Par Paul Touboul.  Â
Retour sur le dernier discours présidentiel : à l’évidence un discours contraint, faussement martelé, s’écoulant sous la dictée, dévidant un calendrier de mesures qui ouvrent avec le temps sur une levée d’écrou.
Des chiffres en baisse mais un président alarmiste
Que l’exercice a semblé laborieux, digne d’une marche forcée dans une nature hostile ! Parler de choses tellement éloignées d’une vision grandiose de la fonction, s’abaisser à l’énumération de détails de la vie pratique, se faire le porte-parole d’une doxa scientifique officialisée et la distiller en bon commis du pouvoir, venir ce faisant à la rescousse d’un gouvernement mal à l’aise face à la prorogation de mesures restrictives qui gagnent en impopularité, tous ces aspects sautaient aux yeux à la vue d’un Emmanuel Macron dont les gestes et mimiques pour convaincre n’ont jamais paru aussi éloignés de leur but.
Certes il fallait bien cet étalage de contorsions pour faire passer la pilule d’un confinement à peine allégé et de restrictions étirées jusqu’à l’année prochaine. Le pays reste donc sur un pied de guerre. La lueur à l’horizon n’est qu’une lueur.
Pourtant il y a du mieux, les chiffres de contaminés sont en baisse, l’activité des services de réanimation amorce une décrue. Mais attention ! le virus circule toujours, et, dans certaines régions, à un niveau alarmant. Donc il est urgent de ne pas baisser la garde. L’ennemi reste bien vivant.
En résumé le président a continué de prêter sa voix à tous ceux qui depuis le début de la crise n’ont cessé de faire retentir les trompettes de la tragédie. Que le regain d’activité du virus de ces dernières semaines marque un déclin plus rapide que prévu, que le phénomène s’inscrive, comme ça en a l’air, dans une logique saisonnière, tout cela porterait à croire que l’histoire du covid-19 dans notre pays évolue vers son terme. C’est du moins ce que notre connaissance des épidémies laisserait penser.
Eh bien, non, en ont décidé nos édiles. Le virus doit rester un élément échappant à toute prévision, ce qui en diabolise le danger. Tout est encore possible. Plus que jamais testons, et surtout, nous dit le président, isolons ? Pourquoi insister, comme jamais auparavant, sur cette dernière notion ? Elle rejoint en fait d’autres parallèles liés à la gestion de la crise sanitaire.
Des mesures systématiquement à contretemps
À l’évidence le pouvoir semble enfourcher à contretemps nombre de mesures édictées à l’encontre de l’épidémie. Rappelons bien sûr, en pleine phase pandémique, le manque de masques, lesquels sont imposés quelques mois après sous la contrainte.
Puis à cette même période la carence en dépistage. Les tests deviendront ensuite les produits phare d’une chasse au virus différée, évoquant un règlement de compte à retardement.
Non préparé au début à l’attaque-surprise du virus, le pouvoir semblait vouloir dire qu’il avait bien l’affaire en mains et qu’il saurait faire plier ce covid imprévisible. La soi-disant seconde vague, entourée d’un maximum de dramatisation, a servi d’alibi à un combat donquichottesque.
Et maintenant on nous ressort l’isolement des contaminés dont la nécessité parle d’elle-même. Il n’empêche. Voilà un nouveau slogan de combat qui vise à maintenir la population mobilisée.
Un calendrier pointilleux
Le détail tatillon des mesures, plus encore que leur calendrier, détonnait dans la prestation du plus haut représentant de l’État. Discours de maitre d’école énonçant échéances et dates.
Laborieux, fastidieux, sans compter la dose d’incongruité liée par exemple au contingentement strict du nombre de fidèles, trente maximum, dans les lieux de culte toutes tailles confondues.
La responsabilité du citoyen a été plus que jamais mise en avant dans le combat en cours. Concrétisée par le respect des mesures sanitaires, elle atteste de la discipline d’une armée rassemblée autour de l’étendard gouvernemental.
