Islamo-gauchisme à l’université : Frédérique Vidal ouvre la boîte de Pandore

Les affinités entre les franges collectivistes et réactionnaires de l’Islam et celles du gauchisme nihiliste n’existaient pas il y 15 ans. Avec l’effondrement de la gauche modérée, les rapports de force ont changé.

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Islamo-gauchisme à l’université : Frédérique Vidal ouvre la boîte de Pandore

Publié le 17 février 2021
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Par Frédéric Mas.

En lançant une enquête sur l’« islamo-gauchisme » à l’université, la ministre de l’Enseignement supérieur Frédérique Vidal a provoqué l’indignation des universitaires et d’une partie de la classe politique et médiatique. Madame Vidal a ainsi annoncé sur Cnews avoir chargé le CNRS de mener une « étude scientifique » pour définir ce qui « relève de la recherche et du militantisme ».

Elle est revenue à la charge ce mardi devant l’Assemblée nationale : va être mis en place un bilan de recherches afin de distinguer « ce qui relève de la recherche académique et ce qui relève du militantisme et de l’opinion ». Déradicaliser les facs en commandant un rapport ? L’ambition paraît à la fois extraordinaire dans ses buts et plutôt modeste dans ses moyens.

Sur les bancs de la gauche radicale, qui s’est sentie visée, on s’est insurgé contre une « chasse aux sorcières » intolérable. La conférence des présidents d’université n’est pas en reste. Elle n’a pas caché son indignation, jugeant la « polémique stérile ». Elle regrette la « confusion » faite entre liberté académique et « ce qui relève d’éventuelles fautes et infractions ». Elle condamne également l’« instrumentalisation » du CNRS.

La gauche universitaire, elle, se moque. Les facs françaises seraient-elles aux mains de hordes de maoïstes pénétrés des idées de Khomeiny ? Tout cela tient du café du commerce et le monde éthéré de la recherche et de l’enseignement supérieur n’a de comptes à rendre qu’à lui-même, liberté académique oblige. Et puis d’abord l’islamo-gauchisme, est-ce que ça existe, en dehors des plateaux télé de Cnews et des pages de Valeurs actuelles ?

La gauche républicaine contre l’islamo-gauchisme

Pour certains, parler d’islamo-gauchisme, c’est faire de la politique et pas de la science. Seulement l’argument suppose que l’enseignement échappe comme par magie au débat public.

L’expression « islamo-gauchiste » est une invention sémantique du politologue Pierre-André Taguieff pour désigner une reconfiguration particulière de la gauche de la gauche qui s’est accommodée de l’islamisme ou pire encore, qui l’instrumentalise comme critique de l’Occident et du capitalisme.

Ce n’est pas un élément de langage de l’extrême droite, mais de la gauche républicaine. Il s’agissait pour elle de désigner une frange de la gauche radicale en rupture avec d’autres courants d’émancipations classiques. Bien entendu, comme tout ce que la gauche abandonne, comme la liberté d’expression, la laïcité ou la République, l’extrême droite s’est empressée de se réapproprier le terme.

Pour Philippe Raynaud, la tolérance d’une partie de la gauche de la gauche vis-à-vis de l’islamisme la mettait déjà en tension vis-à-vis des courants républicains mais aussi des courants féministes et/ou favorables à la liberté des mœurs « qui perçoivent l’‘intégrisme’ musulman comme un danger (au moins) aussi grave que le conservatisme traditionnel1 ».

Les affinités entre les franges les plus collectivistes et réactionnaires de l’Islam et celles du gauchisme le plus nihiliste n’étaient il y a 15 ans qu’un courant mineur de la gauche. Aujourd’hui, avec l’effondrement de la gauche républicaine modérée, les rapports de force ont changé.

La pression islamiste dans les médias et au sein des partis politiques de gauche s’est accrue, comme elle s’est accrue au sein de la société civile et des services publics. Pourquoi l’université serait-elle épargnée ? L’idéologie décoloniale et indigéniste qui en normalise le discours fait partie de l’éventail idéologique de la gauche actuelle, gauche qui a toujours prospéré dans l’enseignement public.

