Californie : pas de vent, pas de soleil, pas d’électricité !

Le 14 août 2020 en fin d’après-midi, un « blackout » a privé plus de 2 millions de Californiens d’électricité (500 000 foyers) durant plusieurs heures.

Partager sur:
Sauvegarder cet article
Aimer cet article 0
Photo by Vitto Sommella on Unsplash

La liberté d’expression n’est pas gratuite!

Mais déductible à 66% des impôts

N’oubliez pas de faire un don !

Faire un don

Californie : pas de vent, pas de soleil, pas d’électricité !

Publié le 23 août 2020
- A +

Par Michel Gay.

La Californie découvre les joies de la production intermittente d’électricité des éoliennes et des panneaux photovoltaïques (PV) en inaugurant quatre jours consécutifs de coupures tournantes d’électricité.

Les centrales à gaz, bien que fonctionnant à plein régime (un comble pour un État qui se veut green), ne suffisent plus pour répondre aux besoins de la climatisation vitale par des températures élevées dépassant largement les 40°C.

La Californie, premier exemple

Le 14 août 2020 en fin d’après-midi, un blackout a privé d’électricité plus de deux millions d’habitants de Californie (500 000 foyers) durant plusieurs heures.

Cette coupure d’électricité est liée à la double défaillance des énergies renouvelables (coucher du soleil et absence de vent) représentant aujourd’hui seulement près du tiers de la production d’électricité en Californie.

Que serait-il arrivé si l’État le plus peuplé des États-Unis avait produit la moitié voire la totalité de son énergie à partie de ces énergies intermittentes ?

De nombreux experts alertent depuis des années sur le risque de dépasser le seuil de 30 % d’énergies renouvelables dans le mix énergétique sans prévoir en double des unités pilotables généralement au gaz capables de prendre le relais.

La climatisation, mais pas seulement

Certes, la climatisation est en cause, mais en Californie, c’est un besoin et non un luxe !

La canicule européenne de 2003, moins sévère qu’en Californie, avait provoqué 18 000 morts supplémentaires en France.

Mais trois autres facteurs sont aussi à l’œuvre dans ce désastre :

1) Une baisse de 25 % des importations des États voisins, eux aussi soumis aux fortes chaleurs et ayant besoin de leur propre production d’électricité. Ce qui montre la fragilité des plans d’alimentation comptant massivement sur les importations des voisins. Cette démonstration par l’absurde s’applique aussi aux échanges intra-européens lors des pointes de consommation hivernales.

2) Le solaire photovoltaïque sensé produire en phase avec les besoins de climatisation (cas rare des énergies intermittentes) montre ses faiblesses : les manques de production ont concerné la plage horaire entre 15 h 00 et 22 h 00. Or, compte tenu de la latitude de la Californie, la production des photovoltaïques baisse rapidement à partir de 16 h 00 solaires. Le photovoltaïque n’a donc été d’aucune utilité entre 18 h 00 et 22 h 00, soit durant 4 heures !

3) La chute de la production éolienne prouve ses faiblesses une fois de plus, s’il en était besoin, et son absence de corrélation naturelle avec les besoins.

Tout cela pourrait être une belle leçon pour les responsables politiques de la plupart des pays européens qui soutiennent ces énergies renouvelables intermittentes et qui préparent une catastrophe généralisée en Europe. Mais ces derniers, confits dans leur idéologie et l’attention focalisée sur leur élection (ou réélection), sont-ils capables d’en avoir conscience ?

L’avenir radieux vers lequel nous marchons…

La production d’électricité décarbonée n’est pourtant pas un problème en s’appuyant correctement sur la technologie, et notamment sur… le nucléaire.

L’usage de l’électricité qui apporte bien-être, confort et qui sauve des vies ne doit pas être stigmatisé.

Si les politiciens californiens n’avaient pas opéré de mauvais choix de programmation énergétique cette situation ubuesque ne se produirait pas. Le seul problème est là.

Une grande centrale nucléaire produit à profusion en Arizona, l’État voisin, mais au cri de « il y a toujours du vent quelque part » et de « on pourra toujours importer de chez les voisins » (qui sont évidemment en général soumis aux mêmes aléas météorologiques)… la sortie de route était prévisible (comme en Europe).

En Californie… en France et en Europe ?

Du 1er août au 15 août, le facteur de charge de l’éolien en France a été de seulement 10 %…

En Allemagne et en France, des absences de vent peuvent succéder à des vents forts ne correspondant pas aux besoins. Ces situations provoquent des périodes de prix négatifs pour écouler de force cette électricité subventionnée par les impôts des contribuables (voir les deux graphiques en annexe).