Et il n’y a pas en la matière de petits détails comme en témoigne le rappel de la nécessaire aération des pièces de vie, au moins dix minutes chaque jour. En fait égrener des mesures par le menu, comme ce fut le cas, est plus du ressort de l’exécutif alors que l’on attend d’un chef d’État une authentique vision d’avenir, laquelle évite de se perdre dans les affres du présent. Le président n’a jamais paru s’extirper de la bourbe du quotidien, empêtré dans une crise qui continue d’imposer sa loi.
Épée de Damoclès, encore et toujours
En fin de compte, le principal enseignement qui transparait de l’allocution présidentielle est la permanence de la peur, peur qui depuis le début dicte la conduite de nos dirigeants et impose à la politique sanitaire sa teneur.
Derrière les propos d’Emmanuel Macron se profile l’ombre d’un mal implacable, certes affaibli mais jamais terrassé et prêt à tout moment, si l’on baisse la garde, à reprendre du poil de la bête. Nous allons déconfiner.
Mais, attention ! les mesures d’allègement sont révisables, la vigilance continuant de s’imposer. Le vaccin à l’horizon est certes une solution. En attendant on continue d’avancer la peur au ventre.
La vie sociale et économique du pays est suspendue aux caprices du coronavirus. Qu’il ressurgisse, et patatras on reconfine ! Qu’il s’affaiblisse, et seule une traque sans faille assurera finalement de sa disparition.
Et tout cela pour un virus dont la létalité est de 0,3 %, voire plus basse s’agissant du dernier mutant. L’inquiétude suscitée parait inimaginable… et pourtant un président a mis tout son poids dans la balance pour entretenir une peur que l’on veut salutaire.
Hier le nombre de morts, aujourd’hui le nombre de contaminés par la covid-19 !
Et pour fixer un cap à cette longue marche, rien de tel qu’un objectif chiffré. Plus question en l’occurrence de mortalité ou de taux d’occupation des services de réanimation, qui continuent pourtant à trôner en bonne place dans l’information officielle sur l’état de l’épidémie.
Leur retrait en tant que signaux d’alarme semble acté. Il faut désormais avoir l’œil sur le nombre quotidien de contaminés. Là encore la magie chiffrée opère, 5000 est la quantité qui nous sert de phare et au-dessous de laquelle l’avenir s’éclaire.
L’on reste confondu par le pouvoir quasi-religieux des chiffres, lesquels n’ont eu de cesse tout au long de l’épidémie de nourrir à souhait l’information et d’entretenir le climat tragique actuel.
Il y a peut-être là un trait de l’homme contemporain qui, lancé sans complexe à la découverte du monde et n’accordant de crédit qu’à ses outils techniques, fait fi des connaissances du passé et choisit ses propres normes.
Alors au diable l’immunité collective et vive la contamination zéro. Ainsi en ont décidé nos gouvernants, bons élèves d’une certaine doxa contemporaine.
Finalement force est de constater que nous sommes gouvernés par le coronavirus. Notre président a bien dit que tout dépendait de lui. Ce qu’il adviendra de son implantation parmi nous commandera l’action politique à venir. On croit rêver.
C’est bien pourtant ce qu’on a entendu. Quel pouvoir extraordinaire a eu ce virus ! On se prend à penser qui s’il venait à être utilisé comme arme de guerre, il pourrait, mieux que n’importe quelle armée, mettre un pays à genoux ! En tout cas il a été l’ombre portée du discours présidentiel et un référent qui, neuf mois après, conserve toute son actualité.
Le professeur de médecine que je suis n’a cessé de s’interroger depuis le début sur les excès en tous sens à l’encontre d’une épidémie détournée des voies d’approche traditionnelles et délibérément présentée comme un évènement tragique unique en son genre. Et l’effroi continue d’être entretenu en dépit des données rassurantes tirées de la connaissance du virus. Comprenne qui pourra.
La dernière intervention d’Emmanuel Macron reste en la matière exemplaire. La saga coronavirus a encore de beaux jours devant elle.
« Nous sommes en guerre », nous a-t-on dit au début de cette hallucinante saga. D’ailleurs, un Conseil de défense aux délibérations secrètes pilote depuis à nos destinées…
Dans une guerre, habituellement, l’objectif est de renforcer le moral de son camp et d’affaiblir celui du camp d’en face. Dans celle-ci, le pouvoir fait tout ce qu’il peut pour ruiner le moral de sa population. On en tirera les conclusions que l’on veut sur la véritable nature de la guerre en cours, et contre qui elle est véritablement dirigée.
