Par Jonathan Frickert.
Ce lundi 21 décembre ne sera malheureusement pas à marquer d’une pierre blanche. À moins d’une semaine du début de la vaccination et alors que le président de la République fêtait ses 43 printemps, le dernier Conseil des ministres de l’année a fait un étrange cadeau de Noël aux Français.
En vue de préparer la sortie de l’état d’urgence sanitaire le 1er avril prochain, l’exécutif a présenté le projet de loi n°3714 instituant un régime pérenne de gestion des urgences sanitaires.
Comme nous l’anticipions depuis plusieurs mois, le gouvernement tente aujourd’hui d’introduire dans le droit commun plusieurs mesures de l’état d’urgence sanitaire, réduisant encore davantage le sort des libertés publiques dans ce pays.
Le texte part pourtant d’une bonne intention, privilégiant l’incitation et l’anticipation à l’oppression et à la précipitation qui auront marqué cette année 2020.
Pour pallier cette situation, il pêche toutefois par la rencontre de deux logiques : d’une part, d’un texte global ressort une mesure particulièrement liberticide ; d’autre part, l’entrée dans le droit commun de mesures initialement destinées à rester ponctuelles.
Des mesures isolées
Ce texte s’inscrit dans une série de trois lois suivant la même logique et que nous avons dénoncé ici même.
Début octobre, le projet de loi contre le séparatisme a montré une volonté de l’exécutif de s’attaquer à la liberté scolaire via son article 21, relançant une nouvelle fois la guerre scolaire.
Un mois plus tard, c’était au tour de la liberté d’information d’être attaquée par le gouvernement avec le projet de loi « sécurité globale », débattu au milieu du mois de novembre, toujours selon la procédure accélérée, introduisant un article 24 objet de nombreuses manifestations depuis un mois.
Aujourd’hui, c’est bien cet article 1er du texte qui fait polémique.
L’incitation plutôt que l’obligation
Pour cause, cet article reprend la promesse élyséenne de non-obligation vaccinale, engagement sans doute destiné à ménager la méfiance des Français envers les vaccins.
Chose rare pour être saluée, l’incitation a été ainsi été préférée à l’obligation. Elle souffre toutefois d’un problème d’échelle.
En effet, s’il serait moralement légitime pour une entreprise privée d’accepter ou refuser qui elle souhaite, l’article 1er du texte vise à donner la possibilité au Premier ministre de décider si une personne non vaccinée ou dépistée peut ou non prendre les transports en commun, mais également se rendre dans un établissement privé comme un restaurant, élargissant ainsi les obligations vaccinales déjà en place dans la santé et l’éducation.
La mesure rappelle fortement la proposition de la députée UDI du Nord Valérie Six de mettre en place un « passeport vert » permettant aux personnes vaccinées de se déplacer librement et qui risque de créer deux classes de citoyens.
En d’autres termes, vous n’êtes pas obligé légalement de vous vacciner, mais si vous ne le faites pas, vos libertés seront largement restreintes, notamment au regard d’établissements publics pour lesquels vous êtes contraint de fiscalement contribuer.
La polémique a contraint Olivier Véran à reculer sur cette mesure moins de 24 heures après le début des hostilités.
Or, comme le notait Margot Arold dès mardi dans nos colonnes, c’est bien la globalité du texte qui vise à étendre les prérogatives gouvernementales.
L’art de l’anticipation
La crise sanitaire aura été un incroyable effet de loupe sur le mal français où le gouvernement, pénalisé par son appareil administratif, encadrait et réquisitionnait au mépris du bon sens, entraînant une suite de conséquences économiques, sociales et sanitaires encore mal mesurées.
Face à son impréparation, le gouvernement a également répondu par la restriction de nos libertés les plus élémentaires : liberté de circulation, liberté de travailler, liberté d’enseignement et liberté de culte en tête.
Ce projet de loi clôt donc une année où les mesures liberticides ont succédé aux réglementations bureaucratiques.
Dans ce sens, le projet de loi propose de répondre au manque d’anticipation.
Toutefois, il souffre d’une absence de bilan de ce qui s’est passé permettant de tirer des conséquences. Le projet de loi répond à chaud à quelque chose qu’il aurait fallu analyser à froid.
Mieux encore, il pêche par une logique bien connue d’entrée dans le droit commun de mesures initialement ponctuelles.
L’état d’urgence sanitaire : des atteintes pérennes
C’est donc bien la pérennisation d’un régime liberticide qui est en jeu ici. Une logique que nous anticipions et dénoncions depuis plusieurs mois sur Contrepoints.
Difficile en effet de ne pas penser à plusieurs mesures destinées elles aussi à être ponctuelles, mais qui finirent dans le droit commun, que ce soit la CRDS dont la durée de vie a été rallongée en mai dernier jusqu’en 2033, ou encore la loi de sécurité intérieure de 2017 introduisant dans le droit commun plusieurs mesures controversées de l’état d’urgence antiterroriste dont le texte devait permettre de sortir.
Dans cette logique, le projet de loi présenté lundi propose l’entrée dans le droit commun de plusieurs mesures ayant essaimé durant cette année. Liberté de circuler soumise à obligation de test et de traitement, extension des procédures d’isolement et de quarantaine ainsi que l‘élargissement des cas de violation du secret médical sont ainsi au rendez-vous.
Comme dans le cas de l’état d’urgence antiterroriste, la France est désormais vouée à vivre dans un état d’urgence sanitaire permanent.
Un espoir nommé Montpensier
Si le libéralisme est, comme toutes les pensées, mouvant sur l’échiquier politique, les libéraux occidentaux sont généralement situés au centre de ce dernier, là où les idéologies les plus autoritaires sont aux marges.
Il est ainsi étonnant, pour ne pas dire insolite, de voir l’inversion qui s’est opérée cette année. Les plus autoritaires sont désormais au centre, LREM et UDI en tête, tandis que les ailes plus radicales apparaissent, par pur opportunisme, plus libérales, à la manière des populistes, montés au créneau dès lundi soir, mais qui n’auraient sans doute guère fait mieux sinon pire.
