qu’on pourra pour que les insouciants prennent conscience de ce qu’ils ont fait et ne recommencent jamais.

                    • Votre ultimatum, l’auriez-vous posé à l’ami hongrois de ma mère, en 44 ? Je prends modèle sur lui pour y répondre, lui qui me tenait par la main à 12 ans avec ses enfants quand il a accueilli ses parents arrivant de Budapest à Seattle avec leurs petites valises de réfugiés, les exfiltrant 8 ans après les avoir vus pour la dernière fois avant 56, et qui a fini conseiller spécial de Reagan pour la guerre électronique. Chacun construit sa vie par ses actes, le respect est la clé, et se contenter de s’opposer à une dictature fait tomber sous la coupe d’autres dictatures.

                    • En personnalisant ainsi votre discours, en y mêlant à l’excès de l’affect, vous interdisez la critique des idées et finalement le débat. Ce ne sont pas votre personne ou votre vie qui sont en débat, seulement les idées que vous écrivez. Il faut renoncer à ce procédé.

                    • Et c’est toujours à regret que je personnalise mon discours, mais je ne connais pas d’autre manière de répondre aux critiques hors-sol et autres arguments d’autorité.

          • C’est laisser les gens régler eux-mêmes leurs problèmes, tout simplement.

            • Pour moi, c’était commencer par ne pas multiplier leurs problèmes avant de les laisser les régler. Comme je l’ai dit, pour moi le peu de succès du libéralisme et du laisser-faire vient de ce que la majorité des gens que je connais y voient surtout laisser le champ libre à ceux qui veulent leur nuire pour satisfaire leurs caprices et leur soif de profit, dans la loi du plus fort. Mais finalement, puisque je ne suis pas libéral, qu’en ai-je à cirer ?

      • Changer un peu de discours, c’est vous qui êtes inaudible. Les solutions sont connus, tester isoler et soigner. Ne pas mettre des centaines de milliards dans le traitement social des conséquences du confinement, mais mettre des milliards dans les soins. Former des médecins est possible, il y a 20 ans les médecins du SAMU étaient des internes de médecine qui étaient formés en 15 jours.
        Pareil pour les IDE.

        • Désolé, je suis peut-être inaudible parmi les commentateurs de Contrepoints, mais par exemple, le tester tracer isoler est parfaitement inaudible dans la société (et il est probablement trop tard, justement parce qu’il a été inaudible).

        • @ gillib Arrêtez de dire n’importe quoi…!!! Il y avait au SAMU des « lignes « de départ et les camions partaient avec internes et externes sur des interventions dites simples dans leur classification et avec des IDEs confirmées…Sur les gros cartons et les interventions lourdes les PH les plus aguerris partaient..quant aux internes SAMU il y a 20 ans ils savaient intuber , ventiler et pour la plupart étaient aussi passés dans des services lourds type cardio ..

          • « Il y avait 20 ans il savaient intuber », c’est ce que je dis. Et la plupart étaient des internes de l’année. D’ailleurs il y a 20-25 ans les gardes étaient tenus par des internes.

            • @gillib ils n’étaient pas formés en 15 jours..lol…Vous étiez interne à l’époque..??? Moi externe..!! Quant au général….ma foi il a l’âge pour lui donc je ne rajouterais rien….protégez vous…

              • Arrêtez de vous inventer une vie virtuelle caché derrière un pseudo. Votre vie réelle est-elle de si peu d’intérêt ?

                • Projection..Mécanisme psychologique consistant à déplacer sur l’autre ses conflits intérieurs..pour vous ce sera gratuit…!!

                  • Vous finissez de perdre votre crédibilité en vous décrivant vous-même, sans être capable de comprendre le sens profond des mots que vous alignez dans le désordre. Ce faisant, vous adoptez le comportement typique des socialauds résumé plus loin dans cette file.

                    Quand comprendrez-vous que se revendiquer ceci ou cela, caché derrière un pseudo, est une stupide tentative d’argument d’autorité, argument forcément dénué de valeur, et même en réalité contre-productif ? Bon, vous savez, ce qu’on vous en dit, c’est pour votre bien, pour vous éviter de mourir idiot.

                  • Du coup, chez les démocrates américains, vous devez avoir du monde 🙂

              • Les équipes du SAMU étaient composées de PH qui faisaient l’encadrement, des vacataires qui faisaient la régulation et les primaires, les internes (et médecins militaires appelés) complétaient l’équipe.

                • Pour le mieux, mon témoignage :
                  dans les CHU = SAMU, il y a avait un interne et un externe, un ambulancier (c’était dans les années 90-95). Sont arrivés les assistants avec la CAMU. J’étais en poste comme interne, seul « médecin » aux urgences dans un hopital de province : aucune formation préalable. 1ere sortie SMUR avec l’IDE réa : AVP…. Le délire était le suivant : lorsque l’assistante venait faire la garde, je n’avais plus le droit de sortir seul en SMUR, lorsqu’elle n’était pas là, il fallait bien que quelqu’un y aille… Au SAMU, les collègues internes étaient formé en 15 jours effectivement. J’ai la « chance » (2d degré) de faire des semaines de gardes H24 pendant plusieurs jours. Mais c’est de la vieille histoire (maintenant 35 h, internes à « préserver »,…). Pas sûr qu’on est moins de « casses » maintenant !

          • Il n’y en a qu’un qui raconte n’importe quoi ici, et il se surnomme sigmund.

      • Arrêter ce discours Aristotélicien. « Les Français » vous connaissez les 67 millions de Français, pas moi. donc, on dit « Des Français » ceux qui placent leur santé au dessus de leur liberté et surtout celle des autres.
        La solution est pourtant SIMPLE : ceux qui ne veulent absolument prendre aucun risque sont LIBRES ne ne pas rencontrer les autres, de ne plus travailler, de s’enfermer dans des combinaisons anti-tout au plus profond de la cave la plus proche…

      • Mesure possible :
        Laisser le commerçant choisir le niveau de sécurité sanitaire qu’il souhaite.

        Au choix :
        – gants
        – désinfection des mains
        – nombre de personnes limité
        – parois de séparation (c’est pas donné, quelques centaines d’Euros)
        – masque ou pas
        – fermeture s’il en a envie
        – queue à l’extérieur du magasin
        – désinfection des tables et chaises, sanitaires…
        -…

        En tant que client, vous ne rentrez que si vous êtes d’accord de vous y plier.
        Au commerçant de faire la publicité pour faire connaître ses mesures.
        Par ici, parois de séparation presque invisibles, et à l’entrée, désinfection des mains. Et je trouve cela très bien.
        Masque bien entendu.
        Au supermarché, les caddies sont désinfectés, et de nombreux distributeurs de gel sont disponibles, plus limite du nombre de personnes dans le magasin.

    • « son peuple qui leur ressemble. »
      Oui et pour preuve, hier Macron a gagné 8 points de popularité dans les sondages : (

  • on va voir comment vont réagir  » les lumières  » qui nous dirigent face aux routiers qui ont l’intention de bloquer le pays si les restaurants relais ne sont pas ré-ouvert ; ils exigent , et ils ont raison , d’avoir accès à des repas chauds , des sanitaires , un endroit ou se détendre après des heures de route ; faite votre plein d’essence et des réserves de bouffes au cas ou ledit exécutif est assez con pour ne pas les entendre , ce qui est le cas à ce jour ;

    • Le silence est d’or 😉

    • Vous avez raison, l’exécutif est con (très con), cependant il risque de faire comme ils le font souvent, une exception pour satisfaire une grogne montante qui pourrait dégénérer.
      Ceci dit il est inacceptable que les routiers n’aient pas un endroit où se reposer, se détendre, manger chaud, avec des sanitaires.
      Attendons la suite pour voir par quelle pirouette ils vont s’en sortir…

    • ce sont peut-être les routiers qui vont faire bouger les choses…

    • il y a eu strictement le même débat au confinement de mars. Je vois que l’on n’a pas avancé d’un pouce, rien prévu, comme pour les lits de réa. N’y a t il pas un ministère des transports ?

