Covid-19 : la farce de la « seconde vague »

L’esprit de notre classe politique est semblable à celui qui a pensé la ligne Maginot : on prépare la prochaine guerre en regardant dans le rétroviseur, en espérant que le prochain conflit se déroule exactement comme le précédent.

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Covid-19 : la farce de la « seconde vague »

Publié le 16 juillet 2020
- A +

Par Frédéric Mas.

Lors du pic de la crise du covid-19, la France manquait de l’essentiel pour appréhender la pandémie. Pas de masques, pas de tests, pas de gel hydroalcoolique, des équipements médicaux insuffisants et une bureaucratie étatique qui a désorganisé la production au lieu de laisser faire le marché afin que tout le monde puisse s’équiper pour faire face.

Rétrospectivement, l’aventure de la communication politique du gouvernement sur les masques à quelque chose de burlesque, si elle n’était pas arrivée à un moment si tragique, et si son dénouement n’était pas aussi grotesque. D’abord considérés comme inutiles, puis optionnels, voilà les masques désormais obligatoires après le gros de la crise sanitaire. Le nouveau Premier ministre nous l’a signalé ce matin.

Penser après la bataille pour préparer la seconde vague

Rendre obligatoire le port du masque dans tous les espaces publics après la bataille n’est pas la seule mesure phare de notre bureaucratie nationale : en cas de « seconde vague », tout le monde est en train de se préparer.

On oblige les entreprises à faire des stocks de masques, au cas où. Ce que l’État n’a pas su faire, les entreprises sont obligées de le faire, et à leurs frais bien entendu. On multiplie les places de réanimation, alors que le nombre de contaminés dégringole.

On relocalise à grands frais la production de paracétamol. Les pouvoirs n’ont pas été capables de mener à terme le grand essai clinique qui devait conclure la pandémie, à savoir Discovery, mais les voilà partis pour réimplanter des usines de paracétamol, pour ne pas dépendre de la Chine.

À quel prix ? Relocaliser à un coût, et c’est le contribuable et le client français qui paieront.

Comme pour conjurer le grand ratage de la pandémie, on a l’impression que les pouvoirs publics jouent à se faire peur et à nous faire peur, comme pour se rattraper. Cette fois-ci, vous verrez, si le virus se repointe, nous serons prêts. Finis les négligences, les ratages, les morts dans les Ehpad, il ne manque pas un bouton de guêtre.

L’esprit de la ligne Maginot

L’esprit de notre classe politique est semblable à celui qui a pensé la ligne Maginot : on prépare la prochaine guerre en regardant dans le rétroviseur, en espérant que le prochain conflit se déroule exactement comme le précédent.

L’État n’a pas compris qu’au plus fort de la crise, c’est la société civile qui lui a servi de filet de sécurité, et pas l’inverse.

C’est la société civile qu’il faut libérer de la réglementation tatillonne de l’État, car c’est elle qui répondra au mieux aux circonstances en cas de rebond du coronavirus. Mais cela signifie une chose aussi : la plupart des démonstrations sécuritaires de la classe politique ne servent probablement à rien.

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  • D’autant que la seconde vague ressemble de plus en plus à Godot (ou Satan) !
    On vit toujours la fin de la première ! Et si ça doit revenir l’hiver prochain, il faudra parler de saisonnalité, pas de seconde vague.
    Le pouvoir politique se décrédibilise encore un peu plus (si si c’est possible) à sortir de telles âneries…

  • On se prépare sauf qu’on n’a pas résolu le plus gros problème : l’administration, et les « experts ».

    On se prépare à aller travailler à vélo l’hiver prochain, dans la nuit à cause du blackout, sans manger car il faut fermer les resto sans autoriser la livraison, sans médecins car ils ne sont pas compétents.