Reste à espérer une censure au moins partielle du texte. Le Conseil constitutionnel ne devrait en effet pas manquer d’être saisi, que ce soit par l’opposition ou par le chef de l’État dans un geste d’apaisement d’une gronde qui ne fait que croître.
Le siège du Conseil constitutionnel est situé rue de Montpensier, qui doit son nom à un frère de Louis-Philippe, un des rois les plus libéraux qu’ait connu la France.
Reste donc à espérer que l’institution garante de notre état de droit lui redonne enfin ses lettres de noblesse.
Macron, auteur de bande dessinée, a depuis longtemps renoncé à la ligne claire d’Hergé au profit de la ligne autoritaire
Les lois en catimini, subreptices . . . .
Il a basculé du côté obscur de la force.
c’est l’apanage des gens capricieux ; avoir les autres à sa botte ;
Si vous 38° de température rectal en Ehpad ou à l’hôpital vous avez d’office la Covid-19, ils sont rarement soignés avec de la méthadone Chlorhydrate
Cette loi veut faire entrer dans le droit commun des mesures liberticides
sans effet sur l’épidémie de surcroit et ce sur la simple décision d’un ministre. C’est la fin de la démocratie et l’entree officielle en dictature.
On va le répeter..si cela est fait avec l’assentiment du peuple, ça ne fait que prouver que la majorité se fout du respect des libertés individuelles..
simple tyrannie de la majorité.. pas une dictature au sens propre.
L’espérance dans l’intepretation du conseil constitutionnel est d’une certaine façon effrayante.. Il est EVIDENT que c’est liberticide..pourtant le conseil constitutionnel garant du respect de la constitution peut accepter!!
en France la constitution ne protège pas les libertés individuelles et donc ne nous protège pas de la tyrannie…Il suffit de la lire pour le savoir…
pour qui veut vivre librement, prière de vous fier au bon vouloir de la majorité..
on va le répéter de gaulle se sentait obligé d’affirmer je n’ai pas l’intention de commencer une carrière de dictateur…
Par ailleurs…la disparition du débat public remplacé par la détermination de la valeur d’un propos par l’identification de celui qui l’emet augure TRES mal..
EN gros il n’y pas de condamnation morale unanime des antifa, pour tuer le fascisme, tue le fasciste..
@jacques lemiere
Bonjour,
« On va le répéter… si cela est fait avec l’assentiment du Peuple, ça ne fait que prouver que la majorité se fout du respect des libertés individuelles. »
Liberté est devenue un gros-mot en France, c’en est un encore plus gros si on y accolle « individuelle ».
Quant à l’assentiment du Peuple, vous plaisantez. L’A.N sera-t-elle remplie à 100% ? Le Sénat sera-t-il rempli à 100% ? Le Peuple sera-t-il consulté directement ? Non.
Les députés ne sont pas plus légitimes que Macron et ne représentent pas le Peuple, et surtout pas une majorité de français, au vu des scores qu’ils ont obtenus chacun.
De fait, il y a déjà des citoyens de seconde zone, car les abstentionnistes et les votants blancs et nuls ne sont pas comptés dans les résultats des élections.
« Art. 6. La Loi est l’expression de la volonté générale. Tous les Citoyens ont droit de concourir personnellement, ou par leurs Représentants, à sa formation. Elle doit être la même pour tous, soit qu’elle protège, soit qu’elle punisse. Tous les Citoyens étant égaux à ses yeux sont également admissibles à toutes dignités, places et emplois publics, selon leur capacité, et sans autre distinction que celle de leurs vertus et de leurs talents. »
Nous en sommes à des années-lumière.
sauf que.. les députés ça se change et les lois ça se défait… le peuple en france ne perd le controle que si il le « souhaite « ou consent.
députés godillots ? la faute à qui?
député paresseux ?la faute à qui?
art 6 si vous voulez..
» l’expression de la volonté générale » ..vous sous entendez que toute loi soient votées à la majorité en fait…ou à l’unanimité? que veut dire AU JUSTE volonté générale?
un lynchage d’un innocent est en outre typiquement l’expression de la volonté générale de ceux qui le commettent.. un génocide peut correspondre à la volonté générale..
on va le redire le fait est de plus en plus clair, le peuple français n’est pas attachés ,peut être par ignorance ou manque de réflexion, aux libertés individuelles, vous n’avez jamais plus de vastes mouvements pour les défendre quand sont commises des injustices…peut être la défense de l’enseignement privé naguère..
écoutez il n’y a jamais de façons de se garantir que les autres ne vont pas bafouer vos libertés.. il faut ou bien subir , fuir ou la guerre civile..
la constitution française et en général les institutions sont tout à fait imparfaites, mais sauf à vivre dans un autre pays que moi.. elles nous protègent encore des volontés liberticides d’une partie du peuple que j’estime dépasser la majorité…
votre seul argument face à l’odieuse vérité..et que ce que dit le peuple lui est « imposé ».
ça change quoi quand on est lynché de penser ou savoir que les gens qui vous lynchent ont été trompés?
la conclusion logique de ce que vous dites est de prétendre être convaincu que si les français votaient aujourdhui pour établir une constitution, elle serait PLUS liberale que clle quel’on a…j’en doute.
la « volonté générale » sous reserve du sens que vous donnez à cela qui s’impose pour n’importe quoi, c’est justement la porte ouverte à la tyrannie..
alors comment connaissez vous la volonté générale????
@jacques lemiere
« alors comment connaissez vous la volonté générale ???? »
Tout comme vous je me suis fait mon idée.
En France, il est certes difficile de connaître la « volonté générale » parce qu’elle n’est jamais demandée (et bidouillée, truquée, pipée, lors des élections).
Tout comme il m’arrive de penser à ce que je ferais si j’étais millionnaire, il m’est arrivé de me dire « Si j’étais président… » et ainsi, vu que président est celui qui signe les lois, je mettrais en référendum toutes les lois votées au parlement et de les signer seulement si elles dépassent 51% des voix des citoyens inscrits. Oui, je sais, U T O P I E. Je ne suis toujours pas millionnaire.
pas comme moi! la volonté général de la majorité n’ets pas la volonté générale , l’utilisation du terme général est une duperie un truc de rhétorique..
