Par Nicolas Lecaussin.
Un article de l’Iref-Europe
On pensait que la terrible crise provoquée par la pandémie au mois de mars avait enfin appris à nos politiques l’humilité et la lucidité. Que face à l’impréparation et à la désorganisation d’un État obèse et impuissant, ils avaient compris que les solutions se trouvaient ailleurs, dans le secteur privé et concurrentiel qui, lui, avait continué à fonctionner normalement.
Malgré le confinement, c’est grâce aux entreprises privées du secteur alimentaire et des communications que la vie s’est maintenue vaille que vaille et qu’on a pu même travailler à distance. L’État a failli au printemps, c’est un constat qui paraissait plutôt partagé par de nombreux analystes et plusieurs politiques.
On réforme rien, on ne change rien !
Mais non. Comme si de rien n’était, on ne réforme rien, on ne change rien. Dans le secteur hospitalier, on accorde des primes mais on ne change pas un système qui, contrairement à ce qui est souvent dit, dispose d’un budget plus élevé que tous les autres pays européens. On ne touche pas à la bureaucratie ou aux 35 heures, principaux coupables des dysfonctionnements. Aucune leçon n’a été tirée de la manière dont l’Allemagne s’en est sortie, par comparaison à la France !
Pire encore, les politiques deviennent de plus en plus « protecteurs ». Ils savent tout et s’occupent de tout à notre place. L’intervention télévisée d’Emmanuel Macron le 14 octobre dernier est symptomatique. Comme d’habitude (une tradition « monarchique » française), il s’invite au journal de 20 heures. Les « journalistes » face à lui ne sont que des ramasseurs de balles. Il dit que nous devons aérer nos logements (!) et décrète le couvre-feu, sans aucun débat, ni avec le Parlement, ni avec les spécialistes.
D’ailleurs, pourquoi n’a-t-il pas créé une Assemblée ou un Grand Débat sur ce sujet ? Très inquiétantes, ces paroles sur les libertés individuelles qui sont passées comme une lettre à la poste : « On s’était habitués à être une société d’individus libres. Mais nous sommes une nation de citoyens solidaires. »
Non, nous sommes et nous serons toujours une société d’individus libres. Ce n’est pas à l’État de décider à notre place et la solidarité ne se décrète pas. C’est la responsabilité qu’il faut encourager.
Macron aurait du lire (et combien de médias en ont parlé en France ?) La Déclaration de Great Barrington
Plus de 10 500 scientifiques et plus de 29000 médecins ont signé ce texte dans lequel ils déclarent :
« Inquiets des impacts physiques et mentaux causés par les politiques actuelles contre le Covid-19 [et] nous recommandons une approche alternative que nous appelons Protection focalisée (Focused Protection). »
Ils plaident pour plus de lucidité, pour une vie normale, contre le confinement ou des mesures excessivement restrictives :
« Conserver ces mesures en attendant qu’un vaccin soit disponible causera des dégâts irréparables. Les couches sociales les moins favorisées seront les plus touchées.[…]Heureusement, notre compréhension du virus s’améliore. Nous savons que la vulnérabilité à la mort par le Covid-19 est plus de mille fois plus haute parmi les personnes âgées et atteints de certaines maladies que chez les jeunes. En effet, pour les enfants, le Covid-19 est moins dangereux que bien d’autres maux, y compris la grippe. »
Il faut protéger les plus vulnérables mais la vie doit continuer normalement. Pourquoi instaurer un couvre-feu à 21 heures qui ne sera de toute façon pas respecté, alors que l’on se bousculera le lendemain dans le métro, les bus, les tramways ? À quoi sert de sonner la fin des repas au restaurant à 21 heures, s’il remplace celui qu’on aurait pu prendre au même endroit deux heures plus tard ou si le déjeuner du lendemain peut durer toute l’après-midi ?