Le Covid a donné à un pouvoir en bout de course l’occasion de liquider les règles ordinaires du fonctionnement de l’état de droit (aussi imparfait soit-il). À l’évidence, il ne compte pas s’arrêter en si bon chemin. La tenue en laisse de la population durera le plus longtemps possible – au nom de la santé de tous, naturellement.
C’est effectivement ce qu’on peut supposer
« Il ne faut jamais laisser passer l’opportunité d’une bonne crise. »
« Face à ces mystères qui nous dépassent feignons d’en être les organisateurs. »
si macron voulait remonter le moral des français , il pourrait dire qu’il y a eu 163814 guéris ; et sur les 51000 décédés , 77% ont plus de 75 ans ….ce type est vraiment morbide ;
D’abord il y a eu des millions de masques à écouler, maintenant des centaines de machines pcr à rentabiliser, ils ont sans doute commandé des tests rapides par millions et pour finir des milliards de doses de vaccins à écouler, notre calvaire n’est pas prêt de cesser et l’année 2021 sans doute trop courte
Et sauf miracle le vaccin ne sera pas adapté à un virus mutant donc….. Tout ça ne pourra cesser que faute de pognon à dépenser. Vider les caisses de la France semble le seul réel but de cette guerre
Vous oubliez les commandes de doses de Remdesivir (en complément de celles de l’Europe) !
Vider les caisses de la France ? C’est déjà trop tard, elles sont vides depuis longtemps et on vide actuellement celles de l’avenir…
Et celles de Ritrovil pour achever les vieux.
Plus de retraites à payer. Tout bénéf
En plus, les « contaminés » ne sont En fait que des testés positifs. Suivant le réglage du nombre de cycles des machines de tests on peut être positif ou négatif ! Un testé positif peut être ni malade ni contagieux si le nombre de CT dépasse un seuil qui serait largement dépassé en France mais qui doit rester secret alors qu’il aiderait les médecins dans leur diagnostic et traitement. Dans certains pays le nombre de cycles auquel le test est devenu positif est communiqué avec le résultat du test. Quand cette mesure de bon sens existera t elle chez nous?
Jamais puisque cela permet au gvt de se justifier à la carte,il ya 1 semaine on était à 2,2 millions de tests on est à moins d’un million aujourd’hui forcément il y a moins de positifs ,ça tombe bien pour les fêtes.
Elle existe visiblement en centre hospitalier pour les médecins hospitaliers et pas avec les laboratoires de ville (nous sommes trop idiots !).
Et pourtant, les guignols l’avaient déjà prédit ce virus !!!
D’accord avec la remarque de Laurent, en temps de guerre, l’atteinte au moral des troupes est une faute grave, sanctionnée jadis par un peloton d’exécution.
Cet article dont l’auteur est un professeur de médecine est très intéressant, pas encore relayé par les médias officiels, mais ça viendra.
Tout est dit, le retard systématique des décisions prises et ce depuis le début, l’aberration de nombreuses mesures et surtout la volonté de ne pas traiter cette épidémie selon une approche traditionnelle.
Ce dernier point ne concerne hélas pas que la médecine, les super calculateurs donnent une impression de toute puissance et on préfère faire confiance aux modèles mathématiques plutôt qu’à l’expérience.
La vérité c’est la simulation numérique est certes un outil formidable mais, comme n’importe quel outil, il faut savoir l’utiliser pour en tirer quelque chose.
Cet article dont l’auteur est un professeur de médecine est très intéressant, pas encore relayé par les médias officiels, mais ça viendra.
Je crains que vous ne vous fassiez des illusions. Depuis le début de cette affaire, ceux qui tiennent un langage de bon sens non seulement ne sont pas écoutés, mais en plus ils sont ostracisés, traités de tous les noms : complotistes, charlatans, même « rassuristes » voire négationnistes. Il suffit d’une erreur (même si à côté la personne dit 20 choses justes), un propos malheureux (même si les gens en responsabilité débitent des âneries au kilomètre, eux), et ce sera monté en épingle, répété ad nauseam sur tous les médias aux ordres, de sorte que le nom de leur auteur soit à la fois sali pour les 30 générations à venir, quand l’auteur en question n’est pas découragé à vie d’intervenir à nouveau.
