Personnalité, liberté, propriété : ces principes piétinés par l'urgence sanitaire
L’État doit mettre fin au régime d’exception que constitue l’état d’urgence sanitaire. Il doit laisser les individus accomplir leur projet de vie.
L’État doit mettre fin au régime d’exception que constitue l’état d’urgence sanitaire. Il doit laisser les individus accomplir leur projet de vie.
L’anonymat sur la toile n’étant majoritairement qu’une Arlésienne, longue vie au PseudoAnonymat et fin de ce faux débat.
Il est infiniment souhaitable que les libéraux prennent offensivement la tête de ce combat.
Saisie par les autorités américaines, la justice britannique a refusé la demande d’extradition de Julian Assange. La situation s'aggrave.
Une petite pièce d'humour pour rire un peu de notre triste époque sous Covid-19.
Le rapporteur des Nations unies sur la torture demande le 5 janvier que Julian Assange soit libéré.
Un « passeport » permettant aux Français ayant eu recours à la vaccination de se déplacer à nouveau librement, serait un moyen détourné de rendre obligatoire un vaccin qu'on nous a présenté comme optionnel.
La question n’est plus de savoir quand et comment la Chine s’éveillera mais si, face à cette poussée autoritaire, l’Occident se réveillera.
Les libéraux savent que le progrès de la liberté exige un engagement personnel. En 2021 les libéraux doivent s’engager.
Pour plaider la sauvegarde de nos libertés, appuyons-nous sur trois qualités libérales : le doute, le pragmatisme et la morale.
La pandémie a occulté de très dangereuses tendances qui avaient commencé avant elle et qu’elle a parfois exacerbées.
Une bonne gestion comprend une épidémie contenue, une économie prospère et une société harmonieuse. Pour y parvenir nul besoin de coercition. Au contraire il faut respecter la liberté, la propriété et la personnalité.
Le projet de loi instituant un régime pérenne de gestion des urgences sanitaires montre que les politiciens français sont étatistes. Ils croient en la nécessité d’une autorité centrale pour contrôler les rapports entre les êtres humains.
Un projet de loi a été déposé, ayant pour but d’échapper au contrôle du Parlement en cas de crise sanitaire, donnant tous pouvoirs au ministre de la Santé et au Premier ministre.
Ceux qui souhaitent aujourd’hui limiter la liberté d'expression en interdisant l’offense, se revendiquent eux-mêmes du camp progressiste. Qu’en est-il ?
L’esprit paternaliste des politiques publiques répressives pose problème, au-delà de l’inefficacité de l’appareil bureaucratique.
Le gouvernement tente aujourd’hui d’introduire dans le droit commun plusieurs mesures de l’état d’urgence sanitaire, réduisant davantage le sort des libertés publiques dans ce pays.
Comme pour l’état d’urgence tout court, il est question d’intégrer l’état d’urgence sanitaire dans le droit commun. Il fallait s’y attendre, c’est la méthode Macron.
C'est presque en catimini hier soir qu'un projet de Loi a été déposé en vue de pérenniser les prérogatives du gouvernement, voire de les étendre.
Si la société mainstream connaît ses Raspoutine, la société dissidente connaît, elle, ses Winston et Julia, d’affreux complotistes. Allons-nous vers la route de la servitude sanitaire ?