Nomination de Sibeth Ndiaye : Macron, président de la post-vérité ?
L’ère de la post-vérité pourrait être aussi celle où apparaît le pouvoir, et donc les relations de domination, dans toute sa crudité.
L’ère de la post-vérité pourrait être aussi celle où apparaît le pouvoir, et donc les relations de domination, dans toute sa crudité.
À l’heure où les vieux partis s’effondrent, il est urgent d’ouvrir la possibilité d’un choix dégagé des entraves majoritaires du tout ou rien.
L’administration dispense des règles de transparence au contribuable qu’elle ne s’applique pas elle-même.
Deux grands États, deux visions différentes de l'Europe. Lorsque le président français parle de centralisation et de bouclier social, la leader des conservateurs allemands lui répond "subsidiarité" et "responsabilité".
C’est le portrait d’une Europe repliée sur son passé et qui a peur de tout que nous a livré Emmanuel Macron.
Un portrait psychologique du fanatique sous toutes ses formes.
Sous couvert de faire notre bien, l’État nous considère comme des êtres immatures, à jamais incapables d’avoir un jugement et de faire des choix.
La politique énergétique actuelle fait disparaître des emplois qui se créent ailleurs, elle n’est donc pas adaptée à un pays en pleine crise sociale.
Voulons-nous l’avènement à moyen terme d’un intranet français ?
La catastrophe sanitaire n’est pas loin et, comme souvent, ce sont les plus vulnérables qui sont frappés de plein fouet.
On s’enroule dans le drapeau comme pour voiler les nudités honteuses des nouvelles lois.
Difficile de discerner le moindre libéralisme dans ce sur-place tout empreint du principe de précaution si caractéristique des politiques françaises depuis 40 ans.
La France, pépinière de petits dictateurs en herbe ? C’est une longue tradition !
Un référendum pourrait réellement susciter l’apaisement, ô combien nécessaire à la ré-élaboration de notre projet commun. Une opinion de Manon Laporte. OPINION
Au détour d’émissions télévisuelles que le bon sens et le temps limité d’un homme de bien commandent de ne pas regarder trop longtemps, trop souvent…
Emmanuel parle beaucoup de maintenir le cap des réformes. Mais s'est-il véritablement engagé dans la voie de la transformation du pays ?
La grand soir fiscal n'est pas pour demain, car l’État met toujours la charrue avant les bœufs... Résultat désastreux garanti.
Les dépenses de retraite représentent 6 % du PIB en Nouvelle-Zélande et 13 % en France.
Il ne suffit pas de dire « c’est écologique » pour rassurer le peuple, il faut le démontrer.
Il serait peut-être plus intéressant pour tout le monde de se questionner, par exemple, sur des modes de production plus efficients plutôt que d’opter pour une solution extrême.