Reconnaissances
50 articles déposés
À propos Articles
Reconnaissances
50 articles déposés
Marius-Joseph Marchetti est diplômé d'un Master en Économie appliquée à l'Université de Corse Pasquale Paoli. Il est adepte de l'École Autrichienne, libertarien et partisan d'une société de loi privée.
10 followers

Articles

Par Marius-Joseph Marchetti.

 

1) Big Players and The Economic Theory of Expectations, de Roger Koppl (2002)

J’ai terminé récemment la lecture de cet ouvrage, que je conseille ardemment à tout un chacun.

Méthodologiquement, Koppl part de deux fondements qu'il qualifie de misésiens, inspirés de Friedrich Hayek et Alfred Schultz. Il construit par la suite une théorie des anticipations cognitives (subjectives) et a-cognitives (objectives), plus ou moins fiables selon la nature des institutions.

Basant sa t... Poursuivre la lecture

Chères lectrices, chers lecteurs, à la suite de mes quelques lectures des livres de l'économiste Thomas Sowell, m'est venue l'envie de vous faire un petit résumé de ces quelques clichés de gauche que nous avons l'habitude d'entendre un peu partout dans nos médias, et que Sowell aborde abondamment dans ces différents ouvrages.

 

Il faut se dépêcher d’agir

C’est probablement un slogan très à la mode depuis deux ans, souvent associé avec celui consistant à ajouter « si cela peut sauver ne serait-ce qu'une seule vie. »

L... Poursuivre la lecture

J’avais proposé, par le passé, sept lectures en économie autrichienne. Si il y a bien évidemment, encore cette fois-ci, des lectures autrichiennes, quelques lectures n’en sont pas, ou pas nécessairement.

 

Scientisme et sciences sociales - Friedrich Hayek

Ce livre court mais très instructif n’est pas vraiment un livre sur l’économie, mais plutôt sur la méthodologie en vigueur dans les sciences et notamment les sciences sociales, et la différence entre celles-ci et les sciences exactes. Scientisme et sciences sociales revie... Poursuivre la lecture

Première partie ici Deuxième partie ici Troisième partie ici Quatrième partie ici

 

Les penseurs de la loi de Say de nos jours : Steven Kates et Mark Skousen 

Comme nous avons vu dans cette série d’articles, les dépenses improductives trouvent leurs fondements dans la rhétorique keynésienne de la déficience de la demande (qui trouvait déjà des échos chez les mercantilistes, et après Malthus et Sismondi).

Cependant, des dépenses qui n'ajoutent rien en termes de valeur ajoutée re... Poursuivre la lecture

Première partie ici Deuxième partie ici Troisième partie ici

Dans ce dernier billet qui clôture notre chronologie de la Loi des débouchés, nous nous intéresserons aux économistes qui ont écrit sur la loi de Say après l’effet de Lord Keynes dans le domaine de la science économique.

Je passe, ici, volontairement sur Leijonhufvud et Hutt, car ils ont chacun fait l’objet d’un article qui peut être relié au concept théorique de la Loi de Say (la théorie de l’oisiveté des ressources pour Hutt, la théorie Z pour Leijonhufvud).

J... Poursuivre la lecture

Voir plus d'articles