Quelle frontière entre opinion et recherche ?

Seulement Frédérique Vidal ouvre la boîte de Pandore. La frontière entre la science et la politique est sujet à débats depuis la naissance même des sciences sociales. Existe-t-il un étalon universel et faisant consensus au sein de la communauté scientifique permettant de distinguer l’opinion de la connaissance ?

Les différentes variétés de marxisme, de théories post-modernes ou de sociologies critiques qui prospèrent dans l’enseignement supérieur s’accordent au moins pour réduire la science à des rapports de pouvoir, d’idéologie et de domination.

Dans la discipline économique, toute pensée hétérodoxe, en particulier libérale, est proscrite. Pour qu’un Jean Tirole puisse être reconnu sur le plan mondial, il a fallu s’extraire du système universitaire français et inventer l’école capable de recruter et de former en se tenant à distance de la tambouille idéologico-politique de la gouvernance des universités comme de ses réflexes corporatistes profonds.

Avec les Cultural Studies qui s’installent depuis maintenant une dizaine d’années en France, la frontière a totalement disparu aux yeux même de ses pseudo-chercheurs : la position de pouvoir que constitue l’enseignement doit servir de levier pour transformer la société en fonction de la critique féministe, post-coloniale, racialiste, etc. L’idéologie doit tout commander, y compris la recherche en sciences exactes.

Faudra-t-il ressusciter le positivisme sociologique comme idéologie étatique officielle pour distinguer clairement les rentes idéologiques qui se sont agrégées au sein des universités des chercheurs consciencieux qui travaillent tranquillement dans leur labo ? L’exercice paraît vain et peu praticable, Auguste Comte est bien mort.

La solution libérale

Une solution libérale pourrait orienter l’action publique pour aider à dégonfler l’extrémisme anticapitaliste, dont l’islamo-gauchisme n’est qu’un avatar, au sein de l’université.

Elle nous est suggérée par le philosophe Robert Nozick. Beaucoup d’intellectuels sont anticapitalistes parce qu’ils estiment que le système économique ne récompense pas leurs compétences correctement. De leur point de vue, ils méritent plus que les honneurs et le statut que le marché tend à leur donner. Ils vont donc valoriser les politiques publiques et les idéologies qui vont modifier les règles du jeu économique pour leur attribuer une plus grande place en société.

Cela peut se traduire politiquement par la monopolisation étatique de l’enseignement supérieur pour pallier une pseudo-défaillance du marché des honneurs et du prestige social.

Privatiser l’enseignement supérieur ou au moins libéraliser l’enseignement supérieur pourrait ainsi participer à dégonfler le marché des « intellectuels radicaux » et à les renvoyer à leur véritable valeur aux yeux du reste de la société, c’est-à-dire à pratiquement rien, et cela sans attenter aux libertés universitaires. Plus ambitieux qu’un rapport du CNRS mais moins porteur électoralement parlant, pas sûr que cela séduise nos édiles…

  1. Philippe Raynaud, L’extrême gauche plurielle, Cevipof/autrement, p.50.
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  • Ces jérémiades sont bien la preuve qu’il y a un loup.
    Donc il faut persévérer.
    La politique, notamment celle-la, n’a rien à faire à l’université.

    • Le problème c’est qu’à la fac les gens « normaux » comme moi taisent leurs vues poltiques et essayent effectivement de faire preuve d’une neutralité maximum. Mais de l’autre coté, qu’on pourrait effectivement nommer « islamo-gauchiste » (qui est, disons le clairement, surtout gauchiste, et ponctuellement, par calcul, islamo affichée). il n’y à rien de tel, au contraire, tout est prétexte à faire passer pour « vrai » des trucs idéologiques, ce qui est nuisible aux étudiants, à la science et a la société toute entière.
      J’ai tranché : tant que les collègues gaucho-socialistes font de la propagande éhontée, je colle des commentaire et exemples et réflexions anar-cap dans mes cours (qui n’ont rien à voire). Tant pis si ça me gêne, aux entournures, mais c’est important que les étudiants aient d’autres voix à entendre !

