L’écologie tyrannique : des illusions au cauchemar

Toute critique sape la cause écologiste. Elle devient une trahison, un crime de lèse-écologie.

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L’écologie tyrannique : des illusions au cauchemar

Publié le 17 novembre 2022
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Dès qu’il s’agit de défendre « l’écologie » qui a souvent un chapeau trop large, alors le soutien aveugle, la défense hargneuse et les mensonges sont de rigueur. Toute critique sape la cause écologiste. Elle devient une trahison, un crime de lèse-écologie.

 

Le dogme écologiste

Il ne faut pas déranger le dogme écologiste. La certitude béate de « l’écologiste » pur et dur se moque bien des faits. Il veut des slogans et de beaux discours. Il ne veut qu’applaudir des idoles…

Les Verts manifestent une forme d’allergie à la pensée divergente. Un discours prémâché et idéologiquement orienté leur sert de viatique.

Expliquer la réalité sur le nucléaire, l’éolien, le photovoltaïque, la géothermie, les bio-carburants, etc., ne peut être que suspect et provenir d’un suppôt des lobbies pétroliers et nucléaires. Tenter d’introduire de l’intelligence et de la mesure, c’est être payé par le « camp adverse », c’est vouloir saper la cause écologiste qui ne doit pas être confrontée à la réalité !

S’égarer à tenter une analyse froide et factuelle des véritables solutions écologiques pour le futur, dont l’énergie nucléaire, soulève l’indignation des fanatiques de Mère Nature, nourris d’aigreur et de ressentiment. Le but du contradicteur, de l’empêcheur de tourner en rond, serait de doucher les espoirs du bon peuple ! Ce trublion serait-il à inscrire sur la liste des tondus de la future grande révolution écologiste ?

Le mauvais esprit et la mise à mal du dogme écologiste ne sauraient être tolérés par les vaillants défenseurs de la Planète. Il faudrait que le peuple suive inconditionnellement, comme un seul homme, ces adorateurs de la nouvelle Jeanne d’Arc écologique qu’est Greta Thunberg et les nouveaux gourous verts au risque de verser dans le cauchemar de la tyrannie par ignorance et lâcheté.

« Partout et toujours, c’est une lâcheté de faire ce que la raison condamne » (Étienne Pivert de Senancour).

Les peuples, comme les individus, ont donné le spectacle de lâchetés séculaires. Fonctionnaires domestiqués et assemblées dociles se sont souvent inclinés sans combattre devant les arrêts du despotisme (Hitler, Pétain…)

La lâcheté favorise les tyrans et renforce les institutions d’écrasement. La passivité assure leur triomphe. Sans elle, les dictatures s’effriteraient.

 

Des illusions au cauchemar

Ce militantisme borné et hystérisé allergique à l’analyse évolue avec aisance dans l’écume médiatique flattant son ego et entretenant ses illusions à ne surtout pas confronter au réel.

Il ne s’agit nullement « d’attaquer » l’écologie en général, sympathique à bien des égards s’il s’agit d’aimer les oiseaux, la nature et de détester le gaspillage. Mais il ne devrait pas être interdit de s’interroger sur l’efficacité des actions au bénéfice de l’humanité.

L’eusses-tu crû

sans l’avoir vu,

l’aspect pervers

du côté vert ?

L’écologie est devenue une religion pour une nouvelle génération et ceux qui s’y opposent sont des hérétiques. De nombreux scientifiques sont trop effrayés pour oser l’affronter.

Pourtant, ce n’est pas qu’une querelle d’experts, c’est avant tout une question de fond, un choix de civilisation.

Hitler eut été bien inoffensif sans des exécutants zélés parfois aiguillonnés par la peur.

Au procès de Nuremberg en 1946, les journalistes s’attendaient à trouver des monstres sadiques et fanatiques. Ils ont surtout découvert des fonctionnaires acharnés à mener consciencieusement à bien les missions confiées par leur gouvernement et par leurs chefs, des hommes normaux employés par une grande organisation.