Cela dit, croyez que j’aimerais beaucoup me tromper.
Ceux qui n’ont jamais lu « l’étrange défaite », n’ont plus besoin de le faire : c’est en direct depuis le mois de février !
et on a du mal à croire que c’est différent dans les autres domaines gérés par notre Administration.
Il est certain que si Marc Bloch était parmi nous, il aurait beaucoup à dire…
J’avais lu « l’étrange défaite » peu avant le début de l’épidémie puis j’ai lu « 1984 » d’Orwell pendant l’épidémie.
Ces deux ouvrages décrivent parfaitement la période que nous vivons, j’aimerais pouvoir dire « la période que nous avons vécue »
En effet comme en 40,l’armée française considérée comme la meilleure du monde(vu à l’expo comme en 40 aux Invalides) balayée en quelques jours à cause des chefs.
En 2020 notre meilleur système de santé au monde balayé en quelques jours nous obligeant à des mesures moyenâgeuses.
Pas un mot dans les merdias sur la Chine qui l’a jugulé en 4 mois,4 800 décès ,même si son multiplie par 10 pour ravir ceux qui mettent en doute leurs chiffres cela fait 48 000 décès nous en sommes à plus de 52 000!
Pas un mot sur le directeur de l’ANSM qui a démissionné …c’est pourtant pas le genre de ce type de haut fonctionnaire archi-protégé ,c’est qu’il doit y avoir du lourd.
Effectivement cette démission de Dominique Martin est curieuse pour ne pas dire suspecte: en général les scandales laissent ces hauts fontionnaires de marbre. La diffusion assez large du décret Rivotril a-t-il été le truc de trop? Ou le coup du Remdesivir?
Le premier fusible qui saute… Espérons qu’il y en aura rapidement d’autres.
ce qui va être intéressant c’est de savoir ou il va être recasé. En tant que fusible, il a du négocier son retrait…
C’est pas les fusibles qui nous intéressent mais les disjoncteurs de tête.
Espérons que les disjoncteurs de tête sont bien calibrés pour nous éviter un court-circuit fatal.
@PCC : la référence à la Chine (RPC) est discutable parce que les chiffres communiqués par ce régime SONT par principe discutables puisque les paramètres et données essentiels permettant d’en vérifier la fiabilité ne sont pas accessibles ou truqués.
Surtout, il y a d’autres références qui rendent accablante la comparaison avec la République de Pétochie de Freluquet 1er : Allemagne, Corée du Sud, Japon, Taïwan, … pour ne citer que des pays ayant une taille, une population et une densité de peuplement comparables à celles de la France.
Toujours dans l’erreur, les médias grand public relaient régulièrement sans aucun esprit critique les « informations » et les chiffres communiqués par le régime chinois mais ne donnent aucune information suivie et sérieuse sur les pays dont la gestion de la crise est bonne, voire excellente.
D’accord mais on ne peut pas occulter la Chine malgré tout,c’est essentiellement la province de Hubai qui a été touchée soit un bassin de plus de 50 millions d’habitant qui se rapproche de chez nous avec une densité importante.
Un constat ,c’est fini chez eux.
C’est aussi pour ne pas citer tout le temps la Corée du Sud ou l’Allemagne.
Quant aux chiffres ,chez nous est-ce que l’on sait tout aussi?
Nos chiffres locaux sont peut-être faux mais il est relativement facile de le comprendre et de le démontrer. Les Chinois qui dénoncent, eux ils disparaissent. Statisticien est un sport à haut risque dans ce pays.
Tout à fait d’accord : éviter de prendre en exemple la Chine, avant tout à cause du manque presque total de transparence qui y règne ; mais aussi parce que les méthodes qui y sont employées sont aux antipodes du libéralisme, du respect des libertés élémentaires.
Nous avons beaucoup d’autres exemples de pays encore à peu près démocratiques à notre disposition.
