Emprunts toxiques, certains élus savaient [Replay]
Emprunts toxiques : les maires connaissaient les risques dès le départ.
Emprunts toxiques : les maires connaissaient les risques dès le départ.
Les entreprises qui courent après les aides publiques sont des entreprises qui abandonnent une partie de leur liberté.
Évaluées à plus de 100 milliards d’euros, les aides de l’État, peu efficaces, sont attribuées selon le poids de lobbies industriels toujours prompts à tendre la sébile.
Selon la loi de Murphy, quelque chose qui peut mal tourner finira probablement par mal tourner. Et lorsque l’État, des élus et l’argent du contribuable…
Trois dirigeants de Dexia, la banque dont la faillite aura coûté le plus aux contribuables français et belges, voient leur rémunération augmenter de 30%.
Les Etats n'auraient-ils pas dû laisser mourir Dexia plus tôt ? Fermer une entreprise malade peut s'avérer positif pour l'économie.
Ah, les emprunts toxiques ! En matière de décontraction dans la dépense et d’irresponsabilité crasse de la part d’élus, difficile de trouver un meilleur exemple…
De plus en plus de communes engagent des procédures à l’encontre des banques.
La Seine-Saint-Denis empêtrée dans ses crédits appelle le contribuable français au secours.
La France et la Belgique espéraient que leurs 5,5 milliards de recapitalisation de Dexia passent inaperçus dans les comptes.
Un récent jugement a débouté le département de Bartolone contre Dexia. Le politicien, rusé, fanfaronne pourtant.
Dexia condamnée pour ses emprunts toxiques ? La vérité semble plus nuancée.
La solution retenue pour "sauver" Dexia présage de lendemains qui déchantent.
Pour les mairies, l'argument du prêt toxique parce que trop complexe, quand on l'examine, est un beau moquage de visage. Un de plus.
Pendant que Dexia prépare sa faillite ou la noyade par liquidités, l'Inde et la Chine achètent de l'or à tout va. Coïncidence ?
La célèbre phrase de Madame du Barry résonne aujourd'hui d'une étrange façon lorsqu'on contemple le destin qui semble attendre l'Europe et l'Euro.
Le maire de Sevran tente une minable grève de la faim pour sauver la ville qu'il a lui-même poussé au désastre pendant dix ans d'incurie.
Vendre ce qui est vendable pour assurer un atterrissage le plus en douceur possible, l’unique politique de la défunte banque…
Le principe même d'une reprise n'est plus guère dans les bouches, et tout le monde, l'air grave, admet qu'il y a encore quelques problèmes économiques
Le monde financier à Paris bruisse de rumeurs selon lesquelles Dexia, cette grande banque spécialisée dans les prêts aux communautés locales, connaîtrait de grandes difficultés