Société de vigilance ou présidence de vigilance ?
Plutôt que d'une société de vigilance, n'avons-nous pas besoin d'une présidence de vigilance ? Opinion.
Plutôt que d'une société de vigilance, n'avons-nous pas besoin d'une présidence de vigilance ? Opinion.
Quand le langage s'appauvrit, il n'est plus possible d'exprimer une critique autrement qu'en simplifiant à l'extrême. Différence entre une parole décomplexée et un propos ordurier.
C'est la condescendance d'une minorité politique qui affirme savoir, à l'encontre d'une majorité, le peuple, qui doit la croire sur parole.
L'atypisme, la singularité sont-ils, au fond, des faiblesses parce qu'on n'a pas eu la capacité de se tenir dans le beau sillon ordinaire ou une conséquence bienfaisante pour des natures qui auraient eu le choix mais ont lucidement opté pour l'extra-ordinaire ?
Les Gilets jaunes ont troublé, inspiré, dénoncé, indigné, ému et questionné. Mais non, ils n'ont pas transformé la France. Ils n'auraient pas pu le faire d'ailleurs.
La phase classique des manifestations des Gilets jaunes est terminée. Mais ils ne baissent pas les bras. Car la cause de leur révolte est légitime. OPINION
On peut ne pas aimer le foot féminin, mais manifester de la condescendance sur ce sujet ne rend pas plus "virils" les hommes qui s'en glorifient.
À l'issue du scrutin européen, la droite s'est retrouvée prise en étau LREM et le RN. À quand le sursaut d'orgueil ? OPINION
Emmanuel Macron s'implique activement dans une campagne morne. Mais se bat-il pour l'idéal européen ou pour tenter d'éviter une victoire du Rassemblement national ? OPINION
L'effet Bellamy va-t-il amplifier ses effets et le fiasco Loiseau sa nuisance ?
Les donneurs de leçons judiciaires et humanistes avaient tout faux sur Cesare Battisti !
Alain Juppé finit mal une carrière exceptionnelle.
La démagogie ne coûte rien quand c'est la société qui va trinquer.
S'occupera-t-on vraiment un jour d'Alexandre Benalla sur le plan judiciaire ?
Madame Schiappa, faire de la politique une plaisanterie médiatique et bruyamment spectaculaire continuera à faire mourir à petit feu l'appétence qu'elle devrait susciter par morale et par civisme. OPINION
Il est clair que la France est agitée par une frénésie, un extrémisme, une haine qui ne relèvent plus d'une politique classique.
Qu'énonce donc le général Pierre de Villiers qui soit si bouleversant d'originalité pour être ainsi loué par l'opinion publique ? OPINION.
Entre l’indifférence élyséenne que le président cultive et le corps à corps qu’il affectionne, il y a un juste milieu démocratique.
Le défaitisme de l'État est en effet le premier scandale mais qu'importe puisque nous sommes accablés et ceux qui nous gouvernent résignés.
En rappelant les avancées du RN en France et sur le plan européen, Emmanuel Macron a mis en garde ses interlocuteurs contre le danger à venir. Avec son clivage entre progressistes et populistes, il l'amplifie.