Alors, la réforme des retraites, vous êtes POUR ou CONTRE ?
Il y a fort à parier que la réforme, maintenue ou abandonnée, laisse de côté l'essentiel : que ce sont les cotisants qui doivent avoir le choix et la maîtrise intégrale de leur retraite.
Il y a fort à parier que la réforme, maintenue ou abandonnée, laisse de côté l'essentiel : que ce sont les cotisants qui doivent avoir le choix et la maîtrise intégrale de leur retraite.
Ce jeudi, la France devrait donc connaître la double peine : un pays bloqué et une réforme des retraites abandonnée sinon inexistante.
OPINION : Messieurs Macron, Philippe, Delevoye, s’il vous plaît, écoutez les Français, écoutez tous les directeurs, tous les Présidents de toutes les caisses de retraites que vous avez consultés.
De reculade en reculade, l’injustice des régimes spéciaux persiste, et surtout, le déséquilibre démographique joue la montre.
Connaissez-vous la stratégie du grand-père pour résoudre les conflits ?
On s’aperçoit de plus en plus que la peur de la rue commence à faire trembler la main d’un réformateur brusquement devenu très fébrile.
Prenons un peu de recul, et posons-nous d’abord les bonnes questions avant d’engager le pays dans des troubles supplémentaires pour des gains illusoires au profit d’une idéologie « égalitaire » contredite par les réalités de la vie.
Parmi les revendications de la population qui manifeste au Chili, se trouve le sujet des retraites.
OPINION : continuer à vouloir financer le coût social, dont les retraites, en asseyant les cotisations sur les salaires relève d'un aveuglement incompréhensible.
Pourquoi ne pas donner aux Français la possibilité d’augmenter la part des revenus du patrimoine pour subvenir à leurs besoins durant leurs vieux jours ?
Alors que tout n’a pas encore été dévoilé, que les hostilités n’ont pas vraiment commencé, le gouvernement commence à reculer. La réforme entre impuissance et échec ?
Où commence et où s’arrête la notion de pénibilité, et doit-elle être rémunérée en salaire ou en retraite ?
Depuis 1945 la gestion des retraites par notre pays illustre magnifiquement la fable « La Cigale et la Fourmi ».
Il faut supprimer les régimes spéciaux qui n’ont d’autre raison d’être que d’assurer le maintien de privilèges égoïstes, mais laisser vivre les régimes qui se sont constitués librement et sans rien demander à la collectivité.
Les Suisses ne consacrent aujourd’hui pour leur retraite que 7,5 % de leur PIB (grâce notamment au recours à la capitalisation), mais malgré cette marge de manœuvre, ils préfèrent allonger encore leur durée de travail.
La vraie réforme des retraites, c’est l’épargne personnelle.
Remplacer 42 régimes par un seul aboutit nécessairement à une concentration du pouvoir entre les mains des futurs gestionnaires du régime unique. Est-ce souhaitable ?
Personne ou presque ne pipe mot de l’obstacle majeur qui contrarie actuellement la suppression tant attendue des régimes spéciaux.
Réforme sur les réversions : qui sont les gagnants ? Qui sont les perdants ?
Les fonctionnaires et régimes spéciaux auront eu raison du travail fait depuis 75 ans par toutes les autres professions.