JE commence mon raisonnement sur le fait que la volonté de la majorité ne DOIT s’imposer en tout.. je la relativise je ne la sacralise pas…
je lui reconnais juste sa suprématie pratique et temporaire ( elle change) dans certains domaines..
et c’est pour ça que j’affirme que toute société qui se veut vivable pour les individus doit se construire sur l’acceptation LARGE d’un certains nombre de valeurs et de principes… parce que la vie en société demande des règles et des garanties de stabilité…
écoutez… j’en ai assez..
on va prendre les choses à l’envers…définissez le terme dicture..et dites nous quelle est selon la façon de faire des lois dans une société et d’ailleur si les lois sont utiles.
la France correspond pas selon moi à une dictature… parce qu’il ya aura un vote..
parce que ce qui importe pour moi dans le terme e dictateur est que celui qui est au pouvoir ne le quitte que si il le souhaite.
si vous estimez que ce qui importe est d’imposer au peuple des choix qui ne correspondent pas à la volonté de la majorité alors toute representation élective a un caractère dictatorial…transitoire..
j’affieme en outre que cette discussion ‘en est pas une.. vous vous souciez peu de cela…
votre objectif est politique vous voulez que macron parte avant la fin de son mandat…
@jacques lemiere
Bonsoir,
« JE commence mon raisonnement sur le fait que la volonté de la majorité ne DOIT s’imposer en tout.. je la relativise je ne la sacralise pas… »
C’est pourquoi l’existence d’une Constitution réside dans le fait de cadrer les pouvoirs, surtout ceux de l’Exécutif et non lui en donner toujours plus et surtout pas la possibilité de piétiner les droits de chacun : « s’imposer en tout ».
L’article 2 de la DDHC est clair et net : toute association politique n’a que pour unique et seul but de conserver les droits fondamentaux de chacun. L’Etat est une association politique ; le Sénat et l’A.N aussi ; la Justice aussi du fait de sa mise sous la coupe de l’Exécutif. De fait, de par l’article de loi de la DDHC qui est un texte de loi en France, nous priver de nos droits leur est interdit, peu importe la raison qu’ils peuvent avancer. Le seul but du gouvernement, de Macron, de l’A.N et du Sénat est de conserver nos droits, et quand une crise survient c’est de faire en sorte qu’ils ne soient pas mis aux oubliettes. ou le moins longtemps possible.
« votre objectif est politique vous voulez que macron parte avant la fin de son mandat… »
Macron n’aurait jamais dû le commencer.
Un dictateur est celui qui impose ses lois aux autres, par la force. Pour cela il lui faut tous les pouvoirs. C’est le cas en France. Oui même celui de faire la Justice quand ça l’arrange.
@jacques lemiere
Bonsoir,
Pour faire simple, la « volonté générale » c’est au minimum 51% du Peuple, et non de leurs seuls représentants. Depuis quand un citoyen non élu a-t-il créé une loi, ou participé à la création d’une ? (le « grand débat national » était une farce et un simulacre de démocratie), J’ai en tête la loi Coluche pour exemple.
« un lynchage d’un innocent est en outre typiquement l’expression de la volonté générale de ceux qui le commettent.. un génocide peut correspondre à la volonté générale. »
« de ceux qui le commettent » exactement, pas de TOUS les autres. Les lynchages, la « justice populaire », se produisent quand les lois voient leurs sanctions ne pas être appliquées par les juges.
Un génocide, d’après l »ONU ne peut être que le fait d’un Etat ou de ce qui s’y apparente. Un Peuple, tout seul comme un seul homme, n’a jamais perpétré de génocide : il a fallu une force étatique, un ou plusieurs pouvoirs derrière (ou s’en donnant les prérogatives).
« la constitution française et en général les institutions sont tout à fait imparfaites, mais sauf à vivre dans un autre pays que moi.. elles nous protègent encore des volontés liberticides d’une partie du peuple que j’estime dépasser la majorité… »
Vous vous trompez, et vous avez écrit le contraire dans un autre commentaire concernant la Constitution qu’il fallait lire pour voir que nos libertés individuelles n’y étaient pas respectées. Ce qui est vrai. Dès lors, la Constitution ne protège de rien du tout, pas plus que les institutions, pas plus que les lois qui sont surtout faites pour contraindre et restreindre nos droits. Si ce n’était pas le cas, il n’y aurait pas 70 Codes de lois. Ces lois sont pour la quasi totalité l’expression de députés, sénateurs, membres du gouvernement qui sont loin de représenter une quelconque majorité c’est pour ce la qu’ils se sont arrangés pour ne pas être tenus pour responsables des lois votées, ni pour les subir eux-mêmes. immunité parlementaire, immunité présidentielle, immunité de l’Etat et autres privilèges.
Aucun Etat ne peut garantir qu’il ne basculera pas dans le totalitarisme. L’Exécutif est le pouvoir le plus à craindre car il a la charge de l’Armée et de la Police (en plus le nôtre fait des lois, et supervise la Justice) c’est la raison pour laquelle est rédigée une Constitution : pour encadrer le champ d’action de l’Exécutif. Donner plus de domaines d’action à l’Exécutif est anticonstitutionnel par essence.
Aucune loi ne protège de quoi que ce soit : une loi est une assurance. Une loi doit sanctionner des actes néfastes, et non pas interdire des actes probables.
« ça change quoi quand on est lynché de penser ou savoir que les gens qui vous lynchent ont été trompés ? »
« Pardonnez-leur car ils ne savent pas ce qu’ils font. »
Ca ne change rien, même si on se nomme Jésus Christ.
Du coup, je vous répondrai : Ca change quoi quand on est violé de penser ou de savoir que le viol est interdit et passible potentiellement de 15 ans de prison (et quand on sait les vraies sanctions appliquées ?) ?
Je réponds alors : « Si Jésus avait eu une arme, il serait encore en vie. » – Homer Simpson.