Nous déresponsabiliser, les politiques savent faire. Comprendre que cela nous exaspère à juste titre, c’est au-delà de leurs capacités cognitives, Ils ne sont pas formatés pour comprendre qu’ils n’ont rien compris, et cela risque de nous coûter très cher.
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Il était clair dès cet été, non seulement que l’Etat n’avait « rien compris », mais qu’il faisait tout pour que le scénario catastrophe du printemps se répète: bidouillage répété des indicateurs, martelage par les médias officiels sur le thème de « la deuxième vague » alors même que les hôpitaux étaient vides.
On peut avancer deux types de explication:
1/ Les dirigeants trouvent dans cette situation l’occasion rêvée d’accroître leur emprise sur la société et de museler toute forme d’opposition.
2/ Trop de gens ont beaucoup à perdre à reconnaître les échecs passés : le manque de matériel de protection au plus fort de l’épidémie, l’interdiction du protocole Raoult, les forts soupçons de corruption, l’alignement total des médias… L’Etat ne voit pas d’autre solution pour s’en sortir que de rester bloqué sur son récit de départ.
alors il avait compris des trucs..
si vous aviez l’occasion de juger le gouvernement
que pourriez vous lui reprocher sinon un abus sinon un dévoiement du concept d’interêt général?
mentir? rien ça cirer , vous avez par exemple l’argumetn éviter le panique ou autre….incompétence ..sans blague?
vous pourriez faire un tel procès, pour l’ed nat, le logement et désormais l’alimentaire…à peu près TOUT de ce dont se mêle le gouvernement de façon indue.
mais jetez un oeil dehors mors de la plupart des « manifestations ».. vous verrez des foules qui crient état sauve moi…
néanmoins, il ya de l’espoir avec cette crise..
car des gens commencent à réaliser et à dire état bas les pattes.. en général ce n’etait pas « bas les taxes » mais « taxe les autre »..peut être donc…
«Â
demandez aux gens qui approuve l’actionde l’etat.
mais c’est quoi le but au juste de l’action de l’état..
le seul truc concret fut éviter l’engorgement des urgences à n’imprte quel prix… sinon…
et quand on y réfléchit c’est FORT curieux..ce n’est pas sauver les gens …
3/ Une dérive autoritaire inutile (et délétère) découlant de décennies de gestion étatique de notre système hospitalier. La comparaison avec l’Allemagne est insupportable.
comment ? mais le but est l’egalitarisme…ce n ‘est même pas d’etre bien soignés qui importe pour un égalitaristes c’est qu’on soit tous soignés pareillement !!!! si personne n’est soigné c’est AUSSI le paradis égalitariste..
incomparable en effet…
et rappelons pas de liberté individuelle, pas de marché, pas de concurrence , pas de prix et le problème du collectiviste est ..et combien on dépense pour la santé ? 10% de la richesse du pays? 20? 30 40? 200%?
La comparaison avec l’Allemagne est insupportable, certes, mais elle devrait aussi être instructive pour nos politiciens pour qu’ils révisent un peu leurs injonctions stupides. Or on dit qu’il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis! De la à conclure que nos politiciens en sont…. il n’y a qu’un « petit » pas que l’on ne doit pas hésiter à franchir!
On dit aussi que les cons, ça ose tout, et que c’est même à ça qu’on les reconnait. Et il faut reconnaître que depuis le début de l’année, on a beaucoup osé en France…
Les merdes volent en escadrille.
J. Chirac.
ah….si vous avez affaire à un idéologue ce qu’il voit est non « probant »..
et en france la majorité des gens pensent que en matière de santé ou d’education l’etat doit agir…
pourquoi? ben parce que..euh… pensez aux pauvres..