Au bout de la chaîne, l’application disciplinée d’ordres et de quelques directives débouche sur des souffrances incommensurables et des millions de morts…

L’écologie politique est un non-sens qui conduit au désastre et in fine à la question fatidique : « comment a-t-on pu en arriver là ? »

Voilà la grande question, le grand mystère : comment un monde de cauchemar peut-il se mettre en place avec les ingrédients d’un monde ordinaire ?

L’une des réponses réside dans la proximité entre l’ordinaire et le monstrueux, dans l’ambiguïté entre le bien et le mal.

 

Écologie politique

L’écologie politique veut imposer sa volonté pour accomplir la mission qu’elle s’est elle-même donnée de sauver la planète, y compris au détriment des Hommes.

Elle est devenue une absurdité, un univers ubuesque créé par des idéologues utopistes animés d’une intention diffuse de destruction de l’industrie, sans objectifs précis assignés à l’avance, exceptés peut-être l’éradication de l’énergie nucléaire.

Ce n’est pas une progression cohérente et maîtrisée. C’est un processus aveugle avec des logiques contradictoires mûries par quelques idéologues soutenus par de puissants relais médiatiques et financiers.

Ainsi, une dilution des responsabilités, même au plus haut niveau et l’exécution servile de décisions intermédiaires sans direction définie conduiront peut-être un jour à une apocalypse « verte ».

 

La paix verte des cimetières

Greenpeace (la paix verte… des cimetières ?), soutenue par une frange écologiste antisociale, est une organisation paramilitaire formant des guerriers qui se nomment eux-mêmes des warriors. Ils s’imaginent représenter le fer de lance du combat grandiose pour la planète dont ils se sont déclarés les chevaliers blancs pour effondrer la société industrielle et mener les populations dans une impasse mortifère. Cette écologie militante cherche à fasciner des jeunes en mal d’aventures et à susciter la crainte pour les politiques souvent frileux, notamment vis-à-vis du nucléaire.

Un endoctrinement vert leur fait abdiquer leur propre personnalité. Ils se soumettent aux mantras de l’organisation en croyant participer à l’avènement d’un monde meilleur pour lequel les générations futures devraient leur vouer une reconnaissance éternelle, comme l’imaginaient aussi les SS en leur temps.

Selon Zion Lights, ancienne activiste d’Extinction Rebellion :

« L’idéologie de certaines ONG les rend aveugles à la raison […] Chez Extinction Rébellion, lorsque j’ai exprimé mon point de vue sur le nucléaire, j’ai été sévèrement attaquée. Le débat sur certains sujets n’était tout simplement pas autorisé. S’y essayer, c’était s’exposer à des brimades et au risque d’exclusion ».

Le programme « d’éducation » des Verts, dont une part importante possède une bonne formation scolaire et universitaire, déshumanise leurs membres au profit de la nouvelle déesse Nature Gaïa.

« L’humanité disparaîtra, bon débarras » clame un des leaders écologistes Yves Paccalet !

 

La radicalisation

Le mécanisme de l’engrenage vers la radicalisation repose aussi sur leurs certitudes affichées qui les aident à refouler leurs doutes « coupables ».

C’est en vertu de considérations morales que des militants écologistes enfreignent sciemment la loi (pénétration dans l’enceinte de centrales nucléaires) ou agressent des policiers dans des manifestations. Ils refoulent leurs doutes et leur culpabilité devant la honte du sentiment de faiblesse s’ils venaient à se dérober à leur obligation morale de défendre la planète pour leurs enfants.

Comme l’a montré le procès de Eichmann en Israël, ce même processus se déroulait chez les SS pour défendre leurs idéaux.

Rien de plus dangereux que des esprits étroits qui se sentent investis d’une mission, y compris celle de sauver la planète, surtout quand s’y mêlent l’orgueil, l’ambition, le prestige, les intérêts financiers et même parfois une forme de croyance quasi religieuse.

Incapables de penser par eux-mêmes, ils se réfèrent aux stéréotypes diffusés par leur organisation ou leur groupe d’appartenance. Leur soumission puise ses racines dans l’abdication de leur pensée.

Tous ces ingrédients sont à l’origine des SS et de la Gestapo.

