PLF 2021 : de la dette, toujours de la dette...
Quoi qu’en dise Bruno Le Maire, la dette ne s’épuise que par de l’impôt futur ou par la spoliation des épargnants. Au bout de la dette, même « effacée », il y a toujours quelqu’un qui va payer.
Quoi qu’en dise Bruno Le Maire, la dette ne s’épuise que par de l’impôt futur ou par la spoliation des épargnants. Au bout de la dette, même « effacée », il y a toujours quelqu’un qui va payer.
S’il suffisait aux États d’augmenter leur déficit et leur dette pour investir et gagner de la croissance, la France serait le pays où la croissance devrait être la plus forte du monde. Mais ça n’est pas le cas.
La dette publique risque de continuer à croître, entraînant des charges pour le budget de plus en plus lourdes, et laissant aux générations suivantes le soin de porter ce fardeau.
Un récent rapport de l’OCDE, à rebours de toutes les doctrines keynésiennes chiffre que l’État le plus efficace ne doit pas capter plus de 36% de la richesse produite par ses citoyens. En France, l’État s’arroge 58% du PIB.
La croissance française a une fois de plus déçu. L'ancien député Jean-Michel Fourgous en donne son analyse.
La France échappe à la récession, mais la politique mise en oeuvre ne peut qu'aggraver la crise: elle est l'inverse de ce qu'il faudrait faire!
Révision à la baisse de la croissance française - Christian Noyer, gouverneur de la Banque de France, estime le besoin de renforcement de fonds propres à moins de 10 Md€ - Point sur la crise de la dette de l'eurozone : renforcement du FESF, rôle de la BCE, restructuration de la dette grecque - Divers : Assurance vie, Transports autocars, Tremblement de terre en Turquie
Croissance Française : 1,1% de croissance en 2012 dit le FMI, mais Bercy maintient 1,7%.