Une génération sacrifiée : la Covid-19 perturbe la vie des étudiants
Les effets néfastes du confinement sont en train de se concrétiser. Parmi les victimes, la jeunesse et les étudiants.
Les effets néfastes du confinement sont en train de se concrétiser. Parmi les victimes, la jeunesse et les étudiants.
Au nom de la lutte contre le radicalisme, Emmanuel Macron entend soumettre l’instruction en famille à autorisation, et menace de faire disparaître la liberté d'éduquer.
Tous les trois ou quatre ans, effroi ! La France se découvre nulle en maths.
La question de l’égalité a pris partout le pas sur celle de la qualité.
Quand sonne le glas des valeurs de la République : le droit d’apprendre autrement est interdit.
Il est à craindre que la piste choisie par ce gouvernement soit vaine. Le problème se situe au-delà des quatre murs d’une salle de classe.
L’Éducation nationale n’est plus en mesure de mettre les professeurs nécessaires en face des élèves. Lui rajouter 50 000 élèves à la rentrée prochaine est impossible.
Le rôle de l’État en matière d’éducation doit évoluer et la pandémie du Covid-19 nous a prouvé qu’un État centralisé ne peut être aussi réactif qu’un État où les responsabilités sont partagées entre le local et le national.
Macron a saisi l’occasion de la question légitime des « séparatismes » pour faire entrer tout le monde, absolument tout le monde dans le système de l’Éducation nationale. Rien en dehors de l'État.
Pour répondre à la menace de partition politique et culturelle islamiste, Emmanuel Macron revient à nouveau sur les droits des citoyens en attaquant de front la liberté scolaire, mais aussi celle d’association et de religion.
L’expression « tenue républicaine » telle que mobilisée par le ministre de l’Éducation nationale, remise dans son contexte, ne s’inscrit pas dans une perspective juridique.
Une rentrée scolaire normale avec le secret espoir d’un retour durable à la situation antérieure ? Pas tout à fait...
La rupture de l'apprentissage scolaire pendant la crise sanitaire est un vrai sujet d'inquiétude. Regard d'un enseignant.
Faut-il contraindre les familles à user de leur allocation de rentrée scolaire intelligemment ? Non, et voici pourquoi. Un billet d'opinion.
L’arrivée massive des étudiants chinois et la restriction annoncée de la liberté académique et des autres libertés fondamentales modifieront durablement les équilibres sur les campus des universités de Hong Kong.
Le taux de réussite au bac s’établit cette année à 98 %. Ce chiffre est inquiétant et illustre l’état de décomposition de notre système éducatif.
Financer l’éducation scolaire et plus les écoles, voilà un véritable changement de fond, pour le meilleur.
Le bac de 2020 ressemblera à celui de 1968, sa valeur sera aussi pauvre. Les élèves eux-mêmes en sont conscients et craignent pour leur carrière future.
Un diplôme ne devrait pas être un certificat de participation ou une médaille en chocolat pour acheter la paix sociale.
La sortie de Jean-Michel Blanquer nous rappelle ce qu’est une institution et un ministre en roue libre, totalement déconnecté de la réalité qu’il est supposé administrer.