  • Sans parler du fait que libéraliser au moins en partie l’enseignement supérieur permettrait justement de meilleurs salaires aux meilleurs enseignants-chercheurs… Encore faudrait-il diminuer la masse des ponctions sur les revenus

  • Si l’extrémisme et l’islamo-gauchisme n’existent que dans Valeurs Actuelles et CNews, alors pourquoi les universités sont-elles si fâchées ? Elles n’auraient pourtant rien à craindre d’une telle étude.
    Comme le résume le proverbe, c’est la première poule qui chante qui a pondu l’oeuf…

  • Comment le CNRS, complètement gangrené par la gauche, est-il fondé à fournir un rapport objectif sur une mouvance à laquelle il appartient ?

  • La gauche classique ,essentiellement PS,dite modérée bien que Mitterrand rappelait que l’inspiration du PS était et serait toujours Marxiste (1974) a perdu son électorat traditionnel ouvrier ,employé,enseignement,FP et a tout fait pour faire disparaitre les 2 premières catégories s’est trouvé un autre électorat . Enseignement et FP ont viré plus à gauche et/ou écolo.Hamon ancien matamore du PS l’ a bien compris et mis en pratique à Trappes dont il a été député et conseiller municipal,on voit le résultat.

  • Intéressant. Dans l’excellent livre « Les territoires conquis de l’islamisme », sous la direction de B. Rougier, les intersections entre gauche, islamisme, revendications LGBT, etc sont bien expliquées. La désignation d’un ennemi commun (la République, la race/religion/genre/laicité/capitalisme/l’homme blanc/etc etc) avec le sentiment commun d’appartenir à un groupe de marginaux/rejetés/discriminés créé des ponts. C’est encore une fois un très bon exemple de hétérogénéisation/homogénéisation : l’unité contre quelque chose d’autre.
    Bien évidemment, l’intersectionnalité ne tient pas des combats communs mais contre un « ennemi » commun. L’islamo-gauchisme, vague épouvantail, n’est pas dangereux en lui-même car vide, il n’est pas uni dans ses moyens, mais il permet par ses copinages l’infiltration d’islamistes dans des cercles de pouvoir/influence.

  • Bon, elle va faire un comité d’enseignants/étudiants tirés au sort (un nombre comme 35) où on retrouvera quelques écolos, des membres de l’UNEF, des membres de LFI et quelques blacks blocs non masqués pour le coup. Et donc le résultat sera qu’il n’y a aucun islamo-gauchisme. Après elle lancera une étude sur l’écriture inclusive avec quelques trotskistes en plus pour faire différent. Qui mettra en conclusion que c’est vraiment fun. C’est comme les comités théodule, on occupe le terrain en faisant croire que l’on s’intéresse. Le tout à 12 mois de la présidentielle et quelques mois des régionales. Comme si trouver une solution à un problème se faisait avec ceux qui l’ont créé…

  • Je doute que le libéralisme aide en quoique ce soit. Pour s’en convaincre, il n’y a qu’à regarder les universités aux USA et au Canada: Un nid putride à gauchistes et tiers- mondistes à la petite semaine.