  • La deuxième vague fait penser à la 5ème colonne que l’on voyait partout pendant la drôle de guerre…
    Ce gouvernement et Macron en tête n’étaient déjà pas très brillants, voire assez pathétiques, mais depuis son interview du 14 Juillet, on n’a le droit d’être assez inquiet. On sent ce pauvre garçon totalement perdu et dépassé par sa fonction, n’ayant même plus la volonté d’habiller la confusion de ses idées par la grandiloquence creuse de son discours.
    Lorsque le dirigeant d’un pays est aussi évanescent, semble totalement en roue libre et montre qu’il n’a plus prise sur les événements, cela n’augure rien de bon…

  • Pour que les choses soient claires, le retour éventuel de la covid-19 l’hiver prochain ne serait pas une seconde vague. Ce serait une autre épidémie, distincte de celle de cette année.

    Par ailleurs, une deuxième vague aurait déjà dû être observée puisque la théorie sous-jacente était un rebond des contaminations avec le relâchement des comportements suite au déconfinement.

    Deux erreurs affaiblissaient cette hypothèse avant même qu’on vérifie son absurdité dans les faits. La première consistait à croire que le confinement avait eu un effet positif sur l’épidémie. C’était une erreur guidée par une volonté politique d’auto-justification. Or, si le confinement a pu avoir le moindre effet, ce fut une accélération du nombre de cas au pire moment, à l’opposé de l’espoir idiot d’aplatissement de la courbe pour ne pas saturer un système hospitalier en perdition (le meilleur au monde, qu’ils disaient). La comparaison de la France avec la Suède est à ce titre tout à fait édifiante.

    La seconde erreur tenait à l’oubli des mutations du virus. Or, on n’a pas d’exemple d’un virus qui deviendrait plus dangereux, plus contagieux, plus mortel, au fur et à mesure de ses mutations. La perte progressive de virulence explique en partie la forme en cloche classique des courbes épidémiques. Dans les rares pays où un rebond statistique des cas de contamination pourrait faire croire qu’il y aurait actuellement une seconde vague, on observe la chute continue du nombre de décès. Certes, il y a parfois quelques contaminés supplémentaires mais partout nettement moins de morts. Pas la moindre seconde vague visible sur les courbes des décédés. En parallèle, l’immunité collective (apparemment acquise avec moins de 10% de la population contaminée, loin des prédictions catastrophiques des pseudo-experts), le lavage des mains plus systématique, ainsi qu’une meilleure prise en charge médicale (liberté de prescription, médicaments en vente libre) améliorent le sort des populations contaminées beaucoup plus efficacement que les politiques absurdes de restrictions autoritaires, de confinements ou de masques obligatoires, surtout quand ces derniers sont rendus obligatoires alors que l’épidémie est déjà terminée ou en voie de l’être.

    A voir absolument :
    https://youtu.be/v-YkFyH701Q

    • comme on teste plus, on a plus de cas positifs, mais pour autant, ce ne sont pas des positifs qui développent les symptômes.

    • Bravo, Cavaignac, pour cette excellente synthèse de la situation !

      Vous soulignez à juste titre un point que je ne vois relevé dans aucun média : « Certes, il y a parfois quelques contaminés supplémentaires mais partout nettement moins de morts. »

      Malgré les nouveaux foyers qui sont repérés un peu partout en France, les services de réanimation continuent de se vider et le nombre de décès liés au Covid reste à un niveau très bas : 1% des décès quotidiens.

      On nous dit par ailleurs que le virus mute. Et s’il s’agissait désormais d’un Covid peu virulent ? C’est ce que semble indiquer les chiffres, mais je ne vois jamais personne évoquer cette hypothèse.

    • Pour aller dans votre sens…

    • Tous juste. Mais comme vous ne passez pas au 20h, Monsieur Cavaignac, personne n’en saura rien.

      Le coup de la deuxième vague n’est rien qu’une pirouette inventée par tout ceux qui nous ont prédis la peste espagnole pour ne pas être cloués au pilori maintenant.

      Vous verrez dans quelques années et après la 18ème vague, on les aura nos « miiiiyions » de morts.

      Et comme toujours ça passe en boucle aux infos sans discours contradictoire.

