La France a peur... de la réalité
La peur de ce qui se produira une fois que tout ce cirque se finira enfin a remplacé la peur d’une maladie dont tout le monde ou presque a pris la correcte mesure.
La peur de ce qui se produira une fois que tout ce cirque se finira enfin a remplacé la peur d’une maladie dont tout le monde ou presque a pris la correcte mesure.
OPINION : l’épidémie de covid ne signifie pas la fin du monde. Mais la crise que les mesures d’exception ont créé risque très fortement de signifier la fin d’un monde.
L'OMS a effectué un virage à 180 degrés pour désavouer fermement la politique du tout répressif sanitaire, devenue la règle dans de nombreux pays. Il en résulte une rupture avec les recommandations de plus en plus critiquées du conseil scientifique.
La question n’est plus de savoir s’il y aura un reconfinement, ni de savoir si celui-ci sera suivi d’une explosion de colère. La question est de savoir quelle ampleur l’un et l’autre vont prendre.
La France vit son troisième confinement : l’analyse des disparités et des incohérences qu’un an de régime de tyrannie sanitaire aura révélée nous permet assez clairement de voir ce qui ne va pas dans notre pays.
Comment sortir de cette tyrannie sanitaire qui s'appuie sur un chantage ? En demandant une société plus libre et en remettant l'État à sa juste place.
Notre monstre bureaucratique semble se féliciter d'être capable de convoyer 50 doses de vaccins en deux jours et de les administrer.
Tuer l’envie et les moyens de travailler d’un des derniers secteurs économiquement moteur dans ce pays aura des répercussions que l’on ne pourra malheureusement évaluer que quand il sera trop tard.
Troisième vague ? Pourquoi tout n'a pas été fait, tout, quoiqu’il en coûte, pour éviter le confinement et l’arrêt du pays ?
Les groupuscules violents anti-libéraux nous délivrent un message qu’il nous faut apprendre à décoder et surtout à admettre : ce pays a une immense soif de liberté et ce n’est pas par la politique qu'elle pourra voir le jour.
Depuis le début de cette crise, nous ne pouvons qu’être frappés par l’amateurisme du gouvernement et par l’arbitraire de ses décisions.
Qu’avait à dire Emmanuel Macron de plus que son Premier ministre aurait pu dire, ou même son ministre de la Santé ?
Le maire de Cannes dénonce l'étatisme français qui gangrène la société et souhaiterait remettre l'État à sa place.
Il devient urgent de remettre l’État à sa place et de mettre fin à cette escalade vers le totalitarisme et l’autoritarisme, à ce bricolage des institutions qui ne pourra finir que dans la violence et le chaos.
Pourquoi aider une équipe adverse qui semble prendre plaisir à marquer contre son camp ?
Par Olivier Maurice. Le discours d’Emmanuel Macron de mercredi soir, le 7° depuis le début de la crise sanitaire était malheureusement prévisible : un étalage d’arrogance…
Le rebond actuel est sérieux, mais pour l’instant dix fois moins que la vague du printemps.
Pour sauver une liberté, faut-il forcément en sacrifier une autre ? Il est désormais question de ressortir la très liberticide Loi Avia, lever l’anonymat sur les réseaux sociaux ou d’interdire les cryptomonnaies.
Les policiers ont été transformés en chair à canon d’une politique de sécurité publique qui englobe quasiment tout : de la circulation routière au nombre de personnes assises à la table des restaurants.
Puisque ce ne sont plus les politiques qui décident, mais les experts du conseil scientifique, et que le conseil national s’est pris une bonne raclée récemment, autant en avoir un bien à soi sous la main.