Emmanuel Macron en donneur de leçons sur la vaccination en Afrique
Alors que dans d'autres pays, au moins un traitement précoce des patients était laissé à l'initiative des médecins, en France, l'État Macron supprimait la liberté de prescrire.
Alors que dans d'autres pays, au moins un traitement précoce des patients était laissé à l'initiative des médecins, en France, l'État Macron supprimait la liberté de prescrire.
Dans le climat hystérique d’aujourd’hui, le débat est escamoté. C’est à l’évidence un scandale de plus dans la longue série de couacs qui a émaillé depuis le début l’histoire de la Covid-19 dans notre pays.
La discrimination à l'entrée de certains établissements selon un critère de santé est plus que douteuse.
On peut avancer le chiffre de 750 milliards de dollars, soit environ 600 milliards d’euros, ceci dans l’hypothèse où, en temps normal, la zone euro aurait crû en moyenne au rythme de 1,9 % par an.
Rien ne semble avoir été pensé au sommet de l’État pour adapter les institutions du pays à une concurrence internationale qui s’est accrue en 50 ans.
Vous avez aimé les ratés des masques, des appareils de réanimations, des réfrigérateurs ? Vous allez aimer celui des rendez-vous vaccins. Si tant est que, dans l’État providence le plus développé au monde, il y ait des vaccins !
Les mouvements anti-OGM et anti-vaccin vont-ils utiliser leurs tactiques habituelles d'alarmisme pour susciter la peur, accroître le doute sur les vaccins, et prolonger ainsi l'enfer de la pandémie de Covid-19 ?
Le cap de destruction massive de l'économie, de la société et de la santé des Français est maintenu, quoi qu'il en coûte et quoi qu'il arrive.
Les retards et les difficultés à se procurer les vaccins ne feront-ils pas perdurer les confinements et autres couvre-feux ?
En traversant la Manche, la mutation du virus va-t-elle amener avec elle son lot de nouvelles mesures liberticides en vigueur en Grande-Bretagne depuis mercredi ?
OPINION : l'objectif de vacciner 5 à 10 millions de personnes d'ici mars 2021 semble utopique. En comparaison avec d'autres pays européens, seule la Belgique est derrière nous pour les vaccins.
Notre monstre bureaucratique semble se féliciter d'être capable de convoyer 50 doses de vaccins en deux jours et de les administrer.
Alors que les pays du monde entier mettent en œuvre des plans de vaccination de leurs populations pour la Covid-19, l'Iran se distingue par son approche face à la pandémie.
Aucune urgence sanitaire ne justifie, en démocratie, une chasse aux sorcières. Pourtant nous y sommes : seul le sanitaire prévaut.
Stefan Zweig s'est suicidé par désespoir. Prenons-le en contre-exemple, il y a au moins trois raisons d'avoir toujours de l'espoir même si la crise est loin d'être terminée.
Si nous n’avons pas eu la guerre au sens propre, force est de constater que nous en subissons pratiquement toutes les dramatiques conséquences, lesquelles se résument en un mot pluriel : destructions.
Notre pays a assez souffert de mesures gouvernementales suicidaires pour son avenir. Il ne faudrait pas que la question des vaccins vienne encore obscurcir la vision des faits et générer de nouvelles contraintes qui n’ont pas lieu d’être.
Grâce en partie aux travaux de Benjamin Rubin, la variole, une maladie qui a hanté l’humanité pendant des millénaires a finalement disparu.
Notre héros du jour est Louis Pasteur, scientifique français du XIXe siècle, surnommé « le père de la microbiologie ».
Par Alexander Hammond. Un article de HumanProgress Voici le quinzième épisode d’une série d’articles de HumanProgress.org intitulée « Les Héros du progrès ». Cette rubrique bimensuelle présente…