  • je disais il y a quelque mois la liberté est plus important que la santé.

  • On le disait jupiter mais il n’est que neron, ira t il jusqu’à mettre le feu à la maison France.. C’est une certitude.

  • « il n’a toujours pas prévu suffisamment de lits de réanimation » : c’est combien le « suffisamment » ? 15.000 ? 30.000 ?

    • Au moins le gouvernement peut essayer, ce qu’il n’a pas fait. Le gouvernement est tétanisé de peur. Il faut former des médecins et des IDE. Cela demande 15 jours. Mais il est bien tard.

    • Déjà que l’on réouvre les hopitaux de proximité. Il est étonnant de constater que ces derniers ont été fermés dans des petites villes ouvrière, alors qu’ils sont toujours ouverts dans des villes plus petites mais dont la population fait partie de la caste dirigeante.

      Là où j’habitais avant (une petite ville de 12000 habitants non loin d’un grand centre urbain):
      – rendez-vous en cardiologie : dans la semaine
      – rendez-vous chez un dentiste : dans la semaine
      – rendez-vous chez l’ophtalmo : dans la semaine (ou au pire, dans les 15j en période de vacances scolaires)
      – rendez-vous chez un gynéco : dans la semaine (idem)
      – rendez-vous chez le généraliste : dans l’heure
      – l’hôpital est toujours ouvert (au début des années 2000, il y avait même une clinique et une maternité)
      – …

      Si ce tissu n’avait pas été détruit, nous n’aurions pas de problème…le problème c’est que depuis les réformes Bachelot, on remplace les soignants par des ronds de cuir.

    • Laissez le marché décider. Laisser les acteurs de terrain choisir, laissez l’inventivité et l’envie de faire de l’argent diriger cela. Et vous aurez alors « le bon nombre » de lits de réa : peu quand on en n’a pas besoin et beaucoup quand il en faut. Les cliniques et hôpitaux privés font déjà un peu ça, même s’ils ne sont que très partiellement privés. Pour le reste… Les US même à NY n’ont jamais manqué de lits, sauf en théorie, et il y en a toujours eu des paquets vides.

      • La réa est un département qui coûte très cher à équiper. Rapide calcul économique : prévoir le nombre habituel de lits en réa pour gérer les situations normales comme un flux tendu. Et c’est tout. En cas de situation exceptionnelle comme actuellement, le marché n’aura pas le temps de réagir, ça va vite déborder. Comme les hôpitaux privés ne prennent que ceux qui payent, hop, le reste ne les regarde pas, ça tombe dans le public.
        Pour le manque de lit, il faut aussi regarder les cartes régionales françaises.
        Vous confondez réa équipée complètement, et salle de réa avec un léger monitoring. Oui, je défends l’hôpital public au sein d’un système de santé public MAIS je reconnais volontiers la lourdeur à laquelle c’est soumis, les doublons et autres incohérences administratives.

    • Suffisamment, c’est l’offre qui satisfait la demande.

      PRI-VA-TI-SA-TIONS !!!

  • Depuis bien longtemps je lis en travers ce type d’article…qui n’apporte pas grand chose hormis qqs inepties…Dont la plus caricaturale reste très philosophique…Restons libres..Qu’est-ce que la liberté…???? Nous ne sommes libres de rien, que de répéter notre Histoire ou de prendre son contre-pied…la liberté est une illusion…!!!

    • @sigmund

      L’esclavage n’en est pas une.

      « La guerre, c’est la paix. La liberté, c’est l’esclavage. L’ignorance, c’est la force. »

      Cela vous rappelle t-il quelque chose?

      • C’est terrible ça et très « névrotique »..: si vous n’êtes pas libre vous êtes forcément esclave…Remarquez à bien y réfléchir les psys sont assez d’accord sur le fait que nous sommes souvent esclaves « inconscients » de nos histoires respectives..

        • C’est tout kon ce que vous avez écrit « si vous n’êtes pas libre vous êtes forcément esclave » et à la fois terriblement profond. Si je ne peux au final ne jamais être libre, je dois alors concentrer mes efforts sur les libertés qui me paraissent les plus importantes ET effectuer aussi des évaluations de coûts/bénéfices sur ces libertés. Pour prendre une image, le gars seul sur son île, il est libre, c’est sûr. Et terriblement dépendant de son milieu, de la moindre maladie, etc…
          Le souci, c’est qu’il est difficile sinon impossible de saucissonner la liberté en belles tranches indépendantes les unes des autres.
          On peut aussi dire que la liberté la plus absolue est d’avoir la liberté de renoncer à la liberté (c’est un peu capillo-tracté et pourtant non…) : le droit au suicide est la liberté la plus « ultime » et pourtant la plus farouchement refusée et combattue (sujet délicat, je ne développe pas trop).
          Bref, merci pour cette étincelle qui me fait turbiner l’esprit.

    • On trouvera bien un ministre pour nous expliquer que le « sentiment d’esclavage » n’est que de la propagande des extrémistes.

      La triste réalité est que cette privation de liberté réelle, relative ou fictive est extrêmement néfaste à la santé, l’économie et la démocratie rien que par la « névrose » induite.

  • S’agissant d’une pandémie bien moins dévastatrice que le confinement (en termes d’hommes-années perdues) on peut en effet donner priorité à la liberté, mais qu’en sera-t-il quand nous rencontrerons une épidémie aussi contagieuse que la grippe et aussi mortelle que le SIDA, situation qui paraît plausible à relativement court terme?

    • Si vous ne vouliez pas attraper le Sida, il ne fallait pas sauter tout ce qui bouge.
      Par contre la Covid s’attrape sans que ne fassiez rien d’autre que croiser un malade qui s’ignore.
      Par contre vous pouvez attraper le Sida et la Covid en même temps, ce n’est pas interdit.

      • Eviter le covid est tout à fait faisable. Tu te confines, tu te fais livrer ta bouffe, tu mets l’équipement necessaire quand tu veux sortir, etc.
        Quand on a peur (pour le covid ou autre), on se prends en main SANS FAIRE CHIER LES AUTRES.

        • Tout à fait d’accord. Le gouvernement à peur, la population à peur.. Tout le monde se planque au lieu de faire face.

          • A titre personnel, j’ai fait mienne la devise des officiers anglais de la première guerre mondiale : « British officers don’t duck ». En gros, les officiers britaniques ne se planquaient pas derrière leur troupes, raison pour laquelle il y a eu une mortalité si élevée dans leurs rangs.

            Par ailleurs, je pense que le gouvernement sous estime largement la capacité que peut avoir un seul individu au dessus de tout soupçons à désorganiser totalement un système bien rodé.

        • Ben voyons… Yaka ! Vous le faites, vous, vous faire livrer dans un bled de campagne, et passer au gel tout ce qu’on vous apporte ?