    • @Cavaignac: +1, sauf que stricto sensu, on ne peut pas nier un effet positif du confinement sur l’épidémie. Par contre, il faut bien en dénoncer l’aspect « cache misère », et son importance politique qui fait rejeter en arrière les autres moyens prophylactiques.
      La comparaison avec la Suède n’est pas évidente. En fait, la France a été coupée en 2 : Les dépts « rouges », dont la contamination précoce semble liée à la convention évangélique à Mulhouse et les dépts « verts ». En fait, en l’absence d’une telle super contamination, il faudrait comparer la Suède à la France Verte, soit un nombre équivalent de décès pour une population 4 fois supérieure.

      Mais ce fut la politique de l’émotion de l’humanité contre la rationalité de l’économie, pour reprendre leurs termes… Les conséquences seront traitées comme les dettes.

    • la suède..
      https://www.worldometers.info/coronavirus/country/sweden/
      suède sans confinement à la française..
      5600 morts sur une population d’un peu plus de 10 millions
      france 30 000 morts sur 67 millions
      pas de quoi chanter les louanges du confinement en effet..

      et ils doivent se justifier sur leur nombre de morts « évités »…évités par rapport à quoi? on se le demande..

      on peut ajouter pour la france..
      par exemple une petite annonce au sujet du cancers ..le confinement aurait conduit à pour simplifier 5 000 morts estimés, ( dépistage, suivi, soin)

      • quid du confinement de l’hystérique maire de Bogota LGBTQ depuis 3 mois ? pas de résultat et prolongement jusqu’en sept alors que la population crève de faim

    • La vidéo est intéressante, mais l’exemple de la Corée aurait à mon avis été intéressant, au moins autant que celui de la NZ. La Corée n’a à l’évidence pas atteint « l’immunité de groupe » mais en contrepartie, elle a eu beaucoup moins de morts que la Suède, tout en préservant son économie et l’essentiel des libertés individuelles.

      En cas de 2ème vague, ou plus précisément de nouvelle épidémie d’une forme proche du Covid-19 à l’automne-hiver prochain, il n’est pas exclu que la Suède paie à nouveau un tribut relativement important au virus, car les gens y auront vieilli d’un an – comme pour la grippe saisonnière. C’est pourquoi l’exemple de la Corée me paraît intéressant.

    • Bravo bravo …Sauf au Texas…cela repart de plus belle chez tonton Donald…Quant à la seconde vague si vous avez raison , il ne s’agit que de la première qui continue et le virus n’a pas muté visiblement..L’épidémie est terminée …??? Nous en reparlons dans trois semaines..!!! N’importe quoi…!!!!

  • Une seconde vague avec verran surfant entre la science la propagande ou carrément la corruption… Ne devrait pas être moins meurtriere, ces gens n’apprennent jamais rien de nouveau, trop vieux dans leurs pantoufles… Des nouvelles des commissions parlementaires, des hirch et autres aboyeurs ?

    • le problème c’est les médias qui ,certes moins unanimement, ont défendu le confinement..sans le critiquer..ce qui est leur rôle.. et les gens qui avalent des bobards sans trop rouspéter..

  • J’adore cette phrase : « On oblige les entreprises à faire des stocks de masques, au cas où. Ce que l’État n’a pas su faire, les entreprises sont obligées de le faire, et à leurs frais bien entendu. »
    Magnifique schizophrénie ! Alors qu’il est répété ad nauseam que le privé fait toujours mieux que l’Etat, quand le privé le fait car l’Etat ne sait pas le faire (ou ne veut pas), ça ne va pas.

