Minima sociaux : Macron a raison
Dans un coup de com’ comme il les aime, Macron a balancé que les minima sociaux coûtaient « un pognon dingue » et que les bénéficiaires ne s’en sortent pas. Il a mille fois raison.
Dans un coup de com’ comme il les aime, Macron a balancé que les minima sociaux coûtaient « un pognon dingue » et que les bénéficiaires ne s’en sortent pas. Il a mille fois raison.
Comme la promesse d’Emmanuel Macron ne sera pas tenue, le « cancer de l’assistanat », qu’une grande partie des Français déplore, ne sera pas guéri.
L’exemple de l’APL montre comment notre régime est à bout de souffle. La complexité des politiques publiques est telle que ni le législateur ni le gouvernement ne sont plus capables de les « tenir en main ».
Chic, Le Foll a annoncé que la grosse machine à redistribuer continuerait de tourner à plein régime en 2015 !
Au sein de l'UE, la libre circulation a-t-elle pour conséquence un droit absolu aux prestations sociales accordées par le pays de résidence ?
Si l’on observe objectivement la réalité, la distinction droite-gauche est plus théorique que réelle dans le domaine financier.
Quand les caisses seront vides et que l’argent ne rentrera plus, quelles seront les prestations touchées en premier.
Quand la schizophrénie sur les flux migratoires, qui tend à vouloir emmurer la liberté de circuler, se heurte à la réalité des faits et des chiffres.
Pour redresser les comptes publics, le gouvernement associe une fiscalité progressive à une distribution dégressive des prestations sociales. Une solution risquée.
Les réactions au projet de fichier des allocataires éclairent parfaitement la nullité de nos édiles.
Il faut proposer de vraies réformes simplificatrices de la fiscalité et des aides sociales, de nature à réduire la complexité du système et l'incitation à la fraude