          • Yaka !, c’est pour imposer sa vision aux autres. Votre remarque est hors de propos quand, précisément, on vous propose de vous débrouiller sans aller chercher les autres. La solution que vous inventerez pour vous ne regarde que vous.

          • Dans votre bled de campagne, en faisant un minimum attention (et avec votre obsession pour cette terrrrrrible maladie qui tue 0,14% de ses victimes -ou moins, vu le nombre d’asymptomatiques- vous savez certainement comment vous y prendre), le risque est quasi nul. Certainement pas assez pour justifier de pourrir la vie (et accessoirement la supprimer parfois) à des plus jeunes que vous qui ne voulaient qu’une chose, avoir un avenir et vivre. Libres.

            • Le seul risque dont je me soucie est celui de me retrouver dans une chaîne de contamination qui au final affectera gravement au moins une personne que je ne connais d’ailleurs probablement pas. Je ne parviens pas à le calculer précisément, mais il est très significatif. Ce risque peut être réduit considérablement, sans passer par le confinement mais par un comportement responsable, et ceux qui prétendent que parce qu’ils sont jeunes et prétendument pleins d’avenir, ils sont exonérés de ce comportement, sont des voyous sans avenir.

              • Quelle déception ! Vous persistez à insulter vos compatriotes. Des voyous maintenant ?

                PS : vu la situation, vous-même êtes déjà dans une chaîne de contamination. Simplement, vous ne le savez pas et ne le saurez probablement jamais. Il va falloir vous faire une raison, admettre la réalité sans chercher un bouc-émissaire à la fatalité.

          • Dans un bled de campagne :
            – le jardin
            – les voisins (trop ?) attentifs
            – encore des petits commerces qui pour le coup revivent (en tout cas sur ma commune de moins de 1000 hbt)
            – les livraisons à domicile par le postier (si si certains le font encore)
            Perso : je désinfecte le caddie et les courses !

        • C’est beau de rêver à la sécurité absolue Sauf que a part sur une île déserte…. Rien que de recevoir une lettre peut t’infecter sauf avec des gants et stérilisation de la lettre avant lecture

          • Sauf que pour recevoir des gants sur une île déserte… Quand en plus le mec qui vient vous apporter les gants, lui, immunisé, n’aurait rien contre une petite contamination des familles qui lui offrirait votre île !

    • Et c’est l’armée qui viendra supplémenter les personnels débordés ? Ah non, ils n’ont pas vérifié leurs stocks de combinaisons depuis 2001…

  • Dernière nouvelle: le conseil scientifique ayant constaté (scientifiquement) que le covid s’attrapait aussi par les pieds, il sera désormais obligatoire de se déplacer à cloche-pied, afin de diminuer de moitié ce mode de contamination.

  • Qui d’entre tous ces partisans des libertés en cas de danger sont prêts à accompagner un moribond du Covid.
    Levez le doigt.
    Ici, je ne vois pas de libéraux, mais des égoïstes qui veulent préserver leurs petits avantages, qu’importe si leur responsabilité est engagée vis à vis de la santé des autres.
    Etre libéral c’est être libre ET responsable, pas de liberté sans responsabilité engagée.

    • On ne meurt pas du virus mais de l’absence volontaire de soins aux malades. il faudrait empêcher certaines personnes de nuire, êtes vous volontaire ?

    • @Tany

      Ce n’est pas une question d’égoïsme, mais de rationalité.

    • Mais êtes-vous bien sûr de ne pas néanmoins faire partie ici d’une minorité ?

      • J’aimerais savoir d’où celui qui m’a mis -1 tire sa conviction sur la proportion de ceux qui seraient effectivement et concrètement volontaires. Et j’avoue que s’il était convaincant, ça me remonterait le moral !

      • Ouais Einstein aussi faisait partie d’une minorité, celle qui comprenait la relativité générale et Wegener était minoritaire également concernant la dérive des continents. Et ça prouve quoi ?

    • « qu’importe si leur responsabilité est engagée vis à vis de la santé des autres »

      Cette proposition est tout simplement fausse dès lors que vous n’êtes pas malade. L’exigence de responsabilité ne peut pas relever d’une simple suspicion à moins de détruire la liberté. Sinon, on finit par mettre des radars au bord des routes pour sanctionner des crimes virtuels sans victime…

    • « des égoïstes qui veulent préserver leurs petits avantages »

      La paille et la poutre …

      Le gouvernement veut conserver son pouvoir, les fonctionnaires leurs privilèges, les assistés leurs prestations, les proches du pouvoir leur traitement de faveur pour leur petit business, les idéologues leurs illusions …

      Il ne s’agit pas de décréter ce que les autres doivent faire pour soi-même – comme on peut le lire entre les lignes à chaque fois que quelqu’un parle d’égoïsme, mais de se concentrer sur ce qui fonctionne pour faire une société et si ce modèle de société est compatible avec la simple idée qu’on peut se faire de la vie et de l’humanité au sens le plus élevé que chacun peut lui donner et non que des idéologues veulent lui donner.

      La responsabilité implique un contrat, social dans ce cas et défini par la constitution. S’il y a rupture du contrat par le gouvernement, le contrat est caduque et il n’y a plus de responsabilité autre que la pseudo-responsabilité définie unilatéralement par les moralisateurs.

    • Vous êtes conditionnés pour considérer la liberté comme egoiste. C’est pas comme si le pb etait un gouvernement et une armée de grattes papiers qui jouent à risk pour le bien de tous hein…

    • Vive la patrie,vive la nation et vive la kanterbrau…

    • La prime de 5000€ semble être un ‘fake’, source?
      Par contre que les médecins sont incité a maximaliser avec prime bidon de 55€ – ne semble pas fake.
      https://www.ameli.fr/medecin/actualites/les-medecins-au-coeur-du-circuit-de-contact-tracing-des-patients-covid-19

      Reste qu’on entretien le bidouillage des chiffres, ‘avec ou de’ pour Sarscov 2 et absence de valeur CT pour test PCR. Aller voir sur INSEE toujours RAS depuis début mai!
      =coup d’état mondial

      • une remarque au début de l’epidémie vous aviez des gens qui disaient que le gouvernement cachaient des morts, notamment dans les ehpad, désormais il en rajoutetrait..

        En fait les morts dus au covid seront estimés à la fin.. en croisant quelques données..en espérant que le confinement ne foute pas un bordel monstre ..

        on va vous le répéter la petite vieille morte avec le covid a t elle vue sa vie abrégée par le virus..eh ben pas facile à dire….
        suivre la mortalité générale..

      • « les-medecins-au-coeur-du-circuit-de-contact-tracing-des-patients »

        Rien que le titre est un scandale. Les médecins de ville sont clairement cantonnés à l’alerte, littéralement exclus du processus de soin alors qu’ils devraient avoir une position centrale et, au contraire, les hôpitaux placés dans leur rôle naturel de fournisseurs, aux ordres des médecins de ville.

        Il convient non seulement de privatiser les hôpitaux, mais il est également indispensable d’abolir la SS.

      • cotation MIS : + 35 euros à ajouter à 25 euros de la cotation G/GS.
        A faire selon certaines conditions qu’au final on arrive à faire une fois en 2 semaines… c’est sur que d’un coup je me sens super riche !

    • Non non, notre responsabilité est personnelle avant tout, elle ne peut pas être engagée pour la transmission (involontaire) d’un virus. Il est de la responsabilité de chacun de se protéger des virus par l’hygiène, la distance des personnes malades, le renforcement du terrain, les soins.
      Vous inversez totalement le sens du mot responsabilité, votre raisonnement repose donc sur du vent, il est fallacieux.

