Libération des femmes : la devons-nous vraiment aux féministes ?
La Journée Internationale des Droits des Femmes est l’occasion idéale pour s’intéresser au bilan du féminisme et à sa place dans la libération de la femme.
La Journée Internationale des Droits des Femmes est l’occasion idéale pour s’intéresser au bilan du féminisme et à sa place dans la libération de la femme.
S’il faut punir sévèrement les agresseurs avérés et aider un maximum les victimes de violences sexuelles, il faut aussi savoir analyser les différentes situations avec recul, sans céder à l’émotivité, pour discerner le vrai du faux.
En réponse à l’arbitraire d’un État toujours plus obèse et incapable de gérer quelque crise que ce soit, la meilleure solution est le droit de veto.
Le libertarianisme pour les nuls : une approche non-exhaustive d'un drôle d'oiseau politique.
Tout est mis en œuvre pour criminaliser encore davantage le citoyen honnête et le rendre responsable des difficultés du pays en ce temps de crise sanitaire.
Face à cette interminable crise du Covid, le gouvernement et sa gestion calamiteuse n’obtiennent pour seul résultat que le marasme économique, l’inflation législative, et la restriction toujours plus forte des libertés des citoyens.
L'indignation des collectifs féministes est malheureusement à géométrie variable.
Le récent emballement autour des vêtements Streetwear de Lidl, se revendant pour cent fois leur prix originel sur Internet, pose la question de la considération des signes extérieurs de richesses par la population.
OPINION : l’hystérie collective autour des déclarations de J.K Rowling sur Twitter témoigne de la difficulté de débattre autour de la notion de transgenre, et du pouvoir destructeur de la cancel culture sur les individus qui en sont la cible.
Même si la loi Avia vient d’être rejetée par le Conseil Constitutionnel, le débat concernant la liberté d’expression est toujours au cœur de la société française. Aussi faut-il l’étudier sérieusement, et éviter de se laisser emporter par l’émotion.
La saisie récente du gouvernement contre les violences policières suite aux manifestations en soutien à Adama Traoré révèle la duplicité des élites concernant le traitement des violences policières, et des injustices en général.
Les anti-racistes font tout pour protéger le racisme : c’est ce qui leur donne une légitimité dans le milieu intellectuel, et par conséquent leur donne de l’influence. Sinon ils disparaitraient et leurs opportunités de pouvoir avec.
S’il est vrai qu’il faut éviter de s’entasser dans des espaces clos, ce n’est pas la présence d’un enfant dans le caddie de sa mère qui va déclencher un nouveau foyer de contamination.
La déclaration de guerre au COVID-19 d’Emmanuel Macron vient de prendre un sens littéral : mais à quoi bon déployer l’armée quand on ne sait pas quoi en faire ?
La France semble plus que jamais incapable de faire face aux défis de cette année 2020. À tel point qu’il semble lui rester la coercition pour imposer quelque mesure que ce soit.
La lutte toujours plus liberticide des militants au nom du « bien » crée une hystérie au sein de la société. À tel point que personne, pas même ses plus fervents militants, n’est épargné par cette nouvelle Inquisition que n’aurait pas pu imaginer Orwell.
Mardi 26 février 2019, le conseil de l’Europe a rendu public un mémorandum appelant la France à mieux respecter les Droits de l’Homme suite aux événements liés aux Gilets jaunes.
Même si les Gilets jaunes sont très divisés, parfois incohérents et surtout souvent moqués, il ne faut pas oublier qu’ils sont un véritable bug dans la matrice étatique.
Les prostituées sont des personnes respectables, cessons donc de les infantiliser, de faire croire qu’elles sont trop stupides pour faire leurs propres choix.