 » macron aurait du lire la déclaration …. » il n’a pas le temps , il est bien trop occupé à faire des déclarations sur tout et sur rien , à parler pour ne rien dire , à faire croire aux français qu’il est le seul à les sortir de la mouise ou il les enfonce chaque jour ; ce type est nul ;
des extraits de cette déclarations donnés ici..on ne tire pas grand chose..
que les vieux soient ceux touchés; littéralement on le savait en mars…il faudra bientôt préciser l’année je présume.
la létalité n’est pas un argument en soi..
le bilan est population touchée létalité…
le véritable problème à mon opinion est qu’on a mis en place des mesures pour au mieux RALENTIR l’epidémie, et ce à un cout très élevé..
ce qui revient , en terme global , à dire sacrifier un part importante de la création de richesse pour gagner quelques mois d’esprance de vie…
c’est idiot…
Les mesures ne visent pas spécialement à ralentir l’épidémie, c’est un effet secondaire. Elles visent à éviter que les citoyens se rendent compte que ce sont leurs actions et leur responsabilités individuelles, librement décidées, qui pourraient leur permettre de la juguler. Parce que s’ils s’en rendaient compte, alors l’état serait en mauvaise posture et que cela il le sait très bien.
désormais on peut se poser la question je suis d’accord…mais on en restera au procès d’intention..
c’est plus qu’idiot à ce niveau, c’est une faute impardonnable. Et on sait aujourd’hui que l’espérance de vie reculera cause dégâts « collatéraux ». Désastreux.
Il ne peut pas en lire et en faire « en même temps »! Le cerveau humain ( même le sien que l’on dit exceptionnel) ne peut traiter correctement qu’une action à la fois, tous les neurologues nous le disent!
Ce gros naze est déjà en campagne électorale.
Macron a été installé au pouvoir pour rabaisser la France au niveau de la Grèce de 2012. On verra ce que ces rouscailleurs de français diront lorsqu’ils iront quémander 50 euros par semaine à la banque qui garde leurs économies.
Nous sommes tombés dans un engrenage où plus de protection, donc de dépenses de l’état, entrainent plus de dépenses pour plus de protection. Ce biais, que nos dirigeants sont incapables de comprendre nous conduit inévitablement à la faillite de la France.
Oh, bien sûr, c’est un mouvement lent, tout en douceur, dont bien peu s’aperçoivent, mais c’est inexorable. La dette a fait un saut immense à l’occasion de cette pandémie, et elle continuera à croitre: il faudra bien aider ces gens qui n’ont plus de travail pour s’entretenir eux-mêmes, qui n’ont plus la foi pour entreprendre (ou, s’ils l’ont, partent vers d’autres horizons), aggravant ainsi notre état de déliquescence et de subordination au reste du monde.
Nous vivons, en fait, dans une royauté où seuls comptent le Roi et sa cours, et les beaux discours amusent le peuple.
Oui, mais ils ne sont pas incapables de comprendre. Et ce n’en est que pire.
Eh oui, la grenouille française est dans la casserole, sur le feu, et la température de l’eau monte inexorablement! CPEF
Quand on sait que le Coordinateur de la stratégie de dépistage COVID-19 au Ministère de la Santé est un agrégé de philsophie???????issu de l’ENS et IEP cela questionne surtout au vu de la pagaille qu’est le dépistage tous azimuts sans ciblage et des délais que cela occasionne.
A mettre en comparaison une fois de plus avec l’Allemagne ou il y a un jeune virologue qui conseille Merkel,de 30 ans de moins que Delfraissy ainsi que l’Institut R.Koch indépendant .
Ce monsieur a été auditionné au Sénat sans que personne ne s’inquiète de son parcours qui l’a amené à ce poste?
Pourquoi voulez vous qu’ils changent? Bien trop vaniteux, bien trop orgueilleux tous ces franc- maçons…..politiques et ‘’ hauts fonctionnaires qui dirigent en sous main’’ dont le seul interêt est de trompé le peuple sous des très beaux habits paternalistes: n’ayez pas peur …..on vous met la tête sous l’eau…on vous demande juste de ne pas vous révolter !
