Convention climat : ça devait mal finir, et ça finit mal
La Convention climat a remis ses notes : le gouvernement n’est pas un bon élève.
La Convention climat a remis ses notes : le gouvernement n’est pas un bon élève.
Le citoyen lambda qui a été persuadé de s’engager pour cette noble cause risque bien d’avoir prochainement le sentiment de s’être complètement fait gruger par la Loi climat lorsqu’il comparera les efforts demandés et l’insignifiance des résultats prévus.
L’écotaxe bannie en 2014 pour le transport routier va-t-elle faire un retour masqué via une taxe plus discrète sur les routes nationales et départementales ?
Pour répondre à un protocole sanitaire renforcé contre la Covid-19, la municipalité de Lyon (EELV) a décidé d'instaurer un menu unique sans viande dans les cantines.
L’histoire retiendra soit une trahison d’un idéal de démocratie directe, soit la tentative de contournement d’un régime représentatif. Dans les deux cas, la démocratie n’en sort pas gagnante.
Changer de civilisation, c’est mettre un terme à une civilisation industrielle dont le bilan écologique n’est plus soutenable aux yeux de la nomenklatura politique française.
Parler d’écocide revient à mettre au même niveau de droit la nature et l’Homme. C’est un changement fondamental de perspective, un tournant à 180 degrés, un oubli des Lumières.
Le président de la République souhaite inscrire « les notions de biodiversité, d’environnement et de lutte contre le réchauffement climatique » à l’article premier de la Constitution.
Les raisons écologiques, sécuritaires ou sanitaires sont aujourd’hui constamment invoquées pour abaisser les principes du constitutionnalisme libéral et fortifier la concentration monarchique des pouvoirs.
Les propositions de la Convention climat avaient été applaudies par les militants et les ONG pour leur radicalité technosceptique et leur "innovation" fiscale.
Une consultation publique sur un point très technique concernant les réacteurs nucléaires : l'opinion publique est-elle vraiment compétente pour donner son avis ?
Le duo Pompili/Moretti va créer deux délits : un délit de pollution et un délit de mise en danger de l'environnement.
Le gouvernement français avait cru réussir une très belle opération d’enfumage avec la Convention citoyenne pour le climat. Maintenant, tous ces braves citoyens vert(ueux) commencent à aller de déconvenue en déconvenue.
Les institutions sur lesquelles reposent les sociétés libres et prospères assureront mieux la protection de la santé publique et des valeurs écologiques.
C'est un monde d’écologie punitive qu’on nous prépare, sans fondements autres qu’une idéologie mortifère basée sur des idées reçues.
Ce qui a été effacé des 150 propositions de la Convention citoyenne pour le climat enlève quelques lignes pourtant bien faites pour juger convenablement les choses.
La Convention Citoyenne pour le Climat propose, dans son rapport, des mesures n’ayant plus aucun lien avec sa mission climatique.
Les propositions de la Convention climat concernant les transports sont peu originales, inutiles et coûteuses, et la SNCF ne survivra pas à la concurrence.
La Convention citoyenne a plébiscité le développement immodéré des renouvelables, qui se substitueront encore plus au nucléaire. Pourtant, le nucléaire possède des qualités recherchées dans la feuille de route des conventionnels.
Les 149 propositions sont dans la droite ligne d’une certaine vision de l’écologie portée depuis plus de quarante ans par les ayatollahs verts.