L'ONU juge la Loi de Sécurité globale incompatible avec les droits de l'Homme
Ce ne sont pas les articles 22 et 24 de la Loi Sécurité globale qu'il faut retravailler mais tout le texte de loi, qui ne respecte pas les droits de l'Homme.
Ce ne sont pas les articles 22 et 24 de la Loi Sécurité globale qu'il faut retravailler mais tout le texte de loi, qui ne respecte pas les droits de l'Homme.
La proposition de loi, même amendée en catastrophe par le gouvernement a pour effet concret de créer une présomption de malveillance dans l’exercice individuel de la liberté de filmer une intervention de police sur la voie publique.
Entre la fiscalité et la justice clémente avec les voleurs, l'État français ne défend pas la propriété.
Le Garde des Sceaux n’hésite pas à se donner l’occasion d’une vengeance personnelle tout en offrant à la classe politique le cadeau d’une déstabilisation des acteurs de la lutte contre la corruption.
C'est très triste d'en être réduit à se réjouir que nos gouvernants soient perquisitionnés par la Justice. Mais quelle autre lueur d'espoir dans notre démocratie ?
Perquisitions chez Olivier Véran, Édouard Philippe, Agnès Buzyn, et Sibeth Ndiaye dans le cadre d’une information judiciaire sur la gestion de la crise du coronavirus.
Des zones d'ombre persistent dans le texte, en particulier dans le domaine de la laïcité, dans le service public comme en entreprise.
Les réseaux sociaux n’ont pas tous les torts. Ils ont permis de libérer la parole. Cependant, ils n’ont pas su se protéger d’un nouveau totalitarisme : la cancel culture.
Comment un citoyen peut-il investir ses économies dans l’immobilier si la loi ne lui permet pas de préserver son bien contre la spoliation, les dégradations et la voyoucratie ?
Nouvelles restrictions liées à la fermeture des restaurants, bars et autres établissements recevant du public : quels recours ?
Le Conseil constitutionnel a empêché la Loi Avia de passer en France ? Qu'importe, le gouvernement la propose à Bruxelles pour l'imposer au niveau européen.
Démolir le Parquet national financier n'est-il pas une tentative de convaincre que le scandale n’est pas la corruption mais le Parquet financier lui-même ?
Un récent sondage donne 55 % des Français favorables au retour de la peine capitale. Un taux aussi élevé est une première depuis son abolition en 1981. En voici les raisons.
L'application légitime et légale de la loi fait peur à nos autorités qui préfèrent la bafouer plutôt que la respecter.
La confiance des Français envers la capacité du gouvernement à améliorer ses performances en matière de sécurité et de justice s’érode.
La régulation des sociétés ouvertes veut que plus on libéralise en tout, et plus s'impose une tolérance zéro envers toute violation des droits individuels en sanctionnant durement la moindre violence infligée aux personnes.
L’État n’a pas à vendre des vignettes auto, contrôler le prix des masques, se faire assureur ou encore diététicien. Sa raison d’être, c’est protéger et faire respecter la justice et la propriété.
L’enjeu n’est pas de durcir la justice des mineurs, mais de l’améliorer pour que les jeunes concernés puissent être remis dans le droit chemin et réintégrés à la société.
Des prévenus auraient été maltraités dans les locaux du premier tribunal de France. Cela en dit long sur des dysfonctionnement de la justice.
Voici le 27ème épisode des héros du progrès, avec un portrait de Kate Sheppard qui s'est battue pour le droit de vote des femmes et l'a obtenu en... 1893 !