S’ils avaient compris quelque chose, les équipes en charge du dossier auraient été largement renouvelées…
Les électeurs et les abstentionnistes sont responsables d’avoir choisi un Président qui n’est pas à la hauteur de la fonction pour laquelle il a postulé. Nous avons donc eu le Président que nous avons mérité mais les responsables sont aussi les médias subventionnés qui ont mal influencé des électeurs trop faciles à tromper.
« Nous avons donc eu le Président que nous avons mérité  »
Ceux qui l’ont « mérité » sont ceux qui ont voté pour lui, pas les abstentionnistes dégoûtés du jeu politique, ni les votes blancs (jamais pris en compte) refusant « les non choix » qui leur étaient proposés. Macron élu par moins de 20% des inscrits, ça devrait quand même faire réfléchir les « électeurs » non?
Vingt millions de voix, ça ne fait pas 20 % mais le double.
Sur France TV infos:
« Un président choisi par seulement 44% des inscrits » sauf que dans ces 44% il y a aussi un très large pourcentage de voix qui se sont reportées sur Macron pour ne pas avoir Le Pen. (et aussi des indécis du vote blanc qui se sont motivés pour la même raison).
Et selon Médiapart:
« 8 français sur 10 n’ont pas voté pour Macron: »
Donc au mieux, 20% des inscrits CQFD
On s’en fout, ils ont voté pour ce charlot.
Bien sûr, mais 20% ou même 40% ça ne fait pas une majorité!
analyse de MEDIAPART:
https://blogs.mediapart.fr/clab/blog/080517/8-francais-sur-10-n-ont-pas-vote-pour-macron-une-autre-analyse-des-resultats
La grande entourloupe de l’été fut de passer du nombre de personnes en réanimation ou décédées au nombre de cas.
Lesdits « cas » étant donné par une RT-PCR poussée au taquet qui doit donner environ 50% de faux positifs ou du moins de gens très peu contagieux et pas malades du tout.
En oubliant complètement qu’une épidémie s’arrête d’elle-même quand suffisamment de gens ont été contaminés (mais encore une fois ne sont pas malades). Dans un certaine mesure, que le virus circule (à condition de ne pas trop circuler parmi les personnes à risque -celles-là font, en général, plus attention-) est une excellente nouvelle.
Totalement d’accord. Entourloupe qui passe totalement inaperçue, j’hallucine quand j’entends les gens « normaux » parler. Aucun (ou si peu) pour remettre en cause la doxa.
La liberté a forcément des limites ce que vous contestez.
La santé est un secteur non marchand sinon le marché régulerait avec les prix.
Est ce que cette régulation permettrait de réduire la demande en lit de réanimation ? Pensez vous que des prix de plus en plus cher, réduirait la transmission du virus ?
Et bien non !
Comment réguler cela ? J’attends votre réponse (non utopiste)
La régulation du marché impose au pauvre de ne pas consommer, qu’elle est alors la liberté. J’envie ce que tu as donc je m’en empare même s’il faut tuer ?
« La santé est un secteur non marchand  »
Ah bon! Et le lobbying des labos pharmaceutiques n’existe pas peut-être? Ils le font sans doute pour la gloire et non par appétit financier? En poussant leurs productions même si elles sont inefficaces où inappropriées à combattre ce virus?
Et alors ?
Ils ne sont en rien responsable du massacre de l’économie qui n’est pas dans leur intérêt ni dans leur pouvoir de décider, par contre ils produisent les médicaments qui sauvent des gens dans les hôpitaux étatisés qui n’ont plus de lits de réanimation et plus de personnel six mois après le début de l’épidémie dans un pays recordman mondial de la fiscalité et de la dépense.
« ils produisent les médicaments qui sauvent des gens dans les hôpitaux étatisés »
Bien évidemment, je n’ai jamais dit le contraire. Sauf que certains labos ( pas tous heureusement) sont plutôt adeptes du capitalisme de connivence, même s’il produisent ( quand même) des remèdes efficaces. A mon humble avis, dans un secteur marchand, une entreprise produit des biens utiles aux clients qui expriment un besoin, biens qu’ils sont prêts à acquérir par une juste rémunération. Il y a donc bien un marché de la santé, même si cette vision dérange certains et même si ce marché, comme toute création humaine, peut être entaché d’imperfections!