« la conclusion logique de ce que vous dites est de prétendre être convaincu que si les français votaient aujourd’hui pour établir une constitution, elle serait PLUS libérale que celle que l’on a… j’en doute. »
Celle que nous avons se dit solennellement rattachée à la DDHC de 1789 et pourtant elle n’est pas libérale du tout. Du coup, vous pensez que les français voteraient pour une Constitution donnant les pleins pouvoirs à l’Exécutif ? J’en doute, je suis peut-être optimiste. Tout individus, même les enfants, sont attachés à leurs droits fondamentaux dont celui de la propriété, en particulier ceux qui n’ont cure des propriétés d’autrui sont très près de leurs propres objets. Une salle de classe est l’essence même du « vivreensemble » (donc du socialisme) où un prof peut ordonner à un élève de donner de la colle, un stylo, une feuille à celui qui n’en a pas même et surtout si c’est récurrent. L’élève n’a pas d’autre choix que se défaire de sa propriété, pour un temps plus ou moins long, voire infini, même s’il n’en a pas envie. Là est le truc : les parents achètent du matériel pour leurs enfants, pas pour les enfants des autres, même les parents financièrement en difficulté. L’usage fait que quand on récupère son matériel, on dise : « Merci. » ; cela m’arrive aussi machinalement. Les élèves qui prêtent ou donnent du matériel sont plus libéraux que les autres qui n’ont jamais le leur et qui sont les plus âpres à prêter quoi que ce soit.
Les français ne sont quasiment jamais consultés pour quoique ce soit en dehors des élections. La dernière fois qu’il a été consulté il a répondu NON, et le président de l’Exécutif lui a cagué dessus. (Sarko et son référendum sur la Constitution européenne).
Joyeux Noël à vous et aux vôtres.
51% pourquoi diable alors utiliser le terme volonté générale? en fait 50+e% ou e>0…
ça s’appelle la volonté de la majorité…
majorité exprimée ou majorité réelle.?
qui a le droit de s’exprimer?
« les français ne sont jamais quasiment consultés en dehors des élections… »
par qui?. et sur quoi? et consultés??? signifie quoi sinon de faire connaitre son opinion et non de décider..
S’il faut vous expliquer chaque terme pourtant clair dans le contexte, nous n’en sortirons pas.
Pour la « majorité » c’est simple : 100 – 51 = 49. 49 est plus petit que 51 qui est donc une majorité car le nombre entier est supérieur.
J’ai déjà exprimé mes arguments à toutes vos questions.
ce qui importe est le terme assentiment… ou il faut définir avec soin ce qui relève de la propagande et de « l’interdire ».. constitutionnellement…
c’est une façon de dire ..que l’assentiment du peuple compte pas.. mais qu’il faut tenir compte de ce que les français » veulent vraiment ».. VASTE sujet…
en pratique ça MET la liberté d’expression qui implique le liberté de mentir de tromper mais aussi de se tromper sous contrôle…de qui???
il est interdit de convaincre les gens d’un chose qui n’est pas vraie..
sachant que la politique tranche les opinions et non la vérité…
il sera interdit de discuter quoi…
qui sera l’autorité qui vérifiera que ce n’est pas de la propagande..?
remède TOUT A FAIT similaire au mal.
faisons taire par la force ceux qui s’opposent à la liberté d’expression..
Vous vous déterminez en fait en fonction de la presse…
pour moi macron n’ets pas une boussole qui montre le sud..ce n’est pas un boussole..
pour moi les journaux ne disent pas la vérité.. mais ils ne disent pas des mensonges..
vous me semblez être dans le camp de il faut un autre état..
je suis dans le camp il faut moins d’etat…
Plus généralement, le gouvernement tente de modifier le rapport de force entre le pouvoir législatif et le pouvoir exécutif au seul profit de ce dernier.
Ce n’est pas nouveau. Ca dure en gros depuis 2015 et les lois sur le terrorisme. Le problème est que cela devient systématique. Notamment chez ce gouvernement dont c’est devenu la marque de fabrique. Quoi de plus tentant pour une Macronie qui prend ses députés pour des godillots ? …
Le terrorisme sanitaire n’est qu’une variante…
Le projet a été retiré. Mais la vigilance est de mise: il y aura d’autres tentatives à l’avenir.
@Laurent Lenormand
Bonjour,
Je ne trouve pas de référence à un retrait de ce projet de loi. Le site de l’A.N ne le mentionne pas.
normal les miens aussi, traiter le sujet implique de taper dans des termes modérés automatiquement..
ça rend les tentatives de débat dans les commentaires difficiles..
mais sinon non , je n’ai jamais été modéré sur la durée par exemple… j L’incite quiconque qui pense l’avoir été à le dire..
il ya eu des bannissements…..mais forcement.. juste d’identifiants..
les insultes de leur natures plus versatiles elles peuvent passer sur le moment ,mais sont supprimées..
Que les gens se fassent vacciner point barre et qu’on en parle plus ! On s’en fout de la liberté des gens dans cette situation
question..quel sera le résultat? et pourquoi le résultat justifierait il de façon indiscutable de ne pas laisser les gens juger des risques qu’ils prennent?
En gros le petit peuple ne sait pas évaluer les risques.. ce qui est vrai..sauf que les gens haut placés non plus…
la gestion individuelles des risques n’est JAMAIS rationnelle..tout ce qu’on fait est présente des tas de risques qui sont tranché par les choix arbitraires de la personne par ce que tout le monde n’apportepas la même importance aux même choses.
voyons… si je mets un slip jaune je peux dissimuler mes tache de pipi..
donc jaune devant et marron derrière.. comme ça si je rencontre une belle fille elle ne risquera pas de voir les petits accidents qui RISQUENT ( risque non nul) de se produire. . d’un autre coté , elle RISQUE de penser que j’ai mis ce slip pour dissimuler des non pas un accident are mais un fait usuel chez moi, d’un autre coté je peux avoir la chance que la fille ne pense pas à ce genre de choses, je vais essayer de trouver une études sociologique la dessus et prendre le RISQUE que cette études soit valide prendre le risque que la sociologie des femmes n’pas évoluer depuis cette étude prendre le risque de la représentativité de la population des femmes que je rencontre recouvre bien celles de l’étude.. ah zut…donc pas de sip jaune et marron… ceci dit.. dois je prendre le risque que la femme que je séduise s’apeçoive que c’ets un calcul hypocrite..
