Le chef Taku Sekine a-t-il été tué par la cancel culture ?
Les réseaux sociaux n’ont pas tous les torts. Ils ont permis de libérer la parole. Cependant, ils n’ont pas su se protéger d’un nouveau totalitarisme : la cancel culture.
Les réseaux sociaux n’ont pas tous les torts. Ils ont permis de libérer la parole. Cependant, ils n’ont pas su se protéger d’un nouveau totalitarisme : la cancel culture.
Le droit n'a pas à être instrumentalisé au service d'une cause, si noble soit-elle. Le mouvement #MeToo, né sur les réseaux sociaux, offre un bel exemple de justice d'opinion.
Il n’y a qu’une solution pour sortir de ce qui s’est transformé en pugilat entre des députés de la République et un Procureur de la République dans les locaux de la France Insoumise, c’est de redonner à la présomption d’innocence sa vraie valeur.
Emmanuel Macron en a appelé à la retenue devant les affaires : la présomption d'innocence ne doit pas être violée, mais elle ne doit pas non plus devenir le prétexte pour tolérer la corruption des politiques.
L'affaire Théo ne doit pas faire l'objet de récupérations politiques, et la justice doit pouvoir suivre son cours avec sérénité.
Royaume-Uni : psychose autour des viols et atteinte à la présomption d'innocence.
Bio, présomption d'innocence, principe de précaution : la presse française, finalement, s'en fiche.
Si la présomption d'innocence est une nécessité juridique, elle ne doit pas occulter la liberté d'expression des citoyens lambda.
Le harcèlement moral, une excuse vraiment solide pour plumer votre patron.