    • « quand le privé le fait car l’Etat ne sait pas le faire (ou ne veut pas), ça ne va pas. »

      Aucune schizophrénie. Ce qui ne va pas ici c’est la prétention de l’État d’imposer aux entreprises un volume de stock à constituer, alors qu’il a montré sa totale incompétence en matière de gestion de stock durant cette crise. Qu’il laisse donc faire les entreprises leur métier…

      • Qu’il laisse donc faire les entreprises leur métier…

        Bien d’accord avec cela. Si vous saviez, c’est perpétuel. Ils ont commencé il y a longtemps déjà, et les dos gris ne savent plus quand…

      • Il y a juste le petit souci que un très grand nombre d’entreprise ne sait pas comment réagir.. masques, pas masques, gel hydro, prise de température (illégale bien souvent), etc… Au final, c’est 5 personnes en réunion HSE qui décident sur base de…. recommandations du gouvernement. En prenant des mesures parfois bonnes, parfois bizarres.
        Pour les stocks, l’Etat n’était pas prêt, c’est certain. (Aucune entreprise n’avait non plus de stocks de masques avant). Maintenant, des sociétés ont des milliers de masque non utilisés.

        • On s’en fout. Que l’État – et vous aussi – laisse les entreprises tranquilles.

          • Je suis entièrement d’accord avec le fait que l’Etat devrait lâcher la grappe des entreprises sur pas mal de sujet, mais pas tous. Notamment sur l’environnement, la sécurité et les protections sociales. (mais je suis très critique envers les syndicats si ça peut vous rassurer… mes relations professionnelles avec sont « délicates »)

            • l’état n’a aucune légitimité à imposer quoi que ce soit au entreprise étant donné qu’il a toujours été à la pointe du pire dans tous les domaine.

    • d’abord dans esprit de cactus il ya l’idée qu’il y a un « mieux « et un « moins bien ».. et que l’etat peut le connaitre et que cactus est d’accord…
      dans le monde réel cela se traduit par le fait qu’en dépit du fait que la demande de masques des gens n’était pas satisfaite..c’était pourtant « mieux » qu’un autre situation..qui aurait été pire car l’etat ne l’aurait pas gérée..

      PREMIER POINT…quels sont les parametres qui traduisent « la bonne gestion » de l’épidémie..et pourquoi…???

      clairement l’etat a choisi le nombre de morts du covid 19.. eh bien même cela se discute..

  • Bah, il faut bien que la comédie burlesque continue.
    Ne maîtrisant rien du tout, cet état fait mine d’avoir la situation en main.
    Il faut bien que la clique reste au pouvoir.

  • A propos de la reloxalisation du paracétamol, notons que c’est justement sa prescription (« tant que ce n’est pas grave ») qui a entraîné vraisemblablement beaucoup de morts.
    Au point que certains médecins ont été révoltés que l’Etat les ait détournés de ce qu’ils font habituellement avec ce genre de maladie: antibiotiques

  • On se prépare? On joue surtout à terroriser la population en agitant le spectre d’une « deuxième vague » imaginaire, afin de refroidir les ardeurs revendicatives.
    Et surtout on s’enferme dans une posture jusqu’au-boutiste, en continuant à interdire le seul traitement qui ait fait ses preuves, celui de l’IHU Méditerranée.

  • La ligne Maginot a parfaitement fonctionné et était tout à fait justifiée. La défaite n’a pas trouvé son origine dans cette construction.

    • l’existence même de cette « ligne » a conforté la France dans une fausse idée de sécurité d’une part et d’autre part les sommes pharaonique qui ont servi à sa construction aurait été bien mieux employé à modernisé l’armée de l’époque. Comme dirait Bastiat, il y a ce qui se voit et ce qui ne se voit pas.

      • La ligne Maginot a été conçue pour retarder les attaques allemandes le temps que la France ait fini sa mobilisation générale. Les autorités militaires françaises redoutaient les « attaques brusquées » des allemands sur les régions minières du nord de la France. Les militaires étaient parfaitement conscient que la ligne Maginot n’était pas une barrière infranchissable. Les journalistes et les lecteurs c’est une autre histoire.

        La défaite de 40 résulte plus de la dichotomie entre le pouvoir politique, particulièrement instable, et les autorités militaires.
        Les deux n’étaient pas en phase. Les problèmes avec le matériel ont plus pour origine des choix que de réels manques de moyens (ex: la radio sans fil. Les autorités militaires avaient peur que les allemands interceptent les communications et ont ainsi privé leurs troupes d’une telle technologie pourtant aussi vitale qu’un fusil) Cette campagne de France est extrêmement intéressante car très loin des clichés habituels. Elle mériterait une discussion très approfondie.

