Privatiser la vaccination pour ne pas être privés de vaccins
Emprise technocratique et défaut d’innovation, la France cumule les handicaps.
Emprise technocratique et défaut d’innovation, la France cumule les handicaps.
Célébrer aujourd’hui « collectivement » et en « différé » les victimes du covid effacera-t-il ces moments volés même au nom de l’urgence sanitaire ? Il est à craindre que non.
À l'accroissement du poids de la sphère publique, désormais des politiques de plus en plus absurdes justifiées par une pandémie de moins en moins anxiogène pour les Français.
Les dîners clandestins organisés par Pierre-Jean Chalençon ont porté à ébullition une opinion publique chauffée à blanc par les restrictions sanitaires : et si l’imaginaire véhiculé renvoyait en fait à celui des dîners du Siècle ?
Le sous-investissement de l’État dans le secteur est chronique et ce malgré la crue continue de la dépense publique dans notre pays.
Une récente étude de L’INSPQ sur les contacts sociaux permet de mieux comprendre pourquoi les mesures sanitaires les plus sévères sont inutiles.
Les interdictions et les contrôles récents de la population française montrent à quel point la France a urgemment besoin d’un vrai tournant libéral.
Il est temps aujourd’hui de lever les interdictions qui pénalisent les vendeurs comme les acheteurs, car tous les commerces sont essentiels.
Pourquoi refuser tout traitement de la maladie à sa naissance alors que le passage aux formes plus graves expose au risque de perte de contrôle ? Le gouvernement a-t-il fait son deuil de l’approche traditionnelle des épidémies confiée d’abord aux médecins chargés de délivrer les premiers traitements ?
Emmanuel Macron a cédé au collectivisme le plus basique : utiliser la population en variable d’ajustement de leurs mauvais résultats plutôt que d’ajuster les services de l’État aux besoins de la population.
Appliqué à quelques grandes problématiques de notre époque, il apparaît que le "vivre avec" peut recouvrir des acceptions bien différentes.
Avons-nous à craindre (ou espérer) un retour à l’inflation ?
Sous la pression des climato-gauchistes les banques vont-elles cesser d’investir dans les énergies fossiles ?
Introduire l'État dans le domaine de la santé a toujours été une hérésie qui ne conduit qu'à des pénuries, des gabegies, un effondrement de la qualité des services prodigués et une évaporation de la liberté.
OPINION : une école confinée réussie passera par une adaptation, pas par une reproduction du modèle école à la maison.
Malgré un budget de plus de 70 milliards par an, les problèmes de recrutement des médecins et de tous les personnels soignants perdurent. L’hôpital absorbe près de 40 % du budget santé pour n’assumer que 25 % des soins.
On cède petit à petit sur les libertés individuelles dans l’espoir de reprendre un jour une vie normale. Aujourd’hui, de plus en plus de monde accepte l’idée dangereuse d’un passeport vaccinal comme porte de sortie de la crise.
Emmanuel Macron nous offre une application sanitaire de la rhétorique qui l’a fait élire. Un équilibre qui se fait malheureusement au détriment de la liberté.
Le gouvernement n’en finit plus d’innover sous le coup de la crise sanitaire. Après la novlangue, le nouveau slogan de sa campagne s’intitule « Dedans avec les miens, dehors en citoyen ». Qu’en penser ?
Alors que notre pays est incapable de rembourser sa dette normale, le gouvernement parle déjà de savoir qui paiera la dette Covid sans même savoir chiffrer son montant.