C’est le concept paradoxal de « la banalité du mal » développé par Hannah Arendt après le procès du SS Eichmann, responsable de la déportation et de l’extermination de millions de personnes, notamment juives.

La propagande, l’influence exercée par un groupe et la peur, sont autant de raisons qui peuvent conduire un individu à oublier les principes fondamentaux de l’humanité et de la liberté en sacrifiant ses propres valeurs et en se soumettant à une autorité. Il n’est alors plus un Homme libre, responsable et autonome. La « banalité du mal » montre l’urgente nécessité de rester vigilants aussi au XXIe siècle.

Mais la soumission à l’autorité suffit-elle pour transformer un homme ordinaire en bourreau incapable d’assumer ses actes ?

Oui, selon l’histoire récente et la célèbre expérience de Milgram réalisée entre 1960 et 1963.

 

L’expérience de Milgram

Dans son livre La Soumission à l’autorité Stanley Milgram décrit la difficulté pour un sujet ordinaire et paisible de désobéir aux ordres dès qu’il a commencé à accepter ceux précédemment donnés :

« Pour échapper au processus dans lequel il a été progressivement pris, il lui faut reconnaître que tout ce qu’il a fait précédemment était critiquable, alors que continuer à obéir lui permet au contraire de croire au bien-fondé de ses conduites antérieures. Une telle prise de conscience exige une rupture, un rejet de ce passé comme inacceptable, et équivaut à un véritable traumatisme ; elle est comparable à une conversion et introduit une discontinuité radicale dans la vie de l’individu. De là l’importance décisive du refus d’obéir dès le début, de ne pas céder à la moindre exigence. Seul ce refus inaugural permet de préserver l’intégrité morale et psychologique de l’individu en même temps que sa liberté. À défaut, le processus d’asservissement a toutes les chances de se poursuivre inexorablement ».

Ils furent des milliers d’Allemands (et aussi de Français, d’Espagnols, d’Italiens…) à s’être retrouvés ainsi piégés. Grâce à la manipulation, les dictatures parviennent donc peu à peu à obtenir l’obéissance et la soumission des citoyens capables des violences les plus horribles.

Rares sont ceux capables de reconnaître le mauvais chemin dès le début et plus rares encore sont ceux capables de faire demi-tour et d’affronter l’autorité absolue des régimes totalitaires.

Les rouages de l’immense machinerie écologiste s’emballent parfois par un effet de surenchères suscitées par des rivalités internes. « Les chaînes de l’humanité torturée sont en papier de ministère » (Kafka).

« Les hommes normaux ne savent pas que tout est possible » (David Rousset, témoignage sur l’univers concentrationnaire de nazis).

Comment l’écologie a-t-elle réussi à entraîner des millions de personnes ? Intérêts personnels et financiers, inconscience, carrière, opportunité, recherche d’aventure, de notoriété et d’honneur font probablement partie des ressorts banals qui animent ces personnes.

L’écologie politique déploie un moralisme souvent néfaste, pour ne pas dire criminel. Elle est infestée de raisonnements irrationnels fondés sur des fantasmes, des convictions irrationnelles, des mensonges et la désinformation conduisant à de regrettables dérives handicapantes pour l’avenir.

Aujourd’hui, elle sombre dans les excès et la surenchère entraînés par la fougue des passions militantes, politiques et journalistiques.

Hélas, la position de certains scientifiques (ou pseudo-scientifiques) les conforte dans leurs positions fermes et leurs déclarations péremptoires étouffant toute contestation, pour afficher une unanimité de façade.

Les médias évoquent quotidiennement la question du changement climatique et de la responsabilité de l’Homme dans celui-ci, au point de susciter de dangereux phénomènes dits d’éco-anxiété. La jeune génération est gavée depuis la maternelle d’une véritable propagande propice au retour en force de la démesure et des idéologies les plus barbares.

Nourris d’illusions, ces pseudo-écologistes peuvent conduire des nations vers un monde cauchemardesque.