Une régulation honnête et efficiente par le marché libre est infiniment préférable à une régulation arbitraire et injuste par des fonctionnaires incompétents et irresponsables, coupables de la plus grave perte de chance pour les malades qu’on puisse imaginer. C’est d’ailleurs très précisément ce qu’on a pu observer en France lors de l’épidémie de covid. Cette dernière a mis en évidence l’échec ahurissant du système public collectiviste qui se prétendait le meilleur au monde.
Il convient désormais de se débarrasser de la relique franchouillarde du marxisme sanitaire criminel. Tout système collectiviste finissant inéluctablement par s’effondrer, ce sont des millions de morts évitables qu’il faudra alors déplorer durant les années de transition anarchique entre un système public en faillite totale et un système enfin robuste et juste, c’est-à -dire privé et concurrentiel.
En la matière, les deux options politiques sont simples. On peut choisir de laisser pourrir la situation et d’attendre la catastrophe finale, en collant de temps en temps des rustines (des milliards de dette) pour gagner du temps. C’est le choix borné, obstiné, de l’administration, du gouvernement actuel et de ses prédécesseurs depuis des dizaines d’années. Ou bien on peut choisir de sauver la santé en France en réformant de manière ordonnée, en accompagnant la privatisation progressive de l’ensemble du système de santé, en moins de 5 ans.
Enfin, ne pas confondre la santé et son assurance. L’assurance santé relève évidemment un marché, sans aucun doute possible.
Abolition sans délai ni regret de la SS.
Vous vous habillez chez OSER ?
On a répondu 100 fois à ce genre de salade.
Le monopole de la santé par l’état entraine mauvaise qualité, explosion des coûts, et pénurie. C’est ce qu’on constate en France.
La santé est un marché comme les autres.
Il y a 50 ans, c’était la même chose pour le transport aérien, les charters étaient critiqué pour la sécurité. Au final les low cost ont de meilleurs résultats en terme de sécurité, et en terme de coût.
Actuellement le système de santé est gelé, il n’y a pas de concurrence, pas de gain de productivité, en un mot, une rente illégitime.
Faut-il bac+10 pour prescrire la pilule? Alors qu’elle devrait être en vente libre chez Leclerc.
la santé n’ets pas un secteur marchand..seulement si on l’y en empêche..
les pauvres..charité.. ce qui permet d’ailleurs d’aider plus ceux que l’on trouve méritants et qui n’enlever pas la motivation pour créer de la richesse..
en effet il n’y a pas de formule magique pour determiner un nombre de lits en réa..COMME ON LE CONSTATE à chaque épidémie de grippe dans ce système non privé ..mais on aurait une adaptation plus rapide.. justement l’attrait du profit en remplissant un besoin pressant..
vous voulez planifier le non panifiable, maintenir une forte capacité d’adaptation est préférable.. les chinois ont construit des hôpitaux d’urgences dédiés..
la privatisation permet la concurrence des solutions, la pluralité des scénarii prévus..le centralisme choisit une voie..et doit regarder par dessus la frontière pour savoir si ça ne déconne pas trop..
UNE REMARQUE…chaque année des tas de gens , une majorité, votent pour le maintien d’un secteur de santé collectiviste..c’est donc qu’ils sont prêts à mettre en place un système collectiviste..chacun paye selon ses moyens…
le grand mystère et la grande hypocisie..je suis collectiviste signifie en fait je veux avoir la main sur l’argent des autres..
un système de santé collectivisé a UN atout …un état peut le maintenir à flot tant qu’il trouve de l’argent quelque part..