« antilibéral par principe » signifie.. « tout doit âtre soumis à autorisation » ou autrement dit je remets tous les choix de mon existence à une autorité qui connait mes véritables besoins et désirs.
illusion de savoir… hubris..
En outre la connaissance du risque de toute action demande d’avoir établi quelles seront les conséquences, soit de connaitre les causes…
Je ne suis aps anti vaccin ou médicament mais il faut rappeler ce qui suit, quand on dit à une personne que se faire vacciner présente peu de risque, on ne lui ment pas ,mais on fait des généralisations reposant des hypothèses..
en général on a testé le truc sur une population est on a constaté x% de couilles..dont les causes sont ignorées…
tout ce qu’on peut dire à une personne ce vaccin a provoqué un nombre faible de problèmes chez ceux qui ont été testés… il arrive qu’on ait observé certaines corrélations et tel sous groupe est associé à un taux plus élevé de couilles..autrement dit chez les types à grandes oreilles avec des chaussures rouges ( si j’avais dit les femmes ou les diabétiques ça choquerait moins mais c’est « pareil »: correlations sur une population) il ya plus de problèmes…..
est ce scandaleux de ne pas dire les choses exactement? Je ne sais pas mais cette « erreur » est tellement usuelle que l’on ne peut pas blamer ceux qui la commette..
nous prend on pour des cobaye? OUI,… pourrait on dire..sauf que il est si difficile d’établir les causes.. que si vous voulez connaitre votre probabilité que le vaccin provoque une couille pour vous serait de la « mesurer »..soit de réussir à vous démultiplier exactement! un très grand nombre de fois..de vous vacciner et voir le nombre de couilles qui se produisent!!
Mais bon, si on accepte pas le risque on ne fait rien… on amis en place des protocoles standards qui n’ont pour seul avantage que de se rassurer sur les effets sur une population et forcement pas à très long terme.
la simple existence d’évalution au long court des médoc.. l’llustre,
Il faut malgré tout dire cette simple vérité aux gens…à la question est ce risqué pour moi..en général la réponse exacte est je ne sais pas, mais ça ne constitue pas un scandale en soi . réussir à déterminer les causes est l’exception pas la règle…
le premier hardi et poussé par la faim mange la cahuète..eh c’est bon…
le second un peu rassuré la goute ..le troisième etc..
au millième ça ne présente pas de risque..
le mille et un unième fait une réaction allergique sévère et meurt..
et on mange des cahuète même quand on est pas poussé par la faim…
quelle est la probabilité de mourir d’une cahuète de gégé? on ne sait pas..
ça n’a pas de sens..c’est un ou zéro. ce n’est pas aléatoire..
il mange mille fois une cahuète il survit mille fois …il mange mille fois des cacahuètes …ben il est mort mille fois..hum…
on sait par contre que si on prend un type au hasard..on aura x% de morts..c’est différent..
@Antilibéral par principe… mais ouvert.
Que ceux qui veulent imposer ce vaccin le fassent en premier.
Au U.K, lors des sessions de vaccination, les vaccinateurs avaient à proximité des kits de réanimation « ressucitation kits » comme ils disent Outre-Manche.
CNN, a juste écrit qu’il ne fallait pas s’alarmer de voir des gens mourir dans les jours suivant les vaccins. « Don’t be alarmed if people start dying after taking the vaccine ».
Une infirmière, vaccinée en direct, est tombée dans les pommes. On peut la voir les mains jointes comme lorsqu’on prie pendant qu’elle reçoit sa dose.
Une personne a reçu une dose de vaccin fantôme. Le vaccinateur lui a planté la seringue qu’il venait d’utiliser sur le sujet précédent. On peut le voir, tchaoupiner la serignue pour faire comme s’il diffusait le produit. On voit que le piston est déjà en bout de course au moment où il plante l’aiguille.
Aux States, il est prévu de faire 2 injections. Il se peut qu’aux vues des problèmes déjà existant, les injectés ne reviennent pas pour la seconde partie.
De ce qu’en a dit le Pr Perrone, les vaccins américains ne contiennent pas de trace du Covid, à l’inverse de tout vaccin. Ce ne sont donc pas des vaccins.
@STF
Il semble que vous répandiez de fausses informations par manque de vérification : l’infirmière dont vous parlez est sans aucun doute Tiffany Dover. Comme vous pouvez le vérifier, elle a expliqué elle-même ne pas mettre en cause le vaccin car elle souffre d’une affection provoquant des malaises en cas de douleur.
Pour les kits de réanimation, il n’y a rien d’exceptionnel à cela : c’est juste une mesure de sécurité en cas d’allergie ou de choc divers. Si vous vaccinez 10 personnes, ya peu de risque d’avoir un souci. Si vous vaccinez 10.000 personnes, le risque est plus grand.
Pour la dose de vaccin fantôme, je vais regarder ce que je trouve mais je ne pars pas très confiant en cette histoire.
@Renouée
Bonsoir,
« Si vous vaccinez 10.000 personnes, le risque est plus grand. »
Macron et sa clique comptent vacciner 67 millions de français. Au UK c’est pareil. Aux States aussi. Le risque est plus grand… il est énorme.
Quand j’ai fait mes classes, je suis passé devant le médecin pour le mix de vaccins obligatoires, dont celui pour la méningite. Le cocktail comprenait 3 vaccins dont celui de la méningite ,j’ai oublié pour les autres. Dans le bureau du commandant médecin, il n’y avait pas de kit de réanimation. Nous étions 80 à passer à la chaîne, et c’était un petit contingent. Le seul d’entre nous à être tombé dans les pommes c’était à cause de l’aiguille… avant que ce ne soit son tour.