 

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  • « Il ne s’agit nullement « d’attaquer » l’écologie en général, sympathique à bien des égards s’il s’agit d’aimer les oiseaux, la nature et de détester le gaspillage. »

    BIEN SUR QUE SI…on doit attaquer ou mépriser ce genre d’idéologie;.. aimer, gaspillage sont subjectifs..

    l’amour de la nature acceptable va de l’indifférence au suicide pour la préserver…

    c’est comme si on défendait le communiste en disant qu’il s’agit d’etre gentil..

    On se retrouve dans un débat face à une écologiste en position de méchant.. ce qui est funeste quand le débat a pour objet de convaincre et non de prouver.
    Aussi l’idée stupide qu’il faille protéger la nature s’impose…et IMPOSE… avec ça la fin de la propriété privée et de la liberté tout court…

    Un écologiste est donc une personne qui sait comment aimer la nature et comment on doit faire les choses pour ne pas « gaspiller » le temps? ou l’énergie? ou l’argent? le fer? la nourriture?
    OPINION!!!!

    • écologisme tyrannique est un pléonasme..

    • Chacun fait partie de son environnement. Respecter celui-ci c’est se respecter soi-même. L’écologisme a été utile pour nous rappeler que certaines actions peuvent être nocives à cet environnement, donc à nous-mêmes. Mais c’est un tout, inséparable. Cet article explique très bien en quoi et comment cet équilibre essentiel est rompu.
      « La dose fait le poison »
      La vie en communauté peut être source de développement et de richesse pour certains (beaucoup?), tant qu’elle ne vire pas à l’asservissement de l’individu par le groupe, ou par un leader totalitaire.
      L’Amour professé par le Christianisme (par exemple) touche à la perfection morale tant qu’il n’est pas brandi par une caste pour asservir une communauté, la sienne ou une autre. Etc…

      • « Chacun fait partie de son environnement. »
        Je ne pense pas, nous vivons de plus en plus dans un monde fabriqué (modelé) par nous. Les habitations d’abord, ensuite l’agriculture, puis la lutte contre les nuisibles, les loups et paludisme (qui existait encore en France il y a 50 ans) etc..
        Les écologistes n’ont connu que l’abondance et pour eux c’est un fait acquis. Si on suit leurs lubies, on aurait une chute de confort qui peut arriver très vite.

      • non…. justement vous n’avezpas à introduire le terme « écologisme. ». qui suppose une doctrine…une façon OBJECTIVE d’aimer son environnement..

        respecter son environnement ça veut dire quoi???? rien.. de précis et le diable est dans les détail… sinon ça ne peut signifier que ne pas y toucher du tout!!!

        NON… simplement non…

        subjectivité,, et circonstance…

        ça suffit le terme est superflu..l’argument irrecevable.

        • il ya encore quelques années, vous prédisiez la tyrannie écolo en devenir, les écolos ironisaient..

          l’écolgisme se n’etspas revenir à la bougie, la bougie n’ets pas écolo.. vous dira le plus écolo que vous..

          la réalité est on fait un CHOIX subjectif et circonstanciel de changer l’environnement pour un niveau confort de vie..

          le communisme était une forme d’utiltarisme materiel où vos besoins étaient « objectivés ».. l’ecologisme est une forme d’égalitarisme dans le rien..

  • L’écologie du début était de lutter contre les pollutions pour un environnement plus sain pour les humains. l’écologie d’aujourd’hui est que l’humain est le parasite de Gaïa et, à défaut de pouvoir l’éradiquer, il il faut le contraindre en tout pour diminuer son pouvoir de nuisance. Et on essaie pas de convaincre un nuisible, il faut le contraindre dans la douleur.
    Dans une de ses videos Charles Gave dit que lorsqu’il n’y a pas de doutes, c’est le début de la tyrannie et c’est ce qui se passe chez les verts: leurs convictions sont absolues donc tout le monde doit s’y plier, il n’y a pas de discussion possible, donc pas de démocratie

    • Les croisades ne sont jamais contrées par la démocratie. Il faut arrêter de voir la démocratie comme un superhéros au service du bien. Les superhéros s’appellent esprit critique, sens commun, logique et pragmatisme.

