Une "taxe plastique" pour compenser le "manque à gagner" du Brexit ?
Le départ du Royaume-Uni fait un trou dans le budget de l'Union européenne. Au lieu de réduire le nombre de fonctionnaires pour s'adapter, Bruxelles prépare une nouvelle taxe.
Le départ du Royaume-Uni fait un trou dans le budget de l'Union européenne. Au lieu de réduire le nombre de fonctionnaires pour s'adapter, Bruxelles prépare une nouvelle taxe.
Brexit ou non, Londres risque bien de rester une des capitales les plus attractives, et la ville où le logement est le plus cher au monde.
Conserver sa protection sociale anglaise tout en travaillant en France : c'est une des pistes qui serait explorée par les banques françaises pour rapatrier leurs salariés en France sans qu'ils y laissent des plumes.
Teresa May : "Je ne saurais être plus claire : les citoyens de l'Union européenne établis aujourd'hui au Royaume-Uni de manière légale auront le droit de rester sur le territoire britannique."
L'ancien vice-premier ministre de Grande-Bretagne Nick Clegg signe un essai vigoureux pour expliquer l'erreur du Brexit et la nécessité de repenser l'Europe.
L’Union Européenne profitera-t-elle des Paradise Papers pour étrangler les paradis fiscaux sous tutelle britannique et pour mieux protéger ses propres paradis fiscaux ?
De quelles options dispose la Grande-Bretagne, sinon en dehors, du moins désormais en marge de l’Union européenne ?
Arrêtons de plaquer nos fantasmes sur l’Union Européenne. Ce que l’on ne peut pas faire en France -un État omnipotent et protecteur- on ne le fera pas davantage via l’UE.
Beaucoup d’idées fausses circulent sur le Brexit. En réalité, la prospérité d’un pays ne dépend pas de son appartenance ou non à l’Union européenne.
Les gens utilisent la démocratie comme vote de protestation au lieu de voter pour la politique qu’ils préféreraient voir appliquée.
La France comploterait pour faire main basse sur 73,5 milliards € de recettes fiscales.
La plupart des gens sont si occupés à discuter de politique qu’ils ratent souvent l’opportunité d’en tirer profit.
À trop vouloir imiter son modèle, Margaret Thatcher, Theresa May a fini par imiter Jacques Chirac lors de la dissolution en 1997, deux ans à peine après son élection.
Le brexit et les dernières élections au Royaume-Uni montrent qu’en démocratie le destin d’un pays se joue à peu de chose. Cela devrait nous inciter à une réflexion sur le pouvoir de ces politiciens qui nous gouvernent.
Les élections du 8 juin 2017 pourraient bien manifester un vrai tournant au sein de l’opinion britannique.
Avec le Brexit, le Royaume-Uni retrouvera le contrôle de ses frontières, mais à quel prix ?
Quelles conséquences économiques du Brexit sur le Royaume Uni ?
En Grande-Bretagne, aux États-Unis et en France, les grands leaders politiques n'hésitent pas à prendre des risques idéologiques pour le meilleur et pour le pire. Inversement, ceux qui restent dans l'équivoque, à l'image de Theresa May, sont en difficulté.
L’enjeu économique derrière le Brexit, quelque peu voilé par le symbole politique, et d’une complexité significative altérant la bonne négociation de la sortie britannique.
Le Royaume-Uni se trouve être le porteur d’un projet qui peut lui échapper, à travers des négociations beaucoup plus longues et complexes que prévues, caractérisées par une grande incertitude dans la finalité, mais dont les répercussions se font déjà sentir.