L’Allemagne a autant de puissance installée éolienne (61 790 mégawatts -MW-) que le nucléaire en France, mais sa production est tombée à 139 MW le 8 août à 10 h 15.

Pour pallier cette intermittence, ce pays possède un double parc de production électrique utilisant toujours le charbon et le gaz, ce qui en fait le plus gros émetteur de CO2 de l’Union européenne, alors que la France est un des pays les moins émetteurs grâce à son énergie nucléaire.

Un des responsables du gestionnaire de réseau californien a fait cette remarquable et délicieuse déclaration au Wall Street Journal : « Nous devons prêter attention au progrès très décevant que nous avons accompli sur l’adaptation de la demande ».

C’est ballot… mais que fait la police ?

Toutefois, pour nombre de politiciens écolos, l’insuffisance de production d’électricité ne constitue pas un drame.

Jusqu’à présent en France, la production a été adaptée à la demande avec bonheur. Mais certains écologistes seraient ravis d’inverser le paradigme pour aller vers une  sobriété heureuse.

La maîtrise de la demande par l’effacement « volontaire », si nécessaire contraint par des prix artificiellement élevés et par la loi, devrait calmer nos ardeurs consuméristes.

Pour les écolos dogmatiques, réduire par la contrainte (loi, black-out, Covid,…) la production d’électricité constitue un excellent moyen de « désintoxication consumériste » et la « démonstration » qu’il est possible de sortir du nucléaire.

En effet, la production 100 % dit renouvelable doit s’accompagner d’une réduction drastique des consommations d’électricité. L’expérience douloureuse du confinement lié au Covid démontrerait (pour certains) que la baisse drastique des activités sociales, culturelles, domestiques, et industrielles est possible pour le plus grand bien de l’humanité…

La majorité des Français a-t-elle envie d’une telle cure/purge, y compris pour le bonheur de la planète qui ne demande rien ?

Délocaliser le photovoltaïque dans le désert ?

L’efficacité d’une cellule solaire croît avec l’ensoleillement (durée et intensité), mais elle décroît avec la température et… l’ombre (neige, poussière, sable…).

Dans les déserts, il y a de l’espace et du soleil, mais il y a aussi malheureusement du sable. Les grands projets solaires des Émirats Arabes Unis se sont ainsi fracassés dans les tempêtes de sable qui rendent les panneaux solaires inopérants en les couvrant d’une pellicule poussiéreuse. Les nettoyer à sec griffe et opacifie les panneaux et les nettoyer à l’eau de mer les couvre d’une croûte de sel, l’eau douce étant rare dans le désert.

Aussi les Émiratis ont abandonné leurs projets solaires pharaoniques et se sont tournés vers le nucléaire.

Et le stockage ?

Il est illusoire de miser sur le stockage à grande échelle pour compenser les lacunes des renouvelables.

Comme le montre l’exemple en Californie, les renouvelables devront dans tous les cas être secourus par un ami pilotable (gaz ou charbon fortement émetteurs de gaz à effet de serre) dont la capacité devra couvrir en double la totalité de celle des renouvelables. C’est le prix à payer qui doit être pris en compte dans le prix de l’éolien ou du solaire, ce qui n’est pas le cas aujourd’hui.

Les prix avancés aujourd’hui (70 euros/MWh pour l’éolien et 80 euros/MWh pour le solaire) ne prennent pas en compte le prix du soutien des centrales à gaz et au charbon, ni leurs productions, et n’ont donc aucun sens économique.

Le gaz peut intervenir comme énergie de transition à court et moyen terme, mais à long terme seul le nucléaire peut conduire à se passer des énergies fossiles et à la neutralité carbone.

Le GIEC (Groupement international d’experts sur le climat) l’a bien compris en stipulant que « sans nucléaire les objectifs d’électricité verte étaient inatteignables ».

Sans nucléaire ni gaz, pas de vent, pas de soleil, pas d’électricité !

Un message simple que les écologistes antinucléaires (car il existe aussi des écologistes pronucléaires) ne semblent toujours pas avoir compris.

 

Annexe

 

Voir les commentaires (47)

Laisser un commentaire

Créer un compte Tous les commentaires (47)
  • jancovici fait de bonnes vidéo sur le sujet, pour l’europe…
    tiens celle ci

    il faut smettre de coté certains certitudes de janco ..regarder les données

    les intermittents en Espagne sont épaulés par des centrales à gaz, et en allemagne gaz et charbon.

    il fait l’effort d’aller chercher les données sur des trucs que par ailleurs on devine fort bien par la simple logique;.

    comme le fait que dès que le parc intermittent produit sensiblement dans de tels pays le prix du marché de l’électricité tend à devenir nul, autre façon de constater que cette électricité est ..inutile..

    il faudra un jour rentrer dans le chou de l’ademe et autres organismes pour ce qu’on peut qualifier de désinformation..