    • Certes mais tant que les étudiants assument leurs choix, c’est à dire la dette..pas de problème…

      Les questions ont toujours été de savoir qui paye pour son éducation..et quelle est la valeur « économique » de la dite éducation …

      Si vous voulez, je vous donne des cours en ligne pour 100 000 euros et je vous donne un joli diplôme à la fin… pas de tampon vérifié et approuvé par l’etat, c’est tout… et un employeur potentiel n’en aura rien à cirer non plus.. je pense que vous allez ne pas suivre « mes cours »..

      la dame entretient le mythe d’un état qui « sait » investir judicieusement… foutaise…

  • deux choses…
    en premier, le financement public, ce qui est associé à l’idée que la recherche sert l’interet général.. or la science ne fait que chercher la vérité..qui d’ailleurs n’est pas dans l’interet de tous!

    et en second, insuffisance du « peer review » au sens large.. si le ministre doit distinguer ce qui relever de la méthode scientifique et de l’opinion, c’est que la discipline entière est simplement pourrie, mais des tas d’universitaires savent déjà que des disciplines sont « pourries »..

    ce qui ferait enrager les universitaires, car ça la foutrait mal pour être financés, c’est que le monde n’en ait rien à cirer des diplômes qu’ ils attribuent..ce qui est déjà en partie le cas..

    à rapprocher de la crise de la dette étudiante us…

    mais bon quand des étudiants sont fiers de faire la grève…ça en dit long ..

  • Pour ce qui concerne l’histoire, je crois qu’il faut remonter à bien plus de quinze ans, la création de l’état d’Israël ayant eu pour contrepoint l’alignement du monde dit arabe sur Moscou, avec des régimes socialistes – nationalistes plus ou moins dictatoriaux.

    D’un côté Israël, les USA et, mollement proches, les pays d’Europe, de l’autre des « non-alignés » avec conseillers militaires, armement et sécurité soviétiques.

    Cette division permettait incidemment à la gauche européenne, proche de Moscou, de cacher son anti-sémitisme sous le manteau du support aux Palestiniens

    L’immigration maghrébine, à partir des années ’70, a scellé l’union de la gauche et des immigrés.

    On peut d’ailleurs se demander si Hollande aurait été élu dans le vote « stalinien » de la communauté maghrébine en sa faveur.

    On peut aussi rappeler qu’il y a quelques années, la liste du PS aux élections bruxelloises ne comportait QUE des noms à consonances arabe et turque

    Le déni du risque des « territoires perdus » et le « pas d’amalgame » ont servi à masquer cette connivence

    L’invasion des universités par l’islamo-gauchisme n’en est que la suite logique

  • Enseigner, faire de la recherche est une chose. Faire de la propagande idéologique pour des théories gochiasses qui ont démontré ce qu’elles sont a travers le communisme et ces millions de morts, ou l’islam ni l’élimination de qui refuse de se soumettre , n’a pas a être financé par nos impôts pour nourrir des nazo-intellos.

  • Ce qui est énorme ici, c’est que d’une simple expression politique, on est arrivé à un concept de science ! 😀
    Dans ce cas, le concept de racisme n’existe pas, étant donné que scientifiquement, le concept de race n’existe pas… 😉

    • Si, si, le concept de race existe en science… mais bon, comme il faut être anti-raciste, on a inventé le meta concept qui fait qu’on peut s’emparer de la définition et du mot race, mais uniquement pour les animaux non-humains… C’est donc hautement « spéciste » comme ils disent, mais c’est au prix de contorsions avec leurs propres définitions et convictions qu' » » »ils » » » » arrivent à se regarder dans le miroir et à ne pas se suicider à coup de dissonance cognitive !

  • Vous pensez vraiment que le rapport dira que l’université est aux mains des Islamo gauchistes ou des psycosociovictimo gauchistes? Que Nenni ! Peut-être un ou deux éléments égarés …..

  • Pendant ce temps-là, les chinois travaillent sur les sciences dures (physique nucléaire, ordinateurs, AI, ..), ils ne se soucient pas du CO2 quand nos chercheurs sont obsédés par les gender studies et le changement climatique … CPEF !

    • Ah, mais même dans les sciences dures (peut-être même plus, en fait) on trouve ces idéologies putrides… Cela conduit à une forme de Lyssenkisme nuisible à la science dans son ensemble (on « oublie » des théorèmes parce que démontrés par un homme blanc de droite mort, on considère comme juste une proposition invalidée par l’expérience parce qu’elle provient d’une « femme de couleur »… etc.)

