Vaccination, confinement : si on respectait les choix individuels ?
Le droit romain, le christianisme, le libéralisme ont transformé un individu en une personne. Il faut revenir au respect de la personne.
Le droit romain, le christianisme, le libéralisme ont transformé un individu en une personne. Il faut revenir au respect de la personne.
Après six mois de travaux, c'est un imposant rapport de 452 pages qui est publié par le Sénat.
À l'accroissement du poids de la sphère publique, désormais des politiques de plus en plus absurdes justifiées par une pandémie de moins en moins anxiogène pour les Français.
Il est temps aujourd’hui de lever les interdictions qui pénalisent les vendeurs comme les acheteurs, car tous les commerces sont essentiels.
Pourquoi refuser tout traitement de la maladie à sa naissance alors que le passage aux formes plus graves expose au risque de perte de contrôle ? Le gouvernement a-t-il fait son deuil de l’approche traditionnelle des épidémies confiée d’abord aux médecins chargés de délivrer les premiers traitements ?
Emmanuel Macron a cédé au collectivisme le plus basique : utiliser la population en variable d’ajustement de leurs mauvais résultats plutôt que d’ajuster les services de l’État aux besoins de la population.
Malgré un budget de plus de 70 milliards par an, les problèmes de recrutement des médecins et de tous les personnels soignants perdurent. L’hôpital absorbe près de 40 % du budget santé pour n’assumer que 25 % des soins.
La covid est l’alibi de l’État pour la restriction des libertés, son intrusion violente dans la vie privée. C’est aussi grâce à elle qu’il a fait entrer la peur dans le cerveau des individus.
Emmanuel Macron nous offre une application sanitaire de la rhétorique qui l’a fait élire. Un équilibre qui se fait malheureusement au détriment de la liberté.
Si l’État n’est pas tout, comme la gestion calamiteuse de sa comptabilité semble bien l’établir, il semble bien convaincu de décider de tout.
Pour que nos hôpitaux puissent faire face aux prochaines crises sanitaires, il faut réformer et libéraliser le système de santé français, qui est loin d’être le meilleur du monde.
Une petite fable sur la société en période de crise sanitaire.
Allons-nous accepter une nouvelle fois de restreindre les libertés publiques pour éviter à l’hôpital de changer de modèle mental ?
La déprogrammation d'interventions dites "non urgentes" pour permettre l’accueil en réanimation de personnes atteintes par la Covid n’est pas éthique. En France, certains le paieront de leur vie.
La crise montre que le modèle français du logement étudiant de taille réduite pour des étudiants seuls comme symbole de l’autonomie acquise pendant la jeunesse doit être repensé.
C’est dans l’ordinaire que l'on place son espoir de changement, en développant une capacité d’émerveillement envers la vie normale. L’enjeu est donc de faire l’expérience de quelque chose de significatif et de valable dans le quotidien.
Des journalistes et des médecins ont été surpris dans un restaurant clandestin à Paris. Plutôt que responsabiliser les restaurateurs, d’exiger des précautions, des résultats, tout en les laissant à la manœuvre, on a décrété qu’il n’était pas envisageable de leur faire confiance.
Il n’est pas éthique d’imposer un risque vaccinal certain, même faible, à des personnes pour qui le risque vital lié à la maladie est nul.
Un système de soin se développe aux États-Unis, le Direct Primary Care, liant le médecin et son patient hors Sécu ou assurance. Un Netflix de la médecine.
Tout doit être fait pour éviter le confinement autoritaire sous quelque forme que ce soit, et nous disposons de deux solutions complémentaires. OPINION.