Port d'arme : le malentendu
Contrairement à ce qui est crié sur tous les toits, le port d'arme ne conduit pas à l'anomie : il conduit justement à l'ordre.
Contrairement à ce qui est crié sur tous les toits, le port d'arme ne conduit pas à l'anomie : il conduit justement à l'ordre.
Le droit au port d'armes relève de la liberté individuelle la plus élémentaire.
Une rencontre entre milices à Louisville révèle l’importance concrète et symbolique et toujours d'actualité, du droit à la défense personnelle armée.
Les opposants au droit de s’armer tentent de faire passer ce droit sacré pour désuet ou dangereux, alors même qu’il est protégé comme la liberté de la presse ou encore le principe d’un gouvernement restreint.
En matière de protection des données personnelles et de la vie privé, la plus grande menace vient toujours de l’Etat.
Alexandre Benalla prétend avoir un droit de port d'arme pour sa sécurité personnelle. Ce droit ne devrait-il pas s'appliquer à tout le monde ?
Alors qu'une nouvelle attaque au couteau a fait deux morts et un blessé. La question de la légitime défense revient au cœur de l'actualité. Que peut nous enseigner l'exemple israélien ?
Suite à la tragique attaque au couteau ce samedi, redécouvrez l'édito d'h16 sur le port d'armes.
À la lecture des chiffres de mars 2018, on peut donc se demander si les avocats de l’interdiction des armes à feu n’ont pas obtenu l’effet inverse de celui désiré en occupant les médias et en défilant dans les rues.
Le programme australien de rachat d’armes à feu est un échec et aurait augmenté la criminalité au lieu de la réduire. Faut-il vraiment le copier, avec en plus une telle menace terroriste ?
Petit voyage aux USA, à Miami, au pays du rap, de scarface, de la liberté... et du droit au port d'armes. Témoignage.
Le citoyen est le meilleur rempart contre un terrorisme qui le prend directement pour cible. C'est ce qui s'est vérifié plusieurs fois, du Thalys au camion de Nice.
Les Pères Fondateurs américains ont érigé le port d'armes au rang de droit constitutionnel, arguant qu'une population désarmée était à la merci des malfrats et de la tyrannie. Aujourd'hui, face à la menace terroriste, nous avons le choix entre le port d'armes et la tyrannie.
Les chiffres montrent que là où les gens tuent, ils le font de toute façon, avec ... ou sans arme à feu !
Les arguments en faveur du contrôle des armes sont déconnectés de la réalité.
Comme à chaque fois, des voix s'élèvent pour interdire la détention et le port d'armes, mais il faut défendre cette liberté fondamentale.
Face au terrorisme, la réponse sécuritaire est un leurre.
Réclamer le port d'arme, c'est renouer avec l'esprit de la révolution française.
Prôner l’abstinence totale vis-à-vis de pratiques à risques est voué à l’échec, tant au niveau de l’État qu’au niveau de l’éducation en famille.
Jusqu’à ce qu’on nous démontre le contraire, focaliser le débat sur la législation des armes à feu après la fusillade de Charleston revient à regarder dans la mauvaise direction.