Un budget 2021 périlleux et fallacieux
Déficit du budget, trou béant de la Sécu, fausse baisse d'impôts : tous les clignotants sont au rouge.
Déficit du budget, trou béant de la Sécu, fausse baisse d'impôts : tous les clignotants sont au rouge.
Penchons nous sur le déficit de la Sécurité Sociale qui en dit tellement long sur l’efficacité socialiste en comparaison de notre voisin allemand.
Un dîner-débat organisé par le Cercle Frédéric Bastiat ce week-end évoquera les 40 années de déficit public de la France.
S’il suffisait aux États d’augmenter leur déficit et leur dette pour investir et gagner de la croissance, la France serait le pays où la croissance devrait être la plus forte du monde. Mais ça n’est pas le cas.
Les États-Unis arrivent à boucler leurs fins de mois, pour le moment. Les choses pourraient cependant se corser rapidement… et là, gare aux conséquences.
Notre croissance est insuffisante pour faire reculer le poids de l’endettement. Les déficits permanents et l’accumulation de la dette sont une épée de Damoclès.
Le déficit mensuel est un signe que tout dérape et échappe au contrôle : il signifie que les impôts ne rentrent plus.
Le déficit budgétaire est nul en Allemagne tandis qu’il va croître en France pour à nouveau côtoyer le seuil de 3% du PIB.
Le déficit budgétaire de la France s’établit en 2017 à…. 59,3 Md€ selon l’INSEE, soit 2,6% du PIB…
La responsabilité de l’Etat est de rompre avec le laxisme budgétaire. Cela implique qu’il se recentre sur ses fonctions régaliennes pour rationaliser ses dépenses.
Il serait grand temps que les candidats à la présidentielle prennent la mesure du danger qui nous guette. Ce n’est pas une stabilisation de la dette qu’il faut viser, mais une diminution de son encours à travers un désendettement massif.
La politique budgétaire est réclamée pour remplacer celle monétaire, qui n'a pas marché. Faut-il se laisser convaincre par ses nouveaux défenseurs ?
Des "investisseurs" souhaitent qu'il y ait encore plus de crédits, donc de dette, donc de déficit public. Mais qui sont-ils donc ?
Une nouvelle étude comparative de l'INSEE des économies française et britannique illustre à sa manière la vacuité du terme "austérité", qui ne signifie rien du tout en économie.
Une règle imaginée sur un coin de table par trois hauts fonctionnaires.
Oh non, encore une fois la communication du chef de l’État s’est pris les pieds dans le tapis de la réalité et le pachyderme présidentiel,…
Les discours officiels se heurtent à la réalité.
Sans surprise, il faudra réduire les dépenses.
À partir d'aujourd'hui, l'État français a consommé toutes ses ressources et commence à s'endetter pour terminer l'année.
Le ministre des Finances table une nouvelle fois sur des hypothèses irréalistes pour boucler son nouveau budget.