Union européenne : du marché commun à la farce tragique
Selon les données actuelles, le retour à la normale, en Europe, se fera avec un an de retard sur l’Amérique et le Royaume-Uni.
Selon les données actuelles, le retour à la normale, en Europe, se fera avec un an de retard sur l’Amérique et le Royaume-Uni.
Jusqu’à présent, la Grande-Bretagne a signé 63 nouveaux traités commerciaux, y compris avec l’Union européenne.
Le Royaume-Uni sort de l’Union européenne et y retrouve presque tous les avantages économiques de l’Europe sans les contraintes qui l’ont décidé à en sortir lors de son référendum de 2016.
La majorité parlementaire de Boris Johnson est suffisante pour surmonter l'opposition interne. Mais il pourrait aussi simplement rejeter la faute sur Theresa May, pour avoir déclenché le Brexit sans plan.
La souveraineté britannique retrouvée dans le cadre d’un No-Deal-Brexit offrirait un forum alternatif à ce « modèle européen » dont les succès à venir ne paraissent guère assurés.
La crise du coronavirus, qui a touché très sévèrement le Royaume-Uni, accentue l’incertitude et pourrait bien accélérer l’augmentation du rôle de l’État dans l’économie.
Le 12 décembre 2019 restera une date fatidique, mais il se pourrait que Boris Johnson doive se préoccuper de l’unité du royaume de Sa Majesté.
Une émission de Pierre Schweitzer consacrée à Daniil Gorbatenko (seconde partie).
A peine sa sortie officielle de l’Union européenne effectuée, le Royaume-Uni se révèle déjà très imaginatif quant aux méthodes commerciales qu’il espère développer pour maintenir sa place dans l’économie mondiale.
Le Brexit rebat les cartes entre États membres à la tête de l'union européenne. Qui seront les gagnants ? Qui seront les perdants ?
Il existe une critique d’inspiration libérale, portée par quelques courageux observateurs de la politique européenne, qu’il faut écouter pour avancer et réformer.
Le Royaume-Uni est prêt à reprendre sa place dans le commerce international dès le 31 janvier 2020.
La réalité économique et la nécessité de rassurer les milieux des affaires vont l’obliger à faire des choix cruciaux qui permettront de savoir si les conservateurs ont conservé une part de libéralisme ou si la page du thatchérisme s’est tournée.
L'Angleterre est une preuve du pouvoir de la volonté politique à quiconque accepte de s’en servir. Force est de constater que l’exécutif français n’emprunte guère ce chemin.
À choisir entre le Brexit avec Boris Johnson et le Remain avec Jeremy Corbyn, je n’hésite pas : Bravo Boris !
Le résultat des législatives britanniques nous donne une leçon capitale : la démocratie fonctionne, et réussit même à contenir la radicalisation populiste.
Si l’incertitude créée par le Brexit a ralenti l’économie anglaise, la peur d’une victoire des travaillistes de Corbyn est une perspective qui fait fuir un certain nombre d’acteurs économiques du Royaume-Uni.
Les Britanniques vont voter pour renouveler leur parlement, mais de plus d’une façon, ce scrutin affectera l’avenir même de l’Europe.
Mieux comprendre qui est Jeremy Corbyn, le travailliste le plus stalinien du Royaume-uni.
Le culte du gigantisme politique est-il justifié ? L’histoire de Singapour prouve le contraire.