Ne pas remplacer l'ENA est impensable pour Macron
Troquer l’ENA pour un Institut du Service Public ne garantira toujours pas à la nouvelle école de se libérer de ses démons technocratiques historiques.
Troquer l’ENA pour un Institut du Service Public ne garantira toujours pas à la nouvelle école de se libérer de ses démons technocratiques historiques.
Quand prendra fin cette pulsion interventionniste et dispendieuse ? Ne sommes-nous pas en train de devenir totalement dépendants d’un État socialiste qui veut tout régenter et qui nous ruine un peu plus chaque jour ?
Des politiques qui admettent leurs erreurs ? Ça existe. Surtout ailleurs
Le bilan de Macron n’est pas fantastique. Mais peut-on imaginer que Hollande puisse espérer faire mieux, après les dégâts qu’il a lui-même causés pendant les cinq années précédentes ?
Les débats qu’un pays en difficulté comme la France devrait s’offrir pour la recherche de solutions à ses problèmes sont contraints, parfois même interdits.
En quoi donc l’état d’urgence sanitaire serait-il nécessaire s’il sert à imposer des mesures coercitives peu efficaces ? La question mérite d’être posée…
Pas un seul homme politique avisé ne se risquerait à un retour à l’absolutisme. À part peut-être le président Macron.
Tandis que la France souffre d’une sévère crise sociale et industrielle, Emmanuel Macron veut « faire converger les enjeux climatiques et la préservation des écosystèmes » lors du troisième One Planet Summit dont il est lui-même à l’initiative.
Un endettement faible révèle une succession d’exercices vertueux, témoignages d’une bonne gestion construite et poursuivie par plusieurs gouvernements sur la durée. Un très fort endettement prouve exactement l’inverse.
Emmanuel Macron déplore la contestation de l'autorité parmi ses concitoyens. Une vision de la gouvernance exclusivement verticale.
À droite, au sein de LR, quelques timides pistes libérales sont proposées. Dépasseront-elles le stade des suggestions ? Un billet d'OPINION.
Ni Joffrin ni Hollande ne semblent s’être livrés à une remise en cause des fondements mêmes de leur logiciel socialiste.
La liste de ratages gouvernementaux nous montre combien nous avons basculé dans un régime politique d’un autre type. Il faut se rendre à l’évidence : servir le peuple et assurer son bien-être ne semble plus être la priorité de l’État.
Comment, chez notre élite administrative qui n’a qu’une vision très distanciée, la collision avec le réel pourrait-elle provoquer un choc opérationnel ?
Ne nous trompons pas, le plus à plaindre ne serait-il pas l’Hexagone ?
À travers le parcours de Sibeth Ndiaye, le gouvernement Macron fournit l’exemple indiscutable d’une décomposition passablement avancée.
Décidément, nous sommes coincés entre une approche écolo-socialo-cosmétique gouvernementale, et les coups de boutoir communistes d’une SNCF dont les véritables managers semblent se trouver à la CGT.
À moins d’un sursaut, le grand perdant sera la France, puisque Les Républicains préfèrent se saborder plutôt que de tirer parti du chaos généré par le camp adverse.
Mélenchon est un communiste assumé. En cas de victoire aux élections, il se prépare à s’en prendre aux libertés individuelles les plus basiques.
Ne pas hiérarchiser les problèmes du pays constitue une terrible méprise, consistant à céder aux sirènes bucoliques et coûteuses de l’écologie avant même d’avoir pris la peine d’assainir nos finances.