Convention climat : ça devait mal finir, et ça finit mal
La Convention climat a remis ses notes : le gouvernement n’est pas un bon élève.
La Convention climat a remis ses notes : le gouvernement n’est pas un bon élève.
Les appels d’écologistes anti-technologies, anti-capitalistes et, bien sûr surtout anti-nucléaires, à concilier écologie et économie sentent de plus en plus l’arnaque intellectuelle.
Changer de civilisation, c’est mettre un terme à une civilisation industrielle dont le bilan écologique n’est plus soutenable aux yeux de la nomenklatura politique française.
Rien de tel que prétendre protéger l'environnement pour le détruire en toute conscience avec des productions idiotes !
La France s’engagera-t-elle dans cette impasse énergétique et cette gabegie financière ?
Derrière l’Affaire se cache une stratégie qui vise à démanteler notre société de croissance et son démon capitaliste que les écologistes détestent au plus haut point.
Un secteur maintenu artificiellement à coups de réglementation.
Les propositions de la Convention climat avaient été applaudies par les militants et les ONG pour leur radicalité technosceptique et leur "innovation" fiscale.
À l'opposé de la doxa des Verts, favoriser la décroissance du PIB dans un but écologique est un véritable contresens.
Parce que les lois de la République sont déjà trop nombreuses, Pompili estime qu'il en faut une nouvelle couche. Inutile et grotesque.
C’est au monde agricole de rétablir une vision plus équilibrée des impacts environnementaux de l’agriculture. Il existe des arguments forts en faveur de l’agriculture conventionnelle face aux enjeux de l’écologie politique.
Une lettre ouverte adressée à Macron déplore que des acteurs économiques, ou même des ministres, aient l’outrecuidance de ne pas respecter à la lettre les prescriptions issues de la Convention climat.
Les Européens goberont-ils encore longtemps les mensonges de ces « maîtres en écologie » qui sévissent maintenant au plus haut niveau pour établir les lois ?
Ne pas associer les agriculteurs aux changements de leurs professions serait non seulement une erreur, mais aurait des conséquences terribles sur l’ensemble de la population.
Martine Aubry apporte sa contribution à la succession de mesures toutes plus idiotes les unes que les autres prises par les nouveaux édiles écolo-dépendants.
Peinant à peser en tant que continent, l’Europe tente de se relancer en enfourchant le vecteur écologique de manière retentissante et affiche à dessein des objectifs surréalistes, fruits de surenchères confondantes.
L’automobile, c’est la liberté. Vouloir décider ce qui doit être acheté et effectuer manipulations, incitations, ou punitions ne peut conduire qu’à une dictature larvée.
Le gouvernement fixe comme objectif le doublement, d’ici à 2030, d’un fret ferroviaire qui ne représente plus en France que 9 % des trafics.
Mélenchon est un communiste assumé. En cas de victoire aux élections, il se prépare à s’en prendre aux libertés individuelles les plus basiques.
Beaucoup de projets verts souffrent, comme la méthanisation, d’une absence d’analyse en profondeur des ressources nécessaires et de leur véritable impact sur l’environnement.