@vVDB
Peut-être pourriez vous être plus clair dans ce commentaire ! Ne pas mélanger soin et transmission, régulation par l’état et le marché, définir le « périmètre » de la limitation de liberté …
Et comment l’Allemagne s’en sort-elle aujourd’hui ?
Il manque cette comparaison concrète, au bout de la phrase : « Aucune leçon n’a été tirée de la manière dont l’Allemagne s’en est sortie, par comparaison à la France ! »
Chacun a une haute vision de lui-même, se pense le meilleur, le plus indispensable, le plus prioritaire. Et justifie ses actes en fonction de l’image qu’il a de lui-même.
Le problème avec les Enarques est qu’ils recherchent le pouvoir avec le prétexte de servir la nation et qu’ils se conforment à leur propre désir de pouvoir avant toute considération du service réel qu’ils fournissent à la nation. Ils peuvent se satisfaire d’échouer dans tout ce qu’ils entreprennent tant qu’ils exercent et conservent le pouvoir.
S’arranger avec sa propre conscience est relativement facile – surtout quand on n’en a pas.
Excellent, tout est dit.
Le lien vers la déclaration de Great Barrington, signée par plus de 40.000 professionnels de santé et 550.000 citoyens : https://gbdeclaration.org/
Il faut un certain cynisme pour défendre l’immunité collective alors que le système français de santé n’est pas dimensionné pour permettre de l’atteindre sans dégâts collatéraux majeurs.
A titre d’exemples, les résidences pour personnes âgées devraient être dotées de personnel qui a acquis l’immunité…
Yaka. Ca serait rigolo d’être aussi éloigné des réalités françaises si ça n’était pas tant d’existences qui étaient en jeu.
Il faudra le répéter combien de fois? On ne défend pas l’immunité collective, ni le stay-at-home ou le port du masque. On est sur un site libéral. On est contre une politique sanitaire de l’état, que l’état s’occupe du régalien, et les médecins libéraux s’occupent de leur malades.
C’est pas compliqué comme position.
La réponse est in-di-vi-du-elle.
Ben la réponse individuelle est de sortir ses « vieux » des établissements incapables de ne pas les contaminer …
(Et de sortir le gouvernement incapable de ne pas les contaminer).
Je vote pour sortir le gouvernement :).
Sortir les vieux, et désorganiser l’économie à coups de congés « parent malade » ?
Ne rien faire.
C’est pas compliqué à comprendre.
On voit bien des pays confinent, d’autre pas, au final on arrive à 1mort/1000 habitants. Sauf les pays isolés. Sauf les pays non dysfonctionnels. Sauf les pays avec peu de vieux.
Ne rien faire, et laisser les patients mourir sur le trottoir quand les urgences seront saturées ? Même si ça peut être objectivement la moins mauvaise solution, vous ne le ferez jamais croire à la majorité des Français, et vous discréditerez à jamais ceux qui auront défendu cela.
« les patients mourir sur le trottoir »
Arguments des étatistes pure sucre. Sans l’état plus de soins.
Ah Ah Ah!
Trouvez autre chose comme argument, qqchose de plus consistant.
Hôpitaux publics + cliniques ne peuvent suffire si vous laissez l’épidémie se développer sans frein. Si vous avez un calcul qui prouve le contraire, je vous en prie, montrez-le. Sinon, c’est particulièrement désagréable de voir les arguments de simple calcul attribués à une opinion politique attribuée à tort à celui qui les exprime.
Ecoutez, vous connaissez les arguments des libéraux.
Les libéraux n’ont jamais promis un monde parfait, juste une meilleure allocation des ressources (toujours limitées), les socialistes promettent LA bonne politique, quoiqu’il en coûte. Il suffit de prendre la bonne décision.
Cela n’existe pas. Il n’existe pas de bonne politique. Il n’y a pas de BON calcul.