  • Notre gouvernement au Québec vient de décocher cette même flèche vers nos universités. Étant voisin de l’Oncle Sam, le « Cancel Culture » et la « Woke » deviennent très problématiques dans nos hauts lieux du savoir. Évidemment, pour les adeptes voulant abattre ceux qui ont construit la maison, l’on s’indignera que l’état n’a pas d’affaire là.

    Voici un texte que j’ai pondu, inspiré de la pensée d’intolérance qui fait rage aujourd’hui avec cette gauche radicale, véritable fléau, à mon avis, abolissant les valeurs fondamentales, à la grande joie des fournisseurs de pilules.

    (Il y a peut-être un certain paysage décalé d’avec la France, mais ça se ressemble beaucoup et j’ai pensé que cela pourrait intéresser.)

    LA LOGIQUE INVERSÉE ET ANNIHILISTE

    L’acceptation forcée de l’abolition de notre culture et l’acceptation forcée des autres cultures.

    Accuser l’autre de ce dont l’on est coupable soi-même devenu un fléau.

    Des logiques inclusives qui exclu à grande échelle et des logiques tolérantes qui tolèrent l’intolérable.

    Des mouvements anti-raciaux attisant la tension raciale et racistes envers les blancs.

    Des femmes qui croient plus valorisant d’avoir une carrière qu’éduquer un enfant.

    Des embryons qui n’ont pas de droit sur leur existence et qui menés à terme n’ont plus de droit sur leur inexistence.

    Des hommes à profusion se tournant vers des partenaires sexuels aussi déviants qu’un ordinateur, et toutes les abominations qu’ils contiennent.

    Des hommes qui croient être des femmes et vice-versa.

    Des homosexuels croyant être normaux, alors qu’ils fonctionnent à l’envers.

    Des minorités qui, juridiquement, culturellement, publiquement et médiatiquement, font la loi envers les majorités qu’elles méprisent ouvertement.

    Les sociétés les plus inclusives au monde jugées racistes et misogynes.

    Une jeunesse se croyant plus expérimentée que la vieillesse.

    Une société incapable de se passer d’électricité, de voitures et de téléphones intelligents qui scande au meurtre de la nature en utilisant les pays pauvres comme poubelles.

    Les modèles sexuels des LGBTQ qui ne permettent pas l’enfance qui font leur promotion auprès des enfants.

    Les trans-choses, les déséquilibrés non-binaires et autres déséquilibrés mentaux, ultra minoritaires, ayant aboli les mots père et mère pour parent 1, 2 et 3, ayant leurs propres toilettes déviantes dans certains endroits publics inclusifs et en voie d’abolir les mots homme et femme…

    C’est un monde de fous qui s’ouvre devant nous.

    Je n’arrive pas à croire que toutes ces folies prennent le dessus sur nos sociétés.

    Je plains les gens normaux, les hommes, les femmes, les pères, les mères, les héréros, les enfants…

    C’est une abomination annihilante qui a pour but de détruire ceux qui ont construit notre société au profit des autres.

    Aussi simple que ça.

    Et, force est de constater que c’est dangereux d’aider des logiques qui fonctionnent à l’envers, que vous risquez d’avoir comme remerciement que mépris, ingratitude et désir de vous abattre.

    Triste constat, notamment pour ceux et celles qui défendent dignement les minorités, et pour la partie de celles-ci qui n’a pas de haine et de jalousie au coeur.

    Après ça, vu que les médias vous le dise, vous voyez un problème dans l’extrême droite qui se réveille, mais on se garde bien de vous faire comprendre que c’est la conséquence de toute cette folie que j’explique ici.

    Rien d’étonnant puisque les nouveaux arrivants à ces postes dans ces médias sont le fruit de ces universités infectées par la logique inversée.

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Le chaos semble donc s’être définitivement installé dans certaines universités, en France et dans le monde occidental.

 

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