Réindustrialisation : un enjeu vital pour l’avenir du pays
Au moins la crise du coronavirus aura-t-elle eu un effet bénéfique : replacer l’industrie au centre des préoccupations du gouvernement car fondamentale pour l'avenir du pays.
Au moins la crise du coronavirus aura-t-elle eu un effet bénéfique : replacer l’industrie au centre des préoccupations du gouvernement car fondamentale pour l'avenir du pays.
Tout le monde parle de relocalisation et c’est très bien. Est-ce qu’il y a effectivement l’opportunité de le faire aujourd’hui ?
Le "Protocole national du déconfinement pour les entreprises pour assurer la sécurité et la santé des salariés" pondu par les pouvoirs publics est un labyrinthe réglementaire à la fois infantilisant et méprisant le privé.
En plus du télétravail, le gouvernement grec a introduit d'autres mesures qui ont donné une aura de flexibilité dans la gestion des relations de travail.
Laurent Berger a pris Emmanuel Macron dans ses rets, et la paralysie s’annonce.
L’Afrique du Sud doit examiner ce qui a fonctionné sans exception à l’étranger : des marchés plus libres, avec moins d’obstacles gouvernementaux, génèrent la prospérité, en particulier pour les pauvres.
Ford a payé pour sortir de la crise "Blanquefort". Cela ne règlera pas le problème du chômage en France.
La Grèce est confrontée à un grave problème de compétitivité des entreprises, de chômage (environ 20%) et d’un marché du travail au noir. Une grande partie de la responsabilité de cette situation doit être attribuée à l’impact négatif du droit du travail.
Et si le marché libre et la propriété privée étaient le meilleur moyen de lutter contre la pénibilité du travail ?
Dans son programme électoral, Emmanuel Macron annonçait : « dès le début du quinquennat, je demanderai au gouvernement de simplifier le droit (du travail) ». Quel bilan peut-on aujourd’hui en dresser ?
La nature du travail s’est modifiée sous l’égide de nouvelles pratiques de flexibilité, de l’essor de plateformes virtuelles ainsi que de modèles de production en flux tendu qui ont accru la polyvalence et l’intensité du travail.
Comment s’articulent les normes du droit du travail dans la nouvelle configuration après les ordonnances ?
L’incapacité d’Emmanuel Macron à engager des réformes radicales du code du travail n’est pas seulement désastreuse sur le plan économique. Elle comporte un véritable risque sur le plan politique.
Aucune autre mesure n’est prévue dans les ordonnances prévues par Macron pour alléger les charges fiscales et sociales des entreprises, qui sont en France supérieures de 8 % du PIB à celles de l’Allemagne.
La demande de sécurité de l'emploi est tout à fait légitime dans une société riche, mais elle risque d’entraver les évolutions. Comment concilier sécurité et dynamisme ?
Voilà, c’est fait : cela fait 100 jours qu’Emmanuel Macron, probablement plus surpris qu’on ne le pense par sa propre performance, est parvenu et exerce à…
La France s’est dotée de plus de 300 conventions collectives. Par comparaison, la Suisse n’en a que 43 « nationales », dont la plupart ne s’appliquent d’ailleurs pas dans tous les cantons. Comment sortir de la jungle réglementaire qu'elles ont instauré ?
Si beaucoup s’accordent à dire que le principe de faveur est « l’âme du droit du travail », il ne fait cependant pas l’unanimité, et les intentions du nouveau président Emmanuel Macron peuvent nous rendre pessimistes quant à l’avenir de ce principe.
Le plafonnement – appelée aussi « barémisation » – des indemnités prud’homales constitue un des points faisant consensus entre syndicats français et libéraux.
La réforme du droit du travail proposée par le gouvernement Macron va dans le bon sens, mais elle ne va pas assez loin pour remettre sur pieds un pays gangrené par le chômage.