Oui, mais si je ne peux qu’être d’accord avec vous quand on évoque un avenir assez lointain, la situation est ce qu’elle est, et requiert des choix à court-terme qui ne doivent pas compromettre les grands principes libéraux, mais ne pas non plus s’illusionner sur ce qui est pratiquement réalisable dans l’immédiat. Prenons le département de la Manche, celui où j’avais en 3e un excellent copain Gilou devenu pneumologue auquel votre pseudo me fait penser, ce qui calme mes colères. Environ 500000 habitants, donc 300 morts à attendre au taux suédois, et on en est à 60, ce qui fait environ 1000 patients encore à accueillir et soigner, en plus du flux habituel, dans les hôpitaux (et cliniques, en supposant qu’on parvienne à y avoir recours). Eh bien, allez-y, comment me convaincre que mes amis manchots ne seront pas triés sur le trottoir si on laisse l’épidémie se développer sans frein ?
Alors, je ne crois pas au couvre-feu, ni à beaucoup d’autres mesures étatiques, mais je crois que le libéralisme ne peut passer que s’il propose des choix qui vont plus loin que la simple contradiction des mesures étatiques, et qui font avancer sur la route de la responsabilisation individuelle avant un laisser-faire qui est compris par beaucoup comme laissez moi faire ce qui m’arrange, même si c’est au détriment du reste de la population.
oui il ya eu beaucoup de critiques..et c’est normal d’ailleurs..
mais comme il est difficile de fixer UN but, on voit mal comment on pourrait déterminer une approche..
fatalisme je crois bien et compter sur la débrouille pour augmenter les capacités en réa…
dieu merci ça fait maintenant plusieurs mois et donc…ah ben non…
La déclaration de Great Barrington ne défend pas l’immunité collective ? Vous, je veux bien, mais l’auteur et grand nombre de commentateurs laissent entendre que c’est inéluctable, et que c’est cela qui rend le couvre-feu idiot. Le couvre-feu est idiot sans faire appel à l’immunité collective pour le condamner, et l’immunité collective n’est pas une solution. Je crois que là -dessus, nous sommes d’accord, vous et moi. Mais ça n’est pas en se contentant de condamner l’état qu’on va progresser dans ce sens, parce que la première réaction de bien d’autres lecteurs à la condamnation du couvre-feu est d’y voir l’apologie de l’immunité collective…
quelle serait ta stratégie michel? en vue de quel objectif?
En gros, ma stratégie serait de faire craindre aux gens non pas d’être contaminé, mais d’être responsable de la contamination d’autrui. Est-ce que vilipender les contaminateurs dans les médias suffirait (et couvrir de louanges ceux qui font leur maximum pour ne pas contaminer), je ne sais pas, mais au moins il faudrait essayer. Ce serait aussi de discréditer clairement l’idée que l’immunité collective serait envisageable, non pas par principe, mais en raison de la situation pratique dont nous avons hérité. L’objectif serait d’atteindre et de conserver, pendant quelques années jusqu’à vaccin ou mutation du virus, une situation à l’orientale, où les foyers soient détectés très tôt, isolés dès la suspicion, et circonscrits sans trop de difficulté.
La différence majeure est que l’Etat ne serait pas là pour protéger le citoyen, mais pour le sensibiliser et l’aider à ne pas nuire aux autres citoyens, afin que juste retour des choses on ne lui nuise pas non plus. Ce serait une réduction très nette du rôle de l’Etat, d’ailleurs.
Vous prêchez une cause perdue. Les dispositifs de confinement soft ou hard n’ont strictement aucun effet sanitaire, voire sont contre-productifs. Pas une seule vie n’a été épargnée par ces politiques. Le virus est trop malin, le sujet est trop complexe pour ces abrutis de politiciens et d’énarques à la pensée bornée.
Quelles que soient les agitations politiciennes, on finira par atteindre une forme d’immunité collective, ou bien le virus disparaîtra naturellement, ou un peu des deux, et ceux qui devaient mourir entre temps seront morts sans qu’on n’y puisse rien. Au contraire, des vies ont été inutilement sacrifiées à cause de décisions politiques. Au moins 20000 morts évitables en France, notamment parce que l’hôpital est public, parce que la SS est un monopole et parce que le politique a un pouvoir de décision sur notre santé.