      • Homicide par négligence, ça n’est pas donc reconnu chez les libéraux. Je suis heureux d’avoir compris que je n’étais pas libéral.

        • Je vous mets +1, pour une fois. Vous n’avez en effet pas compris grand-chose sinon au libéralisme, en tout cas au concept de liberté/responsabilité.

          • J’ai été un peu sévère dans mon jugement. Disons que vous êtes dans une recherche du risque zéro qui me paraît largement incompatible avec le libéralisme.

        • Le problème étant que la négligence, il faudrait s’entendre sur la définition de ce terme. À vous lire, vous placez le curseur à un niveau très liberticide. Sachant que les virus se sont dans l’immense majorité des cas, au cours de leur très longue histoire, transmis d’homme à homme par « négligence ».

        • Le vie n’est pas une négligence. Vivre normalement n’est pas une négligence, sauf à transformer la vie en enfer, ce que ce gouvernement de gougnafiers se propose d’ailleurs de nous imposer.

          Encore une fois, il faut admettre la fatalité sans chercher à tout prix des boucs-émissaires aux désagréments de l’existence.

          Pour notre édification, voici un médecin qui a su garder raison sur l’épidémie (même s’il se trompe gravement sur l’organisation de l’hôpital, mais ça se soigne) :
          https://youtu.be/uxObTvpMQro

  • Ils s’améliorent tous les jours,double peine à venir ,confinement PLUS couvre-feu…
    Ils prennent goût à l’autoritarisme.

  • La santé est une affaire individuelle. Tout notre malheur vient de l’organisation par l’Etat de la Santé publique.
    Cette étrange notion lui permet de faire à peu près n’importe quoi, à titre collectif, dès lors qu’il estime devoir faire le bien de ses enfants, pardon, ses citoyens, y compris malgré eux !
    Ça ne date pas d’hier. La prohibition de l’alcool ou des drogues, sévère ou light, comme la loi Evin, la ceinture de sécurité obligatoire, les vaccins obligatoires (y compris le tétanos, qui n’est pas contagieux), etc.
    Aujourd’hui, c’est le confinement arbitraire de pans de l’économie dont rien ne prouve qu’ils sont à l’origine de clusters… pendant que les écoles, inévitables clusters, restent ouvertes !
    Objectif honorable : éviter l’engorgement des hôpitaux, pour continuer d’accueillir tout le monde. Or c’est ce même Etat qui a contribué, au nom de l’efficacité économique, à en réduire la voilure, au mépris de la Santé publique. Incohérent et inconséquent Etat… comme toujours !

  • « La liberté est consubstancielle de l’humanité. »
    Cela va même plus loin. Une liberté croissante est une constante de l’Évolution. Au fil des millénaires, les organismes s’émancipent des contraintes dues à leur milieu. L’homme est un animal peu spécialisé, multitâches en quelque sorte, et c’est pourquoi l’espèce humaine est devenue ce qu’elle est – hélas diront certains. En somme, la liberté, d’un point de vue zoologique, c’est la Vie.

  • Tout ça pour 35 000 morts AVEC le Covid d’âge médian égal à 84 ans. Statistiques des décès en France fournies par l’INSEE pour les 8 premiers mois de l’année.
    2018 : 435270. 2019 : 433567. 2020 : Roulements de tambour, attendez-vous au pire…437727, c’est-à-dire, aucune différence statistiquement significative avec les deux années précédentes…En laissant la liberté au citoyen, il aurait pris la responsabilité de faire ce qui est pertinent pour son cas personnel.

    Enfin bonne nouvelle, les maisons closes restent ouvertes!

    • Quand on connait le rôle des grands parents dans la transmission psychologique générationnelle…Vos absurdes raisonnements sur..: Bon ils ont plus de 80 ans laissons les partir …!!! Est pathétique..Après vous ne représentez guère plus d’1% de la population ce qui est très réconfortant …

      • Demandez à la plupart de nos anciens ce qu’ils en pensent. Beaucoup considèrent à juste titre que leur vie est derrière eux, et qu’il ne faut pas compromettre l’avenir de leurs enfants, petits enfants et arrière petits enfants.

        • Et il vaut mieux, en effet, qu’ils meurent avant de constater combien leurs descendants vont gâcher cet avenir et ces illusions sentimentales…

          • Pas nécessairement. Nos anciens étaient plus conservateurs que les générations d’après. Par contre, on observe quelque chose d’intéressant (il existe plusieurs études sur le sujet aux USA) :
            – les couples conservateurs font en moyenne 2,1 enfants
            – les couples libéraux (au sens américain du terme) font en moyenne 1,8 enfants
            – les libéraux se mettent plus rarement en couple que les conservateurs

            => on est donc en dessous du seuil remplacement pour les libéraux, alors qu’il y a un remplacement assuré pour les conservateurs…à terme, ceci fera très probablement pencher les élections en faveur des conservateurs

            • Il est question ici de psychologie…Mais j’avoue que cela n’est pas très libéral…ni économique..quoi que..mais là c’est pour les experts..!!

            • Pour les US, les milenials sont effectivement très « liberals » mais la génération d’après semble la plus conservatrice depuis… bien longtemps.
              C’est une évidence que le conservatisme social et le libéralisme économique finiront par triompher puisqu’ils sont dans l’ordre de la nature humaine quand le progressisme social et le socialisme économique vont eux CONTRE la nature humaine…

      • « laissons les partir … »

        Qui a dit qu’on ne devait pas soigner les malades ?

        « vous ne représentez guère plus d’1% de la population »

        Ceux qui ne sont pas dans la ligne du Parti doivent « fermer leur gueule » ?

        • Pas du tout ..Lâchez vous cela évite des passages à l’acte..!! et les minorités ont toujours des points de vue interessants

      • « Bon ils ont plus de 80 ans laissons les partir …!!! »

        Le « quoi qu’il en coute » est important chez les gauchistes uniquement quand ce sont les autres qui paient la note.
        La solitude étant une cause importante de mortalité, si vous n’avez pas vos vieux parents chez vous ou l’intention de les garder, vous avez établi le prix de leur vie et il n’est pas cher.

  • Ce qui me sidère, c’est de constater que ce qu’il se passe en France se passe également, globalement dans tout les pays occidentaux. Je n’ai aucune explication rationnelle pour expliquer ça. Les « élites » françaises sont faisandées, on en est tous conscient. Mais pourquoi est-ce quasi général?
    Je fais partie, comme vous, des gens qui pensent que ce Covid est gérable, même s’il faut reconnaître que c’est plutôt sévère. Quelques mesures s’imposaient certes, mais on ne peut pas non plus bloquer plus de la moitié de la population mondiale, si?
    Et surtout, essayons d’être pragmatique: la seule question qui me turlupine est: « comment fait-on pour sortir de là sans (trop) d’effusion de sang? » Est-ce possible? Ces parasites ne s’en iront pas tout seuls.

  • Véran qui dit ce matin sur RTL « nous avons battu le virus une première fois »,à la rigueur nous l’avons contenu mais il était toujours présent c’est l’été qui a suivi le déconfinement qui a donné cette illusion.
    Le « soyez fiers d’être des amateurs »se vérifie tous les jours.
    Certains appellent à une VIe république en fait nous sommes passés de la Ve à la république sanitaire.