A notre entrée au Cours Préparatoire, à 6 ans, nous avons reçu le DT Polio, rite de tous les enfants commencé avant que j’entre en Primaire. J’ai eu mal car j’ai réagi instantanément, mais je ne suis pas tombé dans les vapes. Celui qui nous a piqués à l’époque dans la salle de classe, n’avait pas de kit de résurrection.
L’information que j’ai donnée concernant l’infirmière est qu’elle est tombée dans les pommes juste après le vaccin en direct à la télé. C’est une information tout à fait véridique, vérifiable.
Elle souffre d’une affection, et les ‘metteurs en scène’ ne le savaient pas ? Ils n’ont pas procédé à des vérifications d’antécédents médicaux avant de lui injecter une seringue remplie d’un produit tout neuf ?
Elle est infirmière et fait partie ce ceux qui ont été sacrifié au printemps dernier, comme chez nous. Croyez-vous vraiment qu’elle pouvait dire autre chose ? Qu’elle pouvait dénigrer le vaccin qui lui est obligatoire pour pouvoir travailler ?
Dans ses yeux avant l’injection, il y a de l’inquiétude ; elle ne regarde pas. Elle est infirmière, des seringues elle doit en manipuler tous les jours.
Sur la vidéo après le « show » (parce que c’est un show) elle est devant un micro. Elle parle, ne semble présenter aucune douleur, et commence par vaciller, puis par tomber. Elle ne fait aucun geste de douleur, comme celui d’agripper son bras où elle a reçu l’injection.
C’est un point de vue qui n’est partagé ni par la majorité des Français, ni par la majorité des pays européens, qui se contentent de recommandation vaccinale et non d’obligation.
Pire, en France, où les antivax sont plus nombreux qu’ailleurs, l’obligation risque de les renforcer. Ils sont probablement plus vigoureux qu’ailleurs parce que l’Etat s’y montre plus pressant sur l’obligation vaccinale. Peu-être même y détient-on le record avec nos 11 vaccins obligatoires !
Ajoutons que rendre un vaccin obligatoire pour lequel le recul est faible, c’est un risque que l’Etat ne prendra pas. Pas immédiatement. Trop dangereux sur le plan juridique.
Enfin, le Covid est une maladie dont le taux de létalité est très faible, moins de 1 % en moyenne, et le taux de contagion également faible. On est loin du tetanos (plus de 50 % de létalité) ou de la rougeole (5 fois plus contagieux). Et pour l’instant, on ne sait même pas si le vaccin protège de la contagion, il s’agit donc a priori d’une affaire de protection individuelle…
Si vous connaissiez les intentions réelles des instigateurs de cette fausse pandémie, vous ne feriez pas la promotion de cette vaccination…
Quand vous laissez l’Etat se mêler de tout ne vous plaignez pas qu’il se mêle de votre liberté.
Ce texte contient 2 erreurs (énormités) dès son premier paragraphe. Le texte est rédigé et proposé par le Premier Ministre, membre numéro 2 de l’Exécutif. Celui-ci se définit comme « législateur » dès la deuxième phrase : « Soucieux de réexaminer ce cadre dans un contexte moins contraint, le législateur a prévu dès l’origine sa caducité au 1er avril 2021. »
Ce n’est pas sa première digression à ce sujet.
La contrainte est aussi une gène, clairement. Que toutes les lois qu’il énonce au 3ème paragraphe sont contraignantes !
La phrase suivante assène une vérité édictée sans preuve : « Bien que ce régime ait fait ses preuves ». Où ? Quand ? Comment ? Par rapport à qui/quel(s) pays ? Nous avons parmi les pires résultats du monde avec un système de soins hors de prix : 242 milliards pour le ministère de la Santé, dont plus de 80 pour les seuls hôpitaux publics qui tirent la sonnette d’alarme depuis au moins 30 ans.
Tout le déroulé des événements depuis février 2020, voire janvier, montre que le « régime » a merdoyé sur toute la ligne.
Dès les premières lignes, ce texte est à mettre à la poubelle et à oublier.
« Art. 2. Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l’Homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté, et la résistance à l’oppression. » DDHC 1789.
Ces guignols sont plus nuls que des collégiens à moitié illettrés (d’après les résultats nationaux qui montrent que plus de 50 des élèves de 6ème ne comprennent rien au français, et internationaux, dont le dernier test PIMS) : contrairement aux collégiens, ils n’ont qu’une seule consigne à respecter… et n’y arrivent pas (parce qu’ils n’en ont cure).
« il serait moralement légitime pour une entreprise privée d’accepter ou refuser qui elle souhaite » : absolument pas !
Le gérant du Carrefour Express du coin n’a pas les compétences pour décider. Il n’a pas à connaitre mon carnet de santé. Il a à me vendre des produits pour lesquels je paye, c’est la relation commerçante et ça s’arrête là. Mémé Tromblon qui vient faire ses courses dans ce magasin à 100m de chez elle n’a pas à se soumettre au diktat sanitaire du gérant. Tout comme les employés n’ont pas à se soumettre à une obligation de vaccination pour faire plaisir au patron ni pour faire partie du plan marketing sanitaire de l’entreprise (sauf risques particuliers et définis par la loi ou une solide analyse de risques).
si vous êtes pour la propriété privée ..vous avez tort… le parton de carrefour fait ce qu’il veut chez lui que ce soit raisonnable ou pas ..n’est pas mes affaires..
le patron de carrefour ne vous demandera des preuves de vaccination que si vous voulez échanger avec lui…
si une personne frappe à votre porte avec une machette allez vous lui ouvrir la porte au nom de l’ndignité de lui demander ses intentions ou d’en douter?
alors nous sommes en france, il n’y a pas de garantie de respect de la propritété privée.. donc ne vous inquietez pas…l’etat va forcer carrefour..
Le patron de Carrefour n’est pas chez lui vu que CRF ne lui appartient pas : l’entreprise appartient à ses actionnaires (dont 0,98% aux salariés, 2% à BNP et 64,5% sont publics). Le mandat de M. Bompard n’inclut pas la surveillance de santé des clients, ni l’autorisation de demander/contrôler des données de santé personnelles de ceux-ci.