D’ailleurs, vous le savez bien puisque l’Etat a délibérément sacrifié les ehpad au début de l’épidémie, notamment par privation d’HCQ, de masques et de tests. Ils sont même allés jusqu’à nier les morts dans les ehpad, avant de se rétracter.
L’agitation sanitaire politicienne est non seulement vaine, mais elle tue encore plus sûrement qu’un virus.
« personnel qui a acquis l’immunité »
Mesure extrême mais qui aurait un sens.
Je serais curieux de savoir si on l’a suggéré a Jupiter et pourquoi il préfère d’autres mesures qui n’ont aucune chance d’être efficaces.
Personne en France n’a officiellement acquis l’immunité. Les tests sérologiques ne sont pas homologués, et de toute façon le fichier des patients testés est organisé de telle manière que tout résultat de test pour un patient ayant déjà été positif est écarté, qu’il soit positif ou négatif. Le fichier ne conserve qu’un seul test par patient : son premier test, qui est éventuellement remplacé par son premier test positif si le patient était négatif auparavant.
Depuis Napoléon, la France court après l’Allemagne avec les résultats lamentables qu’on connaît.
« Il dit que nous devons aérer nos logements (!) et décrète le couvre-feu, sans aucun débat, ni avec le Parlement, ni avec les spécialistes. »
Tiens ! Il dit d’aérer maintenant ?
C’est bien la preuve qu’il discute avec des spécialistes. Le fait qu’il comprenne ou que les spécialistes ont raison est une autre question.
Mais surtout ce qu’il ne comprend pas, c’est que diffuser la pensée magique : « vous pouvez (devez) faire ça et pas ça », est contre-productif. La propagation se fait par étroite proximité. Vous collez A, B, C ensemble puis vous recollez chacun à un autre groupe est bien pire que laisser chacun à distance raisonnable (La cible diminue avec le carré (projections) ou le cube (aérosols) de la distance). Le couvre-feu est encore une nouvelle façon de grouper / dégrouper / regrouper différemment, qui va propager le virus.
Quant-à aérer, vous n’y pensez pas Mr le Président ! Et l’augmentation du chauffage et du CO2 ?
« The most compassionate approach that balances the risks and benefits of reaching herd immunity, is to allow those who are at minimal risk of death to live their lives normally to build up immunity to the virus through natural infection, while better protecting those who are at highest risk. We call this Focused Protection.  » Extrait de la déclaration de Great Barrington à l’initiative de sommités mondiales en épidémiologie. Pour signer : https://gbdeclaration.org/#sign
Voir ce que j’écris plus haut quant à l’immunité collective.
La déclaration de Great Barrington présente la faiblesse d’un optimisme démesuré et de moyens hypothétiques et sous-estimés.
Protéger les personnes à risque devrait commencer par les EHPAD avec des mesures fortes afin de montrer qu’on est capable d’agir et sortir les « mouroirs » des statistiques.
le gouvernement est ocnseillé par des mandarins d ela santé toutes les professions d e snaté s’enrichissent avec le covid et bavent à l’idée du vaccin généralisé
Ceux qui bavent, ce sont d’abord ceux qui ne comprennent pas qu’il faut fournir quelque chose en échange pour s’enrichir et qui voudraient juste avoir pour eux sans effort ce que les autres ont créé. Il y a deux manières d’éliminer les toxines : suer en se donnant de la peine, et baver de jalousie en regardant ceux qui suent. Nous n’avons manifestement pas fait le même choix, vous et moi.
« n’aurait-elle pas un intérêt à ce que les économies occidentale s’écroulent? »
—
Chaque yen de richesse coulant en Chine arrivant de nos économies occidentale, ce « complot » est aussi crédible que les chemtrail, la terre plate ou Elvis caché dans le trou du pole nord.