PCC, je me souviens vous avoir demandé sur un mode humoristique si votre pseudo signifiait Parti Communiste Chinois ; je vais finir par me poser des questions pour de vrai, là …
Et je me souviens vous avoir répondu,maintenant toujours se prévaloir du pays des droits de l’homme pour ne rien faire est un peu facile.
Il va falloir sortir de ce mythe un jour.
De quel mythe parlez-vous ?
Quand je viens sur CP, ce n’est pas pour y claironner que la France est le « pays des droits de l’homme » (ce que je suis loin de croire), mais pour avoir une approche libérale de l’information. Le libéralisme, l’attachement aux libertés seraient-ils un mythe ?
Et où voyez-vous que je – et tous ceux qui ne veulent pas de la Chine communiste comme d’un modèle – préconise de « ne rien faire » ? C’est quoi cette logique binaire ?
Du mythe du pays des droits de l’homme dans lequel on se pare en permanence,entre les méthodes chinoises et les nôtres dont on constate tous les jours de cette épidémie les bénéfices il y a peut-être une autre méthode ,Corée du Sud,Allemagne…je ne dis rien d’autre que la même chose que vous en fait.
Bon après-midi quand même.
Pourquoi nos chiffres seraient ils plus justes que les chiffres chinois…. Qu’avons nous a gagner de dire la vérité, idem pour les chinois.
Ne pouvant parler que de la France, y a til un seul chiffre avancé par l’état et l’insee ne posant pas problème ? Aucun, ces chiffres sont 100% propagande intérieure ou extérieure.
Le PR semble atteint d’une Sarkozydose aigue télévisuellus.
C’est un con.bas donquichiottesque du plus bas niveau qu’il mène.
Rien à ajouter. Une époque franchement désespérante due à des décisions totalement farfelues.
Nous sommes surtout gouverné par des socialo-étatistes;
coronavirus, lutte des classes ou planète en danger seul la vitesse de la faillite diffère légèrement.
Le virus « doit » rester un élément échappant à toute prévision, ce qui en diabolise le danger.
Un virus dont l’evolution doit davantage à la politique qu’à sa propre évolution.
L’essentiel étant de maintenir la population sous pression poyr pouvoir la bouvler si nécessaire.
Un article qui comporte des éléments intéressants nonobstant quelques présupposés liés au mot « néolibéralisme »…
http://www.profession-gendarme.com/lepidemie-sans-fin-la-strategie-de-macron-afin-deviter-la-destitution-et-un-proces-pour-haute-trahison-2/
Didier Raoult nous avait expliqué, en octobre, que le covid 19 avait muté, son taux de létalité avait nettement diminué, mais que celui-ci s’était combiné avec d’autres virus apparus cet automne.
Je me pose alors la question suivante :
Où en est le covid aujourd’hui ? Et n’a t’on pas comptabilisé tous les décès de tous les virus actuellement en circulation, pour les attribuer à ce pauvre covid 19, qui ne doit plus être aussi virulent qu’à ses débuts ?
Il est vrai que le « score » ainsi trafiqué du nombre de décès attribué au covid, aide nos dirigeants qui pourront se complaire encore dans le catastrophisme !
Covidement vôtre. JEAN
Bien vu Jean Nivon,
c’est pour moi une évidence… il n’y a plus aucun mort de la grippe… et surtout vous ne voyez nulle part évoqué l’immunité de groupe qui pourrait nuire quelque part aux stratégies de confinement qui nous auront bien sur évité quelques dizaines de milliers de mort selon radio Moscou.
Un Président totalement incompétent, inapte à la fonction, sous influence d’un Conseil Scientifique composé de gens qui ont beaucoup chérché, beaucoup dépensé d’argent public mais jamais rien trouvé, de certains qui ont des liens d’intérêt avec certains grands labos qui devraient à tout le moins les faire écarter de cet aréopage. Un Président qui parle de « guerre » (contre un virus lol) mais qui nomme comme Général en Chef Jean Castex! C’est comme si en 1917 pour gagner la guerre le Président Poincaré avait nommé Ouvrard, le comique troupier, en place de Clémenceau. Un quinquennat désastreux et hélas il reste encore un an et demi!