    • Plus les jours passent, plus Véran raconte n’importe quoi. La seule explication est qu’il se sait condamné et qu’il abat désespérément ses dernières cartes.

      • acculé au désespoir, il devient dangereux… A mettre au frais pour son bien !

      • Imaginer cela est ignorer la réalité, il appartient à une nomenklatura, si les autres le lâchent, ils savent que ce pourra être leur tour, donc, sauf grave mise en cause en justice, Véran rebondira dans une belle sinécure. Il est encore jeune et à de belles compétences à mettre en œuvre « au service de l’État ».

        • Il faut voir comment, dans ce milieu, l’échec est vécu. Bien sûr qu’il sera récompensé par une sinécure mais ces gars s’en foutent, tellement ils sont sûrs d’y avoir droit, parce qu’ils le valent bien, parce qu’ils se voient tellement au-dessus de la masse. Regardez certains pleurer quand ils se font lourder. C’est dramatique (surtout pour nous).

  • Plutôt que de faire de belles phrases (que j’approuve pour l’essentiel), regardez ce que dit un praticien réanimateur, des décisions néroniennes (je partage la comparaison avec Néron bien plus qu’avec Jupiter): https://www.youtube.com/watch?v=uxObTvpMQro
    Voyez l’abîme entre un homme de terrain (sympa de surcroît) et nos ronds de cuir parisiens.

    • Il est adoubé par le druide marseillais qui raconte des bobards …donc bien peu credible..!!!

      • c’est vrai que les ronds de cuir comme castrex sont bien plus crédible. Demandez à toutes les infirmières que vous connaissez…vous verrez que beaucoup d’entre elles sont au bout du rouleau, et qu’elles en ont assez que le gouvernement ne laisse pas les médecins de ville faire leur travail. Si on traite – même inutilement – dès l’apparition de symptômes caractéristiques, on a beaucoup moins de monde qui fini à l’hopital.

        • Je vous l’accorde sans problème au sujet de castrex..Quant aux IDEs , je vois que les toutes jeunes sortant juste de la réussite à leur diplôme se retrouvent propulsées en secteur covid et qu’à ce rythme là elles ne resteront pas trop longtemps à l’hôpital public ..Déontologiquement je me tairais au sujet de certains de mes confrères…

          • Je pense que vous n’imaginez même pas le nombre d’infirmières qui ont travaillé en milieu hospitalier et qui sont désormais techniciennes de surface (soit du fait de licenciements ou d’un raz le bol généralisé dans la gestion des hopitaux). Typiquement, dans la ville où je réside, il y a 10 ans, on avait 10 infirmières affectées au seul service de cardiologie…contre 1 seulement aujourd’hui.

            Quid de votre déontologie quand on a un article du Parisien qui dénigre Raoult sur une page…en mettant en grand sur la page d’en face une pub pour Gilead Science…

            • je ne pense rien sans avoir lu l’article.. c’est tout de même curieux de demander quoi penser de cela..

              et gilead je m’en fous..
              si vous avez des preuves de corruption..très bien..

              que voulez vous dire par là??
              que Gilead fait pression sur la presse pour publier sur raoult?

              • Raoult est une remise en cause du narratif gouvernemental, à ce titre il doit être « liquidé » et tous les Macroniens s’y emploient.
                Gilead fait simplement sont beurre sous l’ombrelle de Macron, ce n’est pas comme si le capitalisme de connivence était une nouveauté.

          • Par ailleurs, j’ai franchement du mal à imaginer que vous soyez médecin au vu du nombre de vos contributions sur Contrepoints. Vous semblez être expert en tout, donc vous n’êtes en réalité expert en rien. Je n’aime pas à me livrer à des attaques sur le plan personnel, mais votre histoire ne me semble pas crédible au vu du temps et du soin que vous mettez à répondre aux commentaires qui sortent de la ligne du parti de la pensée unique.

            • je ne prends pas cela pour une attaque , c’est votre point de vue…Tout aussi respectable que le mien….Après vous savez tout aussi bien que moi qu’un psychiatre n’est pas vraiment un médecin…Et puis vous avez votre pensée libérale unique , j’ai la mienne …heureusement que nous divergeons ce serait d’une tristesse…

              • Du coup, au vu de votre spécialité, il nous est facile de comprendre que votre portefeuille souhaite un confinement encore plus dur et une ruine encore plus grande. Je me trompe ?

              • « votre pensée libérale unique »

                Réponse :

                « Les socialistes, élevés dans l’idéologie, ne peuvent concevoir qu’il existe d’autres formes d’activité intellectuelle. Ils débusquent partout cette systématisation abstraite et moralisatrice qui les habite et les soutient. Ils croient que toutes les doctrines qui les critiquent copient la leur en se bornant à l’inverser et qu’elles promettent, comme la leur, la perfection absolue, mais simplement par des voies différentes. »

                « Le libéralisme n’a jamais été une idéologie, j’entends n’est pas une théorie se fondant sur des concepts antérieurs à toute expérience, ni un dogme invariable et indépendant du cours des choses ou des résultats de l’action. Ce n’est qu’un ensemble d’observations, portant sur des faits qui se sont déjà produits. »

      • Pour votre information, « le druide marseillais » avait prévenu le gouvernement de l’époque ( 2003) et Mattei ministre de la santé du risque de développement des épidémies ( type grippe et virus apparentés) dans les décennies à venir dans un rapport sur le bioterrorisme demandé précisément par le gouvernement.
        Voir la partie du rapport ici: http://blogs.senat.fr/maladies-emergentes/files/Rapport-Raoult-Bioterrorisme.pdf page 21 (c’est le blog du Sénat donc officiel). En 2010, le gouvernement a demandé à Raoult un complément d’étude sur le sujet. Dont apparemment il n’a pas tenu compte non plus, bien que Raoult ait déploré le manque de préparation des services de santé que le monde entier nous envie, et l’inorganisation du secteur pour faire face de manière cohérente et efficace aux prochaines épidémies. Nous y sommes 10 et 17 ans après.
        Alors, vous moquer de Raoult, vous avez le droit, mais étaler votre méconnaissance du sujet, c’est surtout étaler un manque d’honnêteté intellectuelle certain.

      • « druide marseillais »

        En pensant le rabaisser, vous faites son éloge. Dans les société qui ne connaissaient pas ou ne connaissent pas encore la médecine moderne, le druide ou chamane ou sorcier est un haut personnage qui inspire confiance et au minimum connait quelques « trucs » pour aider les gens.

        Vu l’impuissance de la médecine scientifique pour soigner les malades du virus, on retombe dans une médecine plus « ancienne » et peu scientifique, mais à la limite mieux vaut se faire soigner par un chamane et le quinquina que par du N-acétyl-para-aminophénol.

        • Et quand je vois des pubs pour des médicaments homéopathiques avec la mention :

          « Tout médicament peut exposer à des risques, parlez-en à votre pharmacien »,

          je me demande qui sont les druides …

          • Nous sommes donc d’accord….faut juste eviter des molécules à gros effets secondaires….Des « Raoult » il y en a plein la campagne limousine et d’ailleurs aussi…

            • Pour votre information, « le druide marseillais » avait prévenu le gouvernement de l’époque ( 2003) et Mattei ministre de la santé du risque de développement des épidémies ( type grippe et virus apparentés) dans les décennies à venir dans un rapport sur le bioterrorisme demandé précisément par le gouvernement.
              Voir la partie du rapport ici: http://blogs.senat.fr/maladies-emergentes/files/Rapport-Raoult-Bioterrorisme.pdf page 21 (c’est le blog du Sénat donc officiel). En 2010, le gouvernement a demandé à Raoult un complément d’étude sur le sujet. Dont apparemment il n’a pas tenu compte non plus, bien que Raoult ait déploré le manque de préparation des services de santé que le monde entier nous envie, et l’inorganisation du secteur pour faire face de manière cohérente et efficace aux prochaines épidémies. Nous y sommes 10 et 17 ans après.
              Alors, vous moquer de Raoult, vous avez le droit, mais étaler votre méconnaissance du sujet, c’est surtout étaler un manque d’honnêteté intellectuelle certain.