    • ces données laissent à penser que passer les 20% d’intermittents coutera très cher..

      • mais c’est hallucinant..sans y connaitre grand chose en énergie j’ai du décrire ce qui allait se passer sur des sites comme agoravox il y a belle lurette..comme bien d’autres…
        en disant d’ailleurs une chose..c’est que , une fois dans la merde, les allemands pourront toujours construire des centrales charbon…nous pas vraiment…

        • C’est normal le propre de l’homme ou des animaux ou même de la flore est de prévoir le futur…. Mais pas les politiques, ils vivent comme des artistes au jour le jour et maintenant au tweet, il peuvent retourner leur veste 100 fois par jour.

          • @avorton : « …Mais pas les politiques, ….ils peuvent retourner leur veste 100 fois par jour. »
            On pourrait s’en servir comme éoliennes…. Cela pourrait fonctionner 24h/24 !

    • Jancovici est un climatophobe convaincu, et donc, à ce titre, il devrait être écouté par les bien-pensants, adeptes de la pensée unique !
      Pourtant, lorsqu’il nous parle d’énergies — qu’il connait fort bien –, il est critiqué, car son argumentaire sur la transition énergétique ne correspond pas avec l’idée que se font nos idéologues sur ladite transition !
      Ce sont les bien-pensants, et non les spécialistes, qui détiennent la vérité !
      Climatiquement vôtre. JEAN

      • chez janco vous avez en plus ce qu’il voit, c’est à dire les données..et ce qu’il croit, les modèles..le pic oil..

        • Vous avez raison, non seulement il croit à la fin du pétrole mais aussi au rca… J’ai un doute sur son honnêtete intellectuelle. Je doute toujours des gens au débit trop rapide, ils vont vite pour nous faire avaler des couleuvres. C’est propre aux ecolos et aux extremistes. Je me suis farci sa vidéo en entier, 1h40, épuisant.

  • il faudra sans doute attendre qu’un bon black out se produise en France , accompagné de nombreux décès et d’un chaos que je vois d’ici , pour que nos intelligents et prévoyants politiciens ouvrent les yeux ;

    • Ils ont les yeux ouverts d’où le linky permettant un délestage fin de chaque abonné, on coupe la phase chauffage et voilà.

    • soyons clairs, vous trouverez toujours des gens qui vous expliqueront que les black out sont le FAUTE du gaz charbon ou nucleaire …

      en face vous avez des idéologues.la vérité est optionnelle.

    • même avec un black out nos politiciens n’ouvriront pas les yeux car ils ne regarde que leur nombril

    • Profitons que le black out ne soit pas black listé…
      Avez vu un polytocard ouvrir les yeux? Ne serait-ce qu’une seule fois?

    • « pour que nos intelligents et prévoyants politiciens ouvrent les yeux ; »

      Ouvrir les yeux sur quoi ? Ce sont les électeurs et citoyens français qui doivent le faire !

      • Voter pour qui ? Tous les politiciens se vautrent dans la même Idéologie — d’ailleurs, ils ne peuvent pas faire autrement, ils se feraient virer — !
        Climatiquement vôtre. JEAN

    • pas certain !!! il se pourrait qu’ils en tirent la conclusion inverse c’est à dire qu’il n’y a pas eu assez d’éoliennes et de panneaux photovoltaïques !!!! C’est çà le propre des sectes ou des régimes à tendance totalitaire : en cas d’échec c’est que l’on n’es pas allé assez loin !!!

  • Quand quelque chose ne peut être ignorée et pourtant on fait comme si on l’ignorait doit porter un nom…quand ce problème est européen, ça doit porter un autre nom.. J’hésite entre bêtise, corruption, complot.
    Nos gouvernements n’étant ni bêtes ni corrompus, aucune malignité chez eux, ils aiment leur population, donc incapables de comploter.. Subissent ils un chantage ?

    • bêtise et corruption et je ne dirais pas complot mais peu de parole pour les contradicteurs..

      de temps en temps on voit un ancien opposant au nucléaire changer d’avis et ce qui m’épate et que les pro nucleaires le présentent souvent comme une personne intelligente qu’on doit écouter, quand on met 20 ans pour accepter des évidences, pour ravaler les incohérences de son discours, on est une personne qu’on doit écouter..

      bon il y a le nucléaire…
      mais il y a aussi le bio…

      c’est une leçon que chacun de nous doit tirer…

      le bias de confirmation ça existe et c’est puissant , la « compétence, l’intelligence, l’education ne permettent pas d’y échapper, il semble que ce soit le contraire.. il suffit qu’au départ une « fausse vérité soit acceptée au coin de son cerveau et le reste suit..