  • Comme vous le soulignez une minorité d idéalistes peuvent amener les plus grandes catastrophes humaines. Soit par des discours catastrophiques,ou soit le meilleur est pour demain,les moyens pour y parvenir ne manquent pas .
    De plus la complaisance de certains politiciens par calcul politique,et de dirigeants par opportunistes financiers plus ou moins avouables sont du pain béni pour les extrémistes de tout poil.
    Comme l histoire nous le rappelle le point de basculement dans une doctrine mortifère peut-être vite atteint.
    Ne sous estimons pas ses extrémistes et dénonçons systématiquement leurs dérives sectaires.

  • Allons, pourquoi perdre sa crédibilité à tenter le point Godwin ?
    On pouvait choisir un autre affreux. Le Khmer vert, par exemple. Bien plus pertinent dans la comparaison.

  • Vous parlez d’ « un univers ubuesque créé par des idéologues utopistes animés d’une intention diffuse de destruction de l’industrie, sans objectifs précis assignés à l’avance ». L’intention des « Verts » n’est pas diffuse, elle a été clairement énoncée il y a quelques années lors d’une session de l’ONU : le but des « écologistes » est d’anéantir le capitalisme, un point c’est tout. C’est pourquoi ils recyclent les anciens partis et mouvement d’extrême gauche. La « protection de la Nature » n’est qu’un prétexte, inattaquable.

  • L’écologie est une religion et l’homme ne peut pas vivre sans croyance donc, les musulmans nous sauverons peut être… Le pape, sûrement pas.

  • Plutôt que de comparer l’écologie au nazisme, il eut mieux valu la comparer au maoisme, au soviétisme ou au régime de Pol Pot. Le nazisme voulait détruire le peuple juif. Staline, Mao et Pol Pot voulaient anéantir leur propre peuple. Exactement comme l’écologie veut anéantir la race humaine.

  • C’est lorsque l’on approche le point Godwin que la frontière entre liberté d’expression et liberté d’être con devient nébuleuse.
    Je ne m’étendrai pas sur la nausée que j’ai pu ressentir devant vos comparaisons fumeuses entre un mouvement écologiste certes radical et le national-socialisme, votre seul argument étant que lorsque l’on devient militant d’une cause, il existe un réflexe d’enfermement dans un mode de pensée (ce qui s’applique finalement à toutes les idéologies qu’elles soient religieuses, économiques, politiques).
    Mais là où votre malhonnêteté intellectuelle entre habilement en jeu, c’est lors du lien créé artificiellement entre dogmatisme d’une art et cruauté et modèle totalitaire d’extermination globale de l’autre (pourquoi l’écologisme conduirait-il au nazisme quand le dogme néolibéral conduit plus subtilement à un simple esclavage volontaire ? )

    Le mouvement écologiste déploierait une moralisme criminel (de quels morts parle-t-on?), mettrait en œuvre des moyens de propagande et de désinformation extravagants (le budget ‘com’ de GreenPeace est de 80 millions d’euros quand les industries du tabac/pétrole et autres nocifs investissent au-delà du milliard en lobbying et influences), nos enfants seraient gavés d’écologisme depuis leur plus jeune âge (je serais curieux de connaitre la part d’écologisme dans le programme scolaire).
    La lecture de cet article m’a inspiré un parallèle entre le grand remplacement d’EZ et votre peur d’un grand remplacement du libéralisme prédateur (qui ne reflète pas la pensée libérale radicale heureusement) par un modèle économique plus soutenable pour tout le monde.

    • Mon commentaire n’a pas vocation à être insultant cependant, mais il n’est jamais agréable d’être assimilé à un SS sanguinaire pour la seule faute de penser avec une probabilité très élevée que le réchauffement climatique est une réalité, et que l’action de l’homme en est responsable avec une très forte probabilité également.

  • Non, l’écologie « politique » n’est pas une religion, car ce serait faire injure aux religions modérées qui respectent la morale et les lois de la République.
    Non : cette écologie est une SECTE ! et elle en a toutes les caractéristiques dont le dogme, le refus de la contradiction, l’adoration de ses gourous…
    Qu’on se le dise.

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