Responsabilité : une notion en voie de disparition ?
Voici un petit livre qui a peut-être plus de rapport avec les temps que nous vivons qu’il n’apparaît au premier abord.
Voici un petit livre qui a peut-être plus de rapport avec les temps que nous vivons qu’il n’apparaît au premier abord.
Le nouveau président patronal Geoffroy Roux de Bézieux va-t-il vraiment bousculer la vieille dame de l’avenue Bosquet, ou va-t-il se contenter de beaucoup de communication ?
Il existe un tabou sur le travail détaché en France. Alors que le gouvernement bande les muscles sur le sujet, les patrons freinent des quatre fers. Ils savent que la pénurie de main-d’oeuvre employable les contraindra à recourir massivement au détachement.
En s’enfermant dans le piège de la baisse de charges, le patronat endosse le rôle de quémandeur auprès de l'État.
Le gouvernement donnera-t-il un coup de pouce aux TPE ?
La prise en compte de la pénibilité au travail est une erreur tant sur le fond que sur la forme. Voilà pourquoi.
À écouter ceux qui conspuent le patron, il semblerait qu'il y ait une sorte d'homme différent des autres, que la Nature a doté de certains pouvoirs.
Si l’importance des petits patrons pour l’économie est évidemment fondamentale, leur influence sur les politiques publiques est très faible. Changeons la donne !
Les partis de tout horizon content les bienfaits du patronat sur l'emploi. Le nouveau discours de Manuel Valls face à la classe patronale le démontre. Mais est-ce vraiment le cas ?
Et si le Medef décidait de déjouer les pièges social, politique et doctrinal ?
Les cinq candidats à la présidence du syndicat patronal tiennent des discours souvent encourageants.
Patrons rentiers, fonctionnaires omniprésents, concurrence nulle part : la collusion des élites fait que les conflits d’intérêts sont endémiques en France.
Le dialogue social en France est notoirement insuffisant. Pourquoi ? Les pistes avancées par le rapport Gallois peuvent-elles aider ?
Non, décidément le Medef ne sert pas à grand chose, si ce n'est à dévaloriser l'image des vrais entrepreneurs et des vrais libéraux.
C'est en ces termes que les patrons ont qualifié "en off" le nouveau Président de la République lors de l'université d'été du Medef.
Pour le PDG de Saint Gobain, changer de modèle de croissance est une nécessité. Mais qui écoute les patrons ? Pas les candidats à la présidentielle, visiblement
Que vaut-il mieux pour les salariés? Un patron sans coeur souhaitant payer le minimum et optimiser ses profits, ou un législateur bienveillant qui protège avec un salaire minimum?
Une semaine après l'Université d'été du Medef, une question demeure: à quand la prise de conscience des entrepreneurs français?
Le harcèlement moral, une excuse vraiment solide pour plumer votre patron.