      • Le cerveau est fantastique, il est capable d’accepter l’inacceptable si cela présente plus avantages que d’inconvénients . Le syndrome de Stockholm en est un exemple. L’écologie est une folie mais quand tout le monde autour de toi est contaminé, tu portes un masque pour passer inapercu.. Ou alors il faut être courageux et un peu suicidaire.

    • On ne peut comprendre la saga du RCA et toutes ses conséquences ou la récente « pandémie » dont nous verrons bietôt toutes les conséquences sans l’arrière-plan de l’idéologie mondialiste. On peut appeler cela complot, mais ce terme est trop simplificateur.
      Il n’empêche que dans les deux cas, nous avons, pour convaincre les populations:
      – une minorité de scientifiques pour imposer un discours crédible, la majorité faisant confiance à ce discours puisqu’il est « scientiique »
      – un raz-de-marée médiatique qui a tout de la propagande (slogans simplificateurs, répétition etc…) assorti de la censure des « dissidents »
      – un milieu politique corrompu, ou au minimum subverti par des chantages, des « conseillers »
      – des décisions qui vont clairement à l’encontre du bien des populations et de leurs libertés, mais qui sont présentées en vue un bien supérieur
      – il est frappant de constater que la « deuxième vague » du virus s’apparente à la réactivation d’un réchauffement qui est inexistant depuis 20 ans…

      • Les circonstances et les hommes qui ont permis l’émergence de la mafia transnationale qui permet ces impostures sont à rechercher loin dans l’histoire.

        • Bah, la perfide Albion est une coupable très plausible, elle est de tous les coups tordus, elle a brûlé notre Jeanne et banni notre Napoléon sans oublie notre bon roi ni 14 ni 18 ni 39 ni 45 ni les problèmes moyen orientaux… Elle est partout.

      • Le problème de fond est que certains (beaucoup dans les élites auto-proclamées) pensent que la démocratie est la loi du plus bavard et pensent (à tort) que le libéralisme est la loi du plus fort.

      • Pour moi l’explication est plus simple que cela. c’est tout simplement la dérive logique d’un système de gouvernance dans lequel l’état n’est pas au service des citoyens mais poursuit ses propres intérêt. L’interet des états, de nos gouvernants c’est de toujours augmenter leur pouvoir et leur revenus. La manière la plus simple pour cela c’est de toujours etre à la recherches de « problèmes » afin de légitimer l’action de l’état et l’augmentation des budgets. Qui plus est, ce mode d’action trouve fatalement un écho dans la population puisque chacun est encouragé à exposer ses problèmes (réel ou imaginaire) avec l’assurance que l’état y pourvoira (au moins en apparence)

    • « Nos gouvernements n’étant ni bêtes ni corrompus, aucune malignité chez eux, ils aiment leur population,… »

      Vous avez des références à donner ? Articles de journaux, analyses de psychiatres, travaux d’historiens pour nous faire d’aussi grandes révélations qui remettent en causes nos plus profonds connaissances depuis 5000 ans ? 😀

      • Hé hé, la liste de nos « chefs » bien aimes est longue comme une journée sans pain. Les derniers, de Gaulle, Pompidou, chirac… Après ça se gate. Je ne donne pas la liste des rois de France, entre les clovis Charlemagne et autres Louis, dagaubert celui qui retournait sa culotte , même Napoléon, notre génie administratif, pour celui là le peuple à raté son jour de libération.

  • Bof, nos écolos bobos ne changeront jamais, ils vous diront que c’est avant tout la faute de l’a privatisation de la production d’électricité, ensuite que ce n’est pas un drame, car quand notre PIB sera équivalent à celui du Mali, l’immigration sub saharienne n’aura plus lieu d’être…

  • Un petit groupe électrogène d’occase pour faire tourner la chaudière et le congélo, ça coûte 200 euros, pour l’instant. Une vague de froid avec une tempête de neige et ce sera le black out pour huit jours…..par -15 brrrr…

    • Je me souviens d’un film de 1982 qui se passe dans l’Antarctique. Eh bien, le troisième truc qui foire après l’alien, c’est le groupe électrogène de secours …

  • plus stupide qu’un écolo cela ne se trouve pas !