            • Je comprends bien l’inquiétude des médecins et du gouvernement sur l’automédication à base de molécules actives choisies sur la base de « on-dit » (et avec parfois des énormités sur la posologie et des confusions sur le produit).

              Moins que des Enarques interdise aux médecins de soigner leur propres patients avec autre-chose que des placebo sur les recommandations du Docteur Folamour.

              • A propos de l’homéopathie, le risque de surdosage d’un quelconque principe actif est nul. C’est plutôt l’hyperhydratation qui est à craindre.

                Des médecins peuvent être légitimement inquiets pour la santé de leur patientèle. C’est l’essence de leur art.

                En revanche, le gouvernement n’est jamais inquiet pour notre santé. Il ne s’intéresse qu’au contrôle de nos vies, peu importe notre état de santé. S’il doit détruire nos vies pour garder le pouvoir, il le fera sans hésitation ni remord. Les scandales sanitaires à répétition (l’interdiction de l’HCQ n’étant pas le moindre) le prouvent amplement. La santé, ou encore le climat, sont seulement de bonnes excuses pour son interventionnisme délirant, son appétence sans frein pour le pouvoir.

                • Désolé : « remords »…

                • L’hyperhydratation est à craindre avec l’homéopathie…!!!!
                  Vous m’autorisez la divulgation de vos propos …mes confrères vont d’abord rire puis pleurer …Effrayant..!!! Quant au plaquenil sa seule utilisation reste dans les polyarthrites rhumatoides et qqs lupus c’est tout..

                  • Incapable de comprendre une phrase pourtant simple, votre cas est encore au-delà que ce qu’on pouvait soupçonner.

                  • Il a probablement voulu dire qu’il faudrait avaler quelques millions de cachets avec autant de verres d’eau pour avoir une dose significative de principe actif.

                    Par ailleurs, il me semble qu’on ne sait pas pourquoi la quinine agit dans les lupus ou autre. Pas plus que pour le palu. (Mais sans LARIAM, je ne serais pas ici pour en causer). C’est la santé par les plantes (quinquina) : efficacité limitée et inconnue pour le Covid, mais quand même à la base de la pharmacopée dont l’intérêt a été prouvée par de LONGES études en isolant les molécules actives

                    • Quelques millions fois zéro valent toujours zéro. Il ne reste que l’eau risquant, à haute dose, de devenir un poison.

                    • Disons qu’au niveau de dilution utilisé, il faudrait faire appel à la mécanique quantique et la superposition d’états pour expliquer une quelconque efficacité.

                      Raoult est le druide du HCQ et des traditions, Schrödinger le druide de l’homéopathie et des temps modernes.

                    • Mouais, le druide, le savant de Marseille, etc.

                      L’insulte a plus fait pour sa notoriété que ses travaux. C’est un échec de communication spectaculaire pour ses détracteurs, un cas d’école de nullité crasse, le contre-exemple à enseigner aux jeunes professionnel. Lui est apparu pondéré, objectif, cohérent, fondé à s’exprimer, tandis que ses détracteurs passaient pour de petites sal… persiflantes et haineuses, surexcités, déluge d’arguties moisies la bave aux lèvres, sans parler de leur corruption avec les labos amplement mise en évidence.

                      Après, sur le fond, on s’en fout pas mal de Raoult et de l’HCQ. C’est la liberté de prescription qui est en danger et c’est ça qui importe plus que tout.

                    • non pas que la liberté de rescription il se présent comme scientifique..et médecin. mais on ne sait pas toujours quelle casquette il porte..

                    • On vient juste de vous dire que ce n’était pas le sujet.

  • Bon. D’accord à 100% avec la philosophie de l’article.
    Les libéraux, par leur détestation même de l’action collective, restent systématiquement dans le discours.
    Et donc, quelles sont les avenues d’action (idéalement légales) possible?

  • Le constat est juste mais il n’y a pas de solution car comme le dit H16 depuis 10 ans, ce pays est foutu, irrémédiablement.
    On dit que les Français ne veulent plus mourir pour rien mais la réalité est un peu moins manichéenne…Qui a envie de mourir pour une liberté dont ne veulent pas les Français ? Contrairement aux gens qui vivaient en Allemagne Nazie ou en URSS, nous avons encore la possibilité de quitter ce pays de dingues et de laisser ceux qui s’y complaisent en assumer les conséquences. C’est leur droit et leur responsabilité après tout.

  • Entièrement d’accord. Ce Président, largement élu par défaut, flanqué d’un gouvernement de Pieds Nickelés et de conseillers non élus mais qui deviennent ivres de leur pouvoir, s’arroge le droit de devenir une sorte de Kim Jung Un occidental. Jusqu’à quand le peuple français va-t-il supporter cette dictature sanitaire invraisemblable uniquement basée sur la culpabilisation, l’infantilisation, la peur, la contrainte et aussi le mensonge (son dernier discours était truffé de chiffres faux balancés pour terroriser)?

    • Jusqu’à ce qu’il y ait une alternative crédible, appuyée sur un programme clair et présenté avec humilité et pédagogie. Donc, on n’est pas sortis de l’auberge !

      • Je sens quand même une forte montée de refus dans la population. Souvent de la colère. Le pouvoir ferait bien de faire attention parce que cette colère peut très bien se transformer en rage.

        • Cela n’arrivera pas trop d’aides et d’allocs depuis des années ont anesthésiés le peuple.
          Les gilets jaunes ont été un épouvantail éphémère entaché des dérives et violences qui s’en sont suivi.
          L’Etat a manoeuvré ,certes au prix de dégâts de morts et de blessés,mais comme il le fait actuellement dans le but de sauver sa peau sinon de faire
          exploser le système,cela n’allant pas assez vite à son goût.
          Le livre du candidat devenu président était Révolution…

      • L’erreur a été de ne pas tant mettre en avant le programme mais un individu qui avait ce programme. Si le programme avait été présenté comme l’important, et l’individu qui le soutenait comme accessoire et remplaçable, il aurait été futile de s’attaquer à l’homme.

        • Les français sont « royalistes » depuis des siècles et les pouvoirs sont pyramidaux alors qu’ils sont bien plus horizontaux dans d’autres pays comme l’Allemagne ou la Suisse. C’est pour ça que les français attendent « l’homme providentiel » qui est un vain espoir.
          En Suisse c’est tout juste si la moitié de la population arrive à dire qui est le président de la confédération de l’année (Le conseil fédéral est composé de 7 « sages « élus et son président change chaque année).

        • C’est le contenant qui permet d’identifier le contenu.

  • « le gouvernement élu d’un pays démocratique »

    Là réside la racine du mal. Illusion d’élection, illusion de démocratie.

    Un gouvernement élu par moins de 15% du corps électoral, à l’occasion d’une élection où la totalité des candidats sert la même pensée unique, n’a aucune légitimité.