  • Bravo, totalement d’accord avec vous M. Mas.

    Il est affligeant de voir que les Français, dans leur ensemble, méconnaissent l’Histoire et, conséquence logique, se plantent dans les grandes largeurs quand il s’agit d’affronter une crise comme celle du Covid-19. Je dis « les Français » car il semble bien que le gouvernement et sa politique stupide et manipulatrice soient soutenus par beaucoup de mes compatriotes.
    Il est pourtant un adage très connu qui dit que la peur est mauvaise conseillère…
    On pourrait aussi prendre l’exemple de la mortalité sur les routes : au nom du principe de précaution et du risque zéro, on restreint tellement l’usage de l’automobile (limitations de vitesse de + en + drastiques, CO2 diabolisé, etc.) que la France ressemble de plus en plus à un véhicule en marche arrière toute, qui accélère en direction… de l’âge de pierre.

    • La peur est utile, elle attire l’attention. Mais la peur, n’évite pas le danger. La « protection », elle, reste a construire après analyse et réflexion.
      Si vous croisé J Salomon, et/ou Veran, dite leur !

  • Le point sur l’épidémie à Marseille, par le Pr. Philippe Parola :

    « Il ne faut pas être inquiet, notre métier n’est pas d’être inquiet, mais attentif. [et vigilant] »
    « Il n’y a pas d’épidémie secondaire. Les nouveaux cas sont des cas importés. »
    « Il faut tester. […] la seule question qui reste, c’est de savoir si le virus va devenir saisonnier. »

  • Un retour possible du Virus ou de son frère n’est pas une farce !
    Par contre l’analyse des mécanismes de réapparition de foyers, et surtout la communication des résultats au peuple est une absolue nécessité, pour être efficace. quels sont les points commun entre les foyers , les similitudes, et qui indiqueraient des décisions a prendre, ciblées, silence radio de nos déjà coupables,

  • Cette pandémie qui n’en est pas, a rendu les peuples complètement barjos et si çà continue nous allons tout droit vers un suicide collectif.
    La somme de débilités proférées par les médias pour maintenir un climat anxiogène dépasse tout entendement et laisse à juste titre la porte ouverte à toutes les idées complotistes comme on aime a taxer les lucides.
    Jusqu’à quand va-t-on renier les solutions thérapeutiques efficaces ?
    Tout interdire, la chloriquine, l’azitromycine, l’artémisia annua, des protocoles tournés au ridicule comme les huiles essentielles etc.. qui pourtant peuvent être une aide efficace pour ne pas mourir étouffé, est la stratégie de ces criminels.
    C’est un véritable crime contre l’humanité sciemment organisé.
    Comment peut-on imaginer qu’à Melbourne on confine 3 millions de personnes pendant 6 semaines pour quelques 200 cas et que la population l’accepte aussi docilement.
    La propagande de la terreur vient de prouver son efficacité.
    Sans nul doute les véritables complotistes d’un nouveau monde, effrayant, viennent de passer à l’action.

    • Définissez « pandémie » svp.
      A Melbourne, ils ont agit préventivement pour ne pas se retrouver comme dans certaines villes US, ou italiennes ou espagnoles. Ca s’appelle prendre exemple… et ne pas être stupide.

  • J’espère que Siconne Ndiaye aura appris à porter un masque…

  • Depuis le déconfinement on a eu droit aux alertes d’hystériques ‘inconscients’, ‘irresponsables’ à chaque rassemblements. Depuis les avinés des quais de seine post confinement au manifs BLM, à chaque fois les mêmes menaces : ils paieront aux urgences. Caramba toujours raté… Dernière en date, une rave que Attali et ses sbires sur Twitter on qualifiés de ‘irresponsable’. Bref, dans le camps des cassandres on a la mémoire courte

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