  • Le monde a de plus en plus besoin de libéralisme. Non pas (seulement) pour l’économie, la motivation ou l’innovation mais avant tout pour le respect des autres.

    L’augmentation du niveau de vie et la démocratie nous pousse vers la bobocratie. Elle porte au pouvoir les représentants de classes aisées qui ont une vision déformée des réalités et un total mépris pour les problèmes et les aspirations des classes « inférieures ».

    Ayant exclu le libéralisme et le respect des droits individuels afin de mieux étendre leur emprise d’une minorité sur l’ensemble de la population, la bobocratie nous fabrique un monde ubuesque et non viable. En marche vers la falaise, tous ensemble derrière le joueur de flûtiau.

    • « Le monde a de plus en plus besoin de libéralisme », et surtout la France. Ah ! si on faisais lire Bastiat et Ayn Rand dans les écoles…

  • Les idéologues n’ont que faire des faits. Hélas.
    En plus, les décideurs sont, eux, à l’abri des désagréments entraînés par leurs décisions.
    Et ceux qui subissent ces désagréments se laissent berner par une idéologie à laquelle la couleur noire conviendrait mieux que le vert.

    • Noir, rouge, vert, brun, rose : ce sont les mêmes bonhommes, les mêmes obsessions criminelles, seule la couleur de la chemise change.

      • Les faibles d’esprit puisent leur certitudes dans leur nombre (apparent). Quand on se réfère à la science, c’est totalement contradictoire. Quand cela touche une partie de la population ayant fait des études, cela montre la faillite de l’EN.

  • Ce soir, le Cheikh en échec n’a pas eu à sortir le chèque : il est sorti tout seul.

    • Ça nous manquait,, les aliens, le retour. Tout va de nouveau être comme avant, les paris sont ouverts, les joueurs de loto et les grattes misère vont sortir de leur trou.

  • Les politiques français ne comprennent rien ???? mais si ils sont élus par des français qui ne comprennent rien et ne font que les caresser dans le sens du poil pour garder leur place !!! qui pourrait le leur reprocher ???? C’est donc aux français d’ouvrir enfin les yeux et de voter pour ceux qui n’envisagent pas la régression du pays comme solution souhaitable !!! Impossible en France car celui qui sera élu est celui qui proposera démagogiquement le plus d’aides et subventions sans se préoccuper de l’avenir du pays !!!!

  • Ah oui, compter sue les ruraux (avec les barrages, les panneaux solaires, les éoliennes) parce que « nimby » ou les voisins (itou) pour pouvoir vivre en « green », se déplacer en trottinette, manger les trucs poussés sur les toits. Le fracassement sur le mur de la réalité va rafraichir tout ce monde. A moins que l’arrêt des financements de la police et la désertion de la protection des rues/commerces/domiciles ne nettoient les tenants de l’écologisme idiot à outrance.

  • Les commentaires sont fermés.

La liberté d’expression n’est pas gratuite!

Mais déductible à 66% des impôts

N’oubliez pas de faire un don !

Faire un don

Maintenant que le déploiement du compteur électrique Linky présenté comme « intelligent » est quasiment terminé, le rationnement imposé de l’électricité va pouvoir débuter… après plus de 20 ans d’impéritie.

 

C’est « intelligent »

Un projet de décret prévoit d’effectuer, dès cet hiver, un premier test en condition réelle au cours duquel la consommation d’électricité de 200 000 Français notifiés « par voie postale », et équipés d’un compteur Linky, sera plafonnée à 3 kilowatts (kW) au lieu de 6 kW (l’abonnement des particuli... Poursuivre la lecture

Cet article est le quatrième et dernier article de cette série. Voici les liens vers la première, deuxième et troisième partie de cette série.

 

Dans cette quatrième et dernière partie, nous allons voir qu'au rythme actuel des déploiements de panneaux solaires, avec un parc total installé qui double tous les deux ans, la taille critique sera atteinte avant 2040.

 

Un parc installé d'ici 2040 ?

Combien de temps pour arriver à 236 000 GW de puissance solaire photovoltaïque totale installée ? C’est le niveau... Poursuivre la lecture

Cet article est le troisième article d'une série de quatre. Voici les liens vers la première partie, la deuxième partie et la quatrième partie.

 

Dans cette troisième partie, nous allons voir qu'il y a assez de matières premières et de surfaces ensoleillées dans le monde pour construire et installer un parc de panneaux à même de générer chaque année le gaz de synthèse équivalent à notre consommation actuelle d'énergies fossiles.

 

Partons de la consommation mondiale annuelle totale d’hydrocarbures en 2022... Poursuivre la lecture

Voir plus d'articles