    • certes mais que font donc les 85 %…???? reconnaissons au moins le vote blanc qui bien sûr posera un gros problème constitutionnel car il sera majoritaire..!!

      • Le problème c’est que le vote blanc n’est pas reconnu. A titre personnel, je milite pour un système de Condorcet backé par une blockchain.

        • Bof. Déjà, passons à un scrutin à un seul tour. Ca évite les magouilles d’entre deux tours, et ça rappelle aux élus combien d’électeurs les soutiennent réellement plutôt que juste de les préférer à un autre.

          • En UK, c’est le cas et ça n’a pas empêché un baltringue d’arriver au pouvoir en reniant tout son programme (air déjà connu).

    • Définition de « légitime » : Qui est consacré par la loi ou reconnu conforme au droit.

      • Légitime, qui est conforme à l’équité, qui est fondé sur le droit naturel, la morale, la loi divine.

        Vous n’êtes pas capable de lire jusqu’au bout, problème commun à tous les trolls. Du coup, il ne vous reste que des grumeaux entre les oreilles.

        • Le droit naturel est discutable dans sa teneur et son existence même. La morale dépend (devrait dépendre) de chacun (à moins que vous soumettiez la morale à un arbitraire quelconque, cher général). La loi divine ? Allons bon… étant plutôt athée, je ne pense pas que Macron doive être validé par le pape ou respecter la charia.
          Les élections étant organisées selon des règles de droit préétablies, connues, identiques pour tous, par des personnes démocratiquement élues, etc etc, les résultats ne peuvent être que légitimes…
          Si le président était élu au tirage au sort ou si le 3ème score était considéré gagnant, ce serait pareil. Ce serait légitime car fait selon les règles préétablies.
          Vu vos penchants anti-démocratiques et anti-libéraux (je vous rappelle que vous avez vous-même dit ne pas être libéral), pas étonnant que vous ayez du mal avec ce concept de légitimité. Vous préférez un bon despote arrivé là par un coup d’état, non ?

          • Une morale qui dépendrait de chacun n’existe pas. Confusion probable (car habituelle) entre morale et éthique. C’est visiblement trop dur d’ouvrir un dico.

            Pour le reste, sans surprise, vous racontez n’importe quoi. Hop, retour à la grotte vite fait, petit troll.

            • Vous avez raison pour la distinction entre morale et éthique. Vu que c’est une discussion qui anime nombre de penseurs et qui est un sujet du bac, je ne suis pas le seul à confondre et/ou à m’interroger. J’ai trouvé ceci : « La morale trace les contours de l’interdit, du prescrit et du permis. L’éthique, quant à elle, désigne le registre de l’intention personnelle et de l’interprétation des règles. Ces interdits et obligations de la morale sont écrits dans différents textes : Code du travail, Code pénal, contrat de travail. On peut encore évoquer les chartes morales ». (extrait d’un article du journal La Libre Belgique). La deuxième partie renvoie donc au droit positif. Donc ça confirme ce que je disais en premier lieu : légitimité selon la morale est donc conforme au droit.
              Pour le reste, je ne raconte pas du tout n’importe quoi, vous le savez pertinemment bien, vous refusez juste la discussion. Vous savez que vous pouvez juste dire « pas envie de discuter » ou même ne rien répondre ? Cela cachera votre caractéristique la plus saillante : le mépris que vous avez pour les gens.

        • en effet, légitimité si on a’ pas de contexte..macron est légitimement élu…

          et ceux qui le disent illégitime doivent préciser pourquoi.

    • illusion d’election? ou election illusoire? par rapport à quoi..

      l’election fut réelle et non un illusion et le president est élu légitimement au regard du respect des institutions.

      Avec 15% il est pleinement légitime au regard des institutions..et c’est navrant..sinon pathétique..

      alors aucun légitimité démocratique.. oui ou non…ou bien nos institutions sont celles d’un régime démocratique ou pas et ça peut se discuter.. et je suis désolé de vous dire que vous vous en foutez votre but est ailleurs il est politique..

      la question est d’ordre personnelle d ‘abord..est ce que ça vaut que je me rebelle…

      donc vous rebellez vous cavaignac..??

      • moi non et vous savez pourquoi parce que je ne me fais aucune illusion de ce qui sortirait d’une revolution..

        le discours que vous tenez peut être populaire tant qu’il s’agit d’éreinter macron..
        mais justement penser que macron est le problème ne mêne à rien de constructifs mais i juste disons au gilet jaune..

        « macron dehors »…on a du peuple ..mais qui à la place..on va rire..

        • « qui à la place » est un discours intenable. On imagine que les Allemands en 43 se posaient la même question et qu’il y avait alors des Jakob Licht pour dire qu’il ne fallait surtout rien changer, pour dire on ne sait jamais, ça pourrait être pire.

  • Tiens, Christian Crombaz vient de sortir une nouvelle vidéo intéressante : https://www.youtube.com/watch?v=AQEGVZz0zJw

    • Je trouve qu’il n’insiste pas assez sur la triple absurdité de la politique de gouvernement quand il évoque l’épargne qui s’accumule au grand dam du gouvernement :

      – la politique de la demande dont on sait qu’elle n’a jamais fonctionné,
      – le choix imposé de biens « écolos » dont on n’a pas besoin et seulement 20% des français ont envie, alors que chacun est dans la prudence par rapport à l’incertitude (créée par le gouvernement)
      – l’idée bizarre d’inciter les gens à consommer en les empêchant de se déplacer ou de profiter de la vie ?!? Mauvais timing ou profonde crétinerie ?

  • C’est même une double trahison:
    Pour information, « le druide marseillais » avait prévenu le gouvernement de l’époque ( 2003) et Mattei ministre de la santé du risque de développement des épidémies ( type grippe et virus apparentés) dans les décennies à venir dans un rapport sur le bioterrorisme demandé précisément par le gouvernement.
    Voir la partie du rapport ici: http://blogs.senat.fr/maladies-emergentes/files/Rapport-Raoult-Bioterrorisme.pdf page 21 (c’est le blog du Sénat donc officiel). En 2010, le gouvernement a demandé à Raoult un complément d’étude sur le sujet. Dont apparemment il n’a pas tenu compte non plus, bien que Raoult ait déploré le manque de préparation des services de santé que le monde entier nous envie, et l’inorganisation du secteur pour faire face de manière cohérente et efficace aux prochaines épidémies. Nous y sommes 10 et 17 ans après.

  • Justement : pour éviter l’éjection, pas d’élections 😉

  • Ce sont tous des sociopathes. Le seul moyen est d’être, en face, des psychopathes…

  • Emmanuel, nous voilà, toi le sauveur de la France……
    Les rues de Paris et des grandes villes dévolues aux bicyclettes, les commerces fermés, des « permis de sortie », des périmètres imposés, une référence permanente au « Président »,que des souvenirs!
    Il se voulut un nouveau de Gaulle, il n’est qu’un émule de qui vous devinez!