J’ai parlé de « gérant de magasin » et pas du patron du groupe CRF, c’est pas pareil. Ils sont vendeurs, pas médecin, pas auxiliaires de santé, rien de tout cela. En tant que client, tant que je viens dans son magasin en respectant la loi, en respectant les consignes générales de sécurité, de bienséance, de politesse, etc, il n’a pas à connaitre mon carnet de santé. Permettre une telle intrusion dans ma vie privée (et donc permettre l’influence sur mes choix personnels) est à l’opposé des libertés. Mémé Tromblon qui n’a pas de magasin alternatif dans un rayon de 5km serait à la merci de ce gérant bien qu’elle respecte les lois et les consignes générales.
ok ça ne change pas grand chose..
le fait est MORALEMENT l’accès à carrefour est conditionnées par l’acceptation des propriétaires de carrefour. parce que normalement échanger est un acte consensuel.
votre vision es choses est déformées par le fait qu’en france le droit de propriété et le libre échange sont toujours bafoués.. et vous essayez de justifier une entorse par une autre, ça n’aura pas de fin
le point qui cloche c’est « moralement » pas la légalité..
et il est moralement légitime de laisser entrer qui on veut chez soi, un magasin n’est pas un lieu public..
je ne vous demande pas votre carnet de santé mais si vous voulez coucher avec moi je serais légitiment en droit de demander des garanties..pas content? vous allez voir ailleurs.
vous avez le droit à votre opinion et d’ailleurs que ce soit moral ou pas , vous pouvez gagner.
et qui n’a pas de magasin dans les 5 km eh ben il en fait 6 il en fait 10..il demande à son voisin vacciné de lui faire ses courses, il se les fait livrer ou il crève de faim…
carrefour n’est pas votre maman.
vous prouvez que les français ne sont pas attachés aux libertés!!!parce que parce que ça vous arrange vous bafouez la propriété de carrefour..
de plus , carrefour ne vous demandera pas de sitôt une vaccination pour y rentrer.. vous vous amusez à vous offusquez de trucs imaginaires…
je ne sais pas si cous avez remarqué mais TOUS les magasins se sont battus pour rester ouverts.. lesquels par exemple ont exigé un lavage demain? un masque efficace..je n’en ai vu aucun..
c’est à vous de vous débrouiller pour vous nourrir…
la vie en société implique au moins sur le plan pratique d’avoir un comportement dans la normalité…
Un minorité musulmane perdue au milieu de catholique ne peut pas exiger que les bouchers vendent du halal..ils se démerdent.
quand la majeure partie de la clientèle des magasins voudra du « vaccin », à tort ou à raison on fait pareil…
dans certaines société si vous voulez marier votre fille vous l’excisez!
c’est parce qu’ il ya une forme de normalité arbitraires qu’il y a DES sociétés..
et les lois trouvent leur légitimité dans la normalité..et c’est pour ça que certaines lois constructivistes posent des problèmes;.
on ne peut FORCER les autres à se conformer à nous souhait personnel, on est évidemment libre de défier la société..
et les conditions pour laisser entrer une personne chez moi sont arbitraires..
un commerçant devrait avoir le droit de vendre à qui il veut..et d’étre payer comme il le veut..aussi…
M. Barbier n’a fait qu’émettre une idée personnelle dans le cadre de la liberté d’opinion et d’expression. Rien de condamnable.
@Renouée
« Mémé Tromblon qui n’a pas de magasin alternatif dans un rayon de 5km serait à la merci de ce gérant bien qu’elle respecte les lois et les consignes générales. »
Mémé Tromblon a le devoir de respecter les libertés individuelles d’autrui… dont celle de propriété privée.
Si un gérant de magasin ou le patron d’un groupe n’a pas à connaître votre carnet de santé, l’Etat n’en a pas plus le droit ni la nécessité.
@Renouée
Bonsoir,
Vous êtes trop drôle ! Vous écrivez à la fin de votre post :
« Tout comme les employés n’ont pas à se soumettre à une obligation de vaccination pour faire plaisir au patron ni pour faire partie du plan marketing sanitaire de l’entreprise (sauf risques particuliers et définis par la loi ou une solide analyse de risques). »
Au début : « Le gérant du Carrefour Express du coin n’a pas les compétences pour décider. Il n’a pas à connaitre mon carnet de santé. Il a à me vendre des produits pour lesquels je paye, »
Et donc vous pouvez contaminer les employés vu que leur patron n’a pas le droit de connaître votre « carnet de santé » ? IL ne vous vient même pas à l’esprit que le patron voudrait protéger ses employés en plus de lui-même, voire les autres clients qui les font vivre lui et ses employés. De plus, s’il demandait un « carnet de santé » vous pourriez aller voir ailleurs si l’air est plus sain. Dur ! me diriez-vous actuellement et vous auriez bien raison.
Les « risques particuliers et définis par la loi » C’est exactement le cas depuis le début. C’est pourquoi les restaurants sont fermés, les cinémas aussi, et tous les autres lieux accueillant du public en particulier ceux du domaine privé.
@STF
Je me permets de ne faire qu’une seule réponse pour les 3 que vous faites :
– Si vous voulez critiquer les médecins pour la prudence qu’ils ont en ayant des chariots de réanimation, c’est votre droit. N’étant pas médecin, et vous non plus, reste à voir l’utilité de ces chariots.
– Pour l’infirmière, vous introduisez subrepticement l’idée qu’elle mentirait sur son état sur ordre de sa hiérarchie (ou de l’Etat, bien sûr…) avec la volonté manifeste d’exclure l’explication la plus probable et la plus simple : un choc, ça arrive. J’ai mon père médecin au téléphone à l’instant, il vous salue.
– Pour Carrefour : le patron a l’obligation de prendre soin de la santé de ses employés (ça fait partie de mon métier et je peux vous assurer que s’il n’y avait pas de lois à ce sujet, bien des travailleurs seraient dans des conditions exécrables. Multiples constatations faites sur le terrain en situation réelle). A vous lire, on pourrait croire que le vaccin est 100% efficace et que lui seul, et pas les gestes barrières et le port du masque, ne peuvent être raisonnablement efficaces. Notez le mot « raisonnablement » car force est de constater que vous ne maitrisez pas la notion de « risque ».
