Il n'y a rien de moral à augmenter les impôts
Nous devons nous opposer à la fiscalité confiscatoire, car elle limite la capacité de l'individu de choisir ce qui est bon pour lui.
Nous devons nous opposer à la fiscalité confiscatoire, car elle limite la capacité de l'individu de choisir ce qui est bon pour lui.
En écho au ras-le-bol fiscal des gilets jaunes, l’économiste Thomas Piketty prône une hausse des impôts dans toute l’Union européenne.
L’objectif de l'impôt est de générer le maximum de ressources au Léviathan, sans souci de services collectifs efficaces ni de justifications fondées et sincères.
Avec la publication des "Panama Papers", les dirigeants européens semblent oublier que s'il existe des paradis fiscaux, c'est parce qu'il y a des enfers fiscaux.
Deux semaines à peine se sont écoulées depuis la découverte par Bercy qu’on pouvait faire passer, avec un cynisme assez décontracté, le tabassage fiscal pour…
Après avoir épuisé la manne financière des impôts, il va bien falloir commencer à envisager de réduire les dépenses de l'État.
Pour sortir de l'oppression fiscale, ce n'est pas compliqué. Vauban, Boisguilbert et Turgot nous ont montré la voie.
Cette année, c'est le quotidien Libération qui prend le parti de défendre l'oppression fiscale.
En 2015, le salarié moyen français travaillera jusqu’au 29 juillet pour financer les dépenses publiques, soit 1 jour de plus que l’an passé.
Derrière les prélèvements obligatoires existe aussi une multitude de réglementations qui étouffe la croissance et vide l'épargne des Français.
Les revenus tirés du Bon Coin, de Blablacar et d'AirBnB seront-ils bientôt taxés?
Quelles charges communes acceptables en respectant les principe de la liberté ?
Pour le leader du Parti de Gauche, contrairement à un ménage ou à une entreprise, l’État peut renouveler sans cesse ses dettes.
Avant de s'intéresser au manque à gagner pour l'État, il faut aujourd'hui se poser la question de ce qu'il réussit à perdre.
Les impôts est l'occasion pour l’État d'accumuler des informations individuelles : une menace considérable pour nos libertés.
Le "jour de libération fiscale" devrait s'appeler "jour de suspension temporaire de l'esclavage fiscal".
Une nouvelle étude de l'Institut économique Molinari montre que les salariés belges et français subissent la plus forte pression fiscale et sociale d'Europe.
Les Français ont bien raison d'être en colère contre l'horrible système fiscal qui les oppresse.
La France n'a plus de moteur de croissance qui permettrait d’espérer une reprise économique auto-entretenue.
La taxation des quelques très hauts revenus qui sont restés en France est une posture idéologique.