  • Bon, mais quel est le but ? Nos hommes politiques ne sont plus les s….ds communistes inféodés à l’URSS. Ils ont une idéologie financière et un esprit de caste mais on ne fait pas une dictature avec ça. L’ENA est un facteur d’asphyxie, par ses produits toxiques et surtout, irresponsables, qui cimentent les complicités entre l’Etat et les financiers. Mais ce tandem n’a pas une vocation dictatoriale car il a besoin de la consommation pour justifier son existence.
    La dictature sanitaire ne pourrait qu’être un moyen de faire obéir la population, c’est vrai, mais que feront les médecins confrontés aux assassins musulmans, aux flambées de colère populaires? Ils ne sont pas armés pour ça, même si leur dévouement est souvent largement pollué par d’autres motivations que le bien être de l population.
    Bien sûr, on peut évoquer les petit chefs, les roquets administratifs, les mêmes que ceux qui décomptaient le nombre de juifs en 1943. Ceux-là sont toxiques aussi, prêts à tout pour un jambon.
    Mais le fond de la question demeure: en dénigrant la mondialisation, Macron, bien qu’insignifiant, referme la porte du complot international, sauf manoeuvre ultime et tous les peuples d’Europe sont à peu près traités comme nous.
    Non, la volonté dictatoriale n’a pas de sens. En revanche, la terreur devant un monde nouveau, nécessairement affranchi des pesanteurs de l’actuel peut suffire à motiver la classe politique, soucieuse de ne pas être engloutie et justifierait lattitude somme toute, indolente, de la population.

  • 152 commentaires… je vais quand même y aller du mien.

    Bravo, parfait, tout est dit dans cet article. Merci à l’auteur.
    Les mots manquent pour exprimer la consternation, voire l’effroi devant des mesures qui mises bout à bout montrent clairement le caractère de plus en plus totalitaire du régime sous Emmanuel Macron ; mais aussi devant l’acceptation de ces mesures par une grande partie de la population, autrement dit par son acceptation de la servitude.

    Et ce n’est sans doute pas fini : un urgentiste rennais estime qu’il faut porter des masques même dans nos domiciles. Une caméra dans chaque pièce pour surveiller cela, en mode Big Brother, et la boucle sera bouclée.

    Le Français moyen a abandonné ses libertés, mais aussi le sens de ses responsabilités individuelles : il s’en remet à l’État pour tout, et c’est une forme de lâcheté. Le Français moyen est lâche, en fait. Certes, des dirigeants à l’esprit mal tourné l’y incitent. Mais justement, c’est là qu’il faut du courage, pour refuser ce confort lâche consistant à s’en remettre à l’État-nounou pour tout, et retrouver sa dignité d’être humain.
    Être humain ou robot, être humain ou bétail-esclave, tel est le choix.

    • tout est « légal »..
      et le peuple est d’accord..
      et c’est bien désespérant..

      mais c’est juste à mon opinion une evolution « naturelle » possible de la Veme..

      votre VRAI problème celui que vous ne voulez pas voir..et que ce n’est pas une election qui va changer les choses.. et sans doute pas des révoltes..

      ce sera l’effondrement ou le bout du pourrissement.

      • mais on sent fortement poindre justement l’envie d’un homme à « poigne »…

        • le pire du pire, à mon opinion des institutions comme celle des usa, des constitution d’inspiration libérale ne suffisent pas..

          • Certes, le texte ne suffit pas, il faut aussi songer à l’appliquer avec rigueur.

            Appliquer la loi, cela signifie notamment empêcher par la force un gus comme Macron encarté PS de jamais accéder au pouvoir, cela signifie interdire les partis qui ne satisfont pas la loi (en gros, la plupart des partis actuels).

            « Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l’homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté, et la résistance à l’oppression. »

  • Bref le top c’est de mourir libre, et de librement faire mourir les autres, comme au Brésil ou aux États-Unis. C’est chouette… Et sortir les articles de la constitution pour écrire cela, c’est un peu du foutage de g…. Mais bon, on n’est pas à une anerie près ici…

    • A voir l’état de la France dont vous soutenez la politiques et l’état des pays libéraux dont la politique est soutenue par contrepoints, on est vite fixé sur qui raconte des âneries.

    • « Bref le top c’est de mourir libre »

      C’est ce qu’on réclame pour les animaux de zoos et qu’on refuse aux êtres humains …

      Et pas besoin de sortir les articles de la constitution : « liberté, égalité, fraternité » ne peut pas être interprété comme « appropriation du bien d’autrui, servilité envers l’état et assimilation des arbres, des animaux, des humains, des genres, des cultures et d’un amas stellaire dans un gloubi-boulga idéologique ».

    • Mon pauvre, cela fait depuis l’aube de l’humanité que l’on fait « librement mourir les autres », vu la longue histoire des virus… c’est juste vous qui n’acceptez pas la réalité, à savoir que malgré toutes les précautions du monde, nous finirons tous par mourir. La question étant de savoir si entre temps, on aura vécu en homme libre, ou en esclave, en homme libre, ou en personne qui a peur de son ombre, en homme social (et libre) ou en reclus dans sa bulle – très égoïste.
      Sans parler de cette extraordinaire absence de mise en perspective donc de réalisme, consistant à ne pas voir que les mesures liberticides jamais vues mises en œuvre par Macron et cie – et les gens comme vous – vont causer des dizaines de milliers de décès dans les années à venir, car malheureusement la précarité et la pauvreté engendrent mécaniquement une baisse de l’espérance de vie. Et vous vous posez en champion de la défense de la vie ? Ou vous faites de l’humour noir ? Vous n’avez aucune crédibilité.

    • Vieille tradition socialiste de se torcher avec la constitution. On a les mêmes actuellement aux USA…

      Il faut dire que l’arbitraire ne s’embarrasse pas des lois.

  • Trahison : le mot est un peu fort mais il sonne bien, retient l’attention. Ecrire un article pour exister au yeux d’autrui est pour moi assez pitoyable.
    Il n’en reste pas moins vrai que sur la réduction de nos libertés s’accroit chaque jour et si l’état en est en partie responsable, les citoyens que nous sommes portent également leur responsabilité :
    * Tous ces « bons » Français qui réclament chaque jour qui passe l’intervention de l’état dans tout et n’importe quoi pour se faire nourrir au lait de ceux qui paient n’ont que le résultat de leur lamentations et demandes insistantes
    * la création de tous les outils technologiques de pointe (nos smartphone, iphone…entre autres) sont des outils d’espionnage très performants. Et sauf erreur ce sont nos inventeurs qui les ont ainsi conçus.
    Alors soyons responsables et acceptons notre part de responsabilité dans ce qui nous arrive. Il n’est point besoin de ressortir l’arsenal de la constitution, des droits de l’homme ou autres arguments philosophiques propres à impressionner le béotien pour s’apercevoir que nous avons bien agi et mis en oeuvre une partie des moyens des malheurs qui nous arrivent.

    • On accepte une part de responsabilité quand elle existe effectivement.

      Pas quand elle est inventée par un pouvoir pour se dédouaner de sa propre responsabilité, ce qui s’appelle une trahison.

  • Monsieur Patrick de Casanove, vous dites [que le pouvoir a choisi]
    la santé plutôt que la liberté, mais que, sans liberté, point de santé, ni physique, ni psychique, et vous ajoutez que la société sans liberté devient malsaine. Vous oubliez que transmettre la mort n’est pas une liberté, mais un crime par négligence. Vous oubliez que votre liberté s’arrête lorsqu’elle menace la vie des autres, et que la liberté absolue n’existe dans aucune société humaine, car sinon elle ne s’appellerait plus « société », mais « jungle ». Ayez du respect pour ceux qui agissent au service des autres en contexte incertain, prennent sur eux le risque de se tromper, et d’encourir le jugement de ceux qui comme vous n’ont fait que regarder la bataille.

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