Faut-il réformer le libéralisme ?
Si le manifeste appelant à une réforme du libéralisme de Tyler Cowen ne représente pas une direction viable pour le futur du mouvement, il a eu le mérite de démarrer un débat sur les alternatives possibles.
Si le manifeste appelant à une réforme du libéralisme de Tyler Cowen ne représente pas une direction viable pour le futur du mouvement, il a eu le mérite de démarrer un débat sur les alternatives possibles.
Le socialisme peut-il renaître de ses cendres en conquérant un électorat sur un critère religieux ?
Il y a un grand écart entre les pays nordiques et la France. Et puis un autre grand fossé avant d'arriver en Grèce, et enfin un grand fossé avant d'atteindre le Venezuela tout en bas. Tous ces pays devraient-ils être qualifiés de la même manière ?
Le macronisme n'aura donc été qu'une pure mesure de sauvegarde de l'Ancien monde avec les habits du nouveau.
On peut s’interroger sur la profondeur des réformes entreprises par le gouvernement depuis un an, sur leur capacité à restructurer la société française et donc sur la nécessité de s’y opposer ou de les soutenir.
Le modèle scandinave a été le fer de lance de la social-démocratie européenne dans les années 1990 et 2000. Est-il exportable en France ? Un tribune du groupe Cincinnatus.
Lorsqu’en 1981 Pierre Rosanvallon, publie « La crise de l’Etat-Providence », il s’ouvre en France une ère de turbulences pour le PS mais aussi pour toutes les gauches… Elle se terminera avec le choc du 21 avril 2002.
La dégringolade brutale dans un excès de nuance politique n’en finit pas d’écarteler un PS qui ne sait plus du tout où il en est.
En matière de protection sociale, les États-Unis courent à la catastrophe, tout comme certains pays européens. Mais une véritable réforme reste possible si l'État n'est pas trop gourmand.
Pour répondre à la doctrine sociale-démocrate du président, la droite serait bien inspirée de se révéler, elle, réellement libérale !
Emmanuel Macron ne fait que renouveler l’image d’une gauche qui n’a jamais marché.
Quelles sont les origines des grands clivages qui divisent la gauche d'aujourd'hui en France ?
Emmanuel Macron est bien un libéral, mais au sens américain du terme, c'est-à-dire social-démocrate, comme le furent les époux Clinton pendant 30 ans.
Les gens d’une certaine gauche qui aiment citer en exemple les modèles de prospérité et de social-démocratie que sont les pays d’Europe comme la Suède, le Danemark ou la Norvège seraient surpris d’apprendre que là-bas... il n’y a pas de salaire minimum !
Le processus de légitimation de l’impôt a été lent et difficile. Les nombreuses révoltes fiscales qui ont jalonné l’Histoire attestent une défiance à peu près universelle vis-à-vis de l’impôt, défiance qui s'est transformée et démocratisée.
Alors qu'à droite comme à gauche, on prépare les élections, l’École des choix publics nous offre les outils pour en faire une analyse rationnelle.
Le pendant de l’utopie libérale, c’est l’idéologie social-démocrate.
La protection sociale telle qu’elle existe actuellement est incompatible avec l'immigration moderne et la mondialisation.
Comment expliquer et contrer l'inexorable poussée du FN, devenu hier soir premier parti de France ?
Le pendant de l’utopie libérale, c’est l’idéologie social-démocrate.