J’ai oublié Mémé Tromblon… Le gérant du CRF n’a pas à imposer à cette personne un acte médical pour accéder au magasin. Et quid du choix du vaccin ? Si je vous suis, le gérant doit pouvoir exiger l’un ou l’autre vaccin, le Pfizer plutôt que le Sanofi, ou l’inverse, non ? Une propriétaire d’immeuble avec des appartements en location doit pouvoir exiger de ses locataires une vaccination alors ? Ne nous arrêtons pas en si bon chemin, un test VIH et une expertise psychiatrique pour pouvoir louer un appartement seraient tout aussi acceptables selon vos propres critères. Vous opposez diamétralement propriété privée du magasin et celle du client comme seraient une goutte d’eau et une goutte d’huile. Un client a le droit d’accéder au magasin s’il respecte les lois en vigueur et non telle ou telle exigence exagérée.
Petit exercice de pensée : dans un pays libéral comme vous le souhaitez : quid si un gérant de magasin interdit l’entrée du magasin aux personnes armées ?
@Renouée
Bonsoir,
« dans un pays libéral comme vous le souhaitez : quid si un gérant de magasin interdit l’entrée du magasin aux personnes armées ? »
Simple : les personnes armées font demi tour et cherchent un autre magasin qui ne les refusent pas. (Aux States, ces magasins, endroits, ont un sticker collé à leur entrée sous la forme de la représentation d’une arme à feu au milieu d’un cercle rouge barré. On appelle ces endroits des « gunfree zones ».)
Vous savez, il y a eu un restaurant à Melbourne qui voulait faire payer le prix de leurs plats le double du prix normal à ceux qu’ils considéraient comme « riches » dans la file, au faciès et/ou à la tenue vestimentaire, ainsi ils pouvaient offrir des repas « gratuits » aux pauvres. Ce restaurant a fermé, les « riches » n’y allaient plus. Evidemment, ces derniers ont été désignés coupables de ne pas vouloir participer à la solidarité. (Au départ il était question de ne facturer aucun repas. Mais il faut bien payer le loyer, les salaires, les fournitures, les matières premières, etc…)
« Un client a le droit d’accéder au magasin s’il respecte les lois en vigueur et non telle ou telle exigence exagérée. »
Entrer dans un magasin n’est pas un droit. C’est une autorisation du propriétaire. D’ailleurs, normalement, dans un pays où le droit de propriété est garanti, des clients peuvent être refoulés sur simple envie sans craindre la moindre vexation civile, pénale, ni fiscale. Comme en boîte de nuit, lieu privé, où des videurs ne font pas entrer tout le monde.
Par exemple, il existe en France des magasin réservés aux seuls fonctionnaires, d’autres aux professionnels (tel Métro), donc interdits à Mémé Tromblon même si elle habite le pâté de maison du coin, elle ne pourra pas s’y fournir en quoi que ce soit sans la carte adéquate.
Si une exigence est exagérée, cela se saura et le magasin perdra des clients, de la réputation, du C.A. (exemple du restaurant de Melbourne. IL y en a d’autre. Les américains ont une petite phrase : « Go woke, Go broke. »
« Pour Carrefour : le patron a l’obligation de prendre soin de la santé de ses employés (ça fait partie de mon métier et je peux vous assurer que s’il n’y avait pas de lois à ce sujet, bien des travailleurs seraient dans des conditions exécrables. Multiples constatations faites sur le terrain en situation réelle). »
Dans un pays libéral, ces employés iraient voir chez un concurrent si l’herbe n’y est pas plus verte. C’était ainsi dans les jusqu’à la fin des années 70.
Ces conditions exécrables n’existent que parce qu’il y a un chômage de masse endémique aux pays développés à forte dose de socialisme dont la France est la quintessence. Quand des gouvernements massacrent des pans entiers des secteurs qui créent de l’emploi, ils tuent l’emploi, c’est aussi simple que ça. Le secteur qui créent le plus d’emplois est l’industrie. Ce secteur représente 11% de tous les secteurs en France, en Suisse il y en représente le double.
Du coup, avec les lois, la dose musclée de socialisme en France, ce sont les employeurs qui sont dans des conditions exécrables. Bien sûr, les grands groupes, et cela a été démontré par votre excellent exemple à votre argument détaillant le groupe Carrefour (à 65% détenu par l’Etat), sont copains copains avec l’Etat. Ceci n’est pas du capitalisme.
» Si vous voulez critiquer les médecins pour la prudence qu’ils ont en ayant des chariots de réanimation, c’est votre droit. »
Raté. Je ne critique pas les médecins. A ce que je sache, les vaccinations télévisées ne sont pas faites par des médecins.
« Pour l’infirmière, … »
Raté aussi. Je critique les organisateurs de cette fumisterie, car oui, c’est une fumisterie.
« Un choc ça ararive. » Ce choc est la conséquence de l’injection. Si elle ne l’avait pas eue, elle n’aurait pas eu de choc. Vu son âge, elle a de fortes probabilités que le Covid19 (celui du printemps) ne la rende pas plus malade qu’une grippe. Du coup, pour lui éviter d’être potentiellement malade, il a fallu lui faire mal, qu’elle se sente mal à tomber dans les pommes, tout en ne sachant pas si le « vaccin » est efficace ou non. C’est une fumisterie.
Vu que votre père est médecin, je le salue, demandez-lui son avis sur les résultats publiés par le Pr Raoult et son équipe sur leurs travaux depuis le début de la crise, sur ce qu’ils ont découvert concernant le virus qui circule actuellement, sur les conclusions qu’ils ont faites en cherchant les donneurs d’ordres/financeurs sur les « recherches »/études quant à l’efficacité de l’HCQ vs le reste, et sur l’efficacité de son protocole. Raoult est professeur-chercheur payé par l’Etat pour chercher et enseigner ainsi que pour publier les résultats de ses recherches.