L’utopie du « tout-renouvelable-intermittent »
Aujourd’hui, le catastrophisme climatique promu par l’écologisme influence, voire dirige, les politiques énergétiques dans une partie du monde
Aujourd’hui, le catastrophisme climatique promu par l’écologisme influence, voire dirige, les politiques énergétiques dans une partie du monde
Multiplier les sources de production et consommation de l’électricité, c’est tirer des câbles de cuivre et d’aluminium. Pas très écologique, et ruineux.
L’appellation « renouvelable » auréole d’une éternité écologique les énergies les moins vertueuses et les moins durables qui soient.
Le troisième État le moins libre de l’Union ne cesse d’accabler sa population de taxes et réglementations faisant fuir ceux qui peuvent se le permettre.
Le coming-out du Président en faveur du nucléaire est remarquable. Mais il cultive un "en même temps" pour les énergies renouvelables, ce qui n'est pas clair.
Les quantités de déchets provenant du renouvelable sont éternellement toxiques.
Pendant que l’Europe a choisi de se tirer une balle dans le pied en pariant sur les énergies renouvelables, et non sur le nucléaire, la Chine progresse.
Aujourd'hui, pour le développement du système électrique, l'État est conseillé par des lobbyistes partisans qui, au lieu d’aider la décision des politiques, ont dévoyé le marché au détriment de l’intérêt général.
L’éolien et le photovoltaïque ne sont pas adaptés pour faire face aux besoins en électricité de la France lorsque le nucléaire et l’hydroélectricité ne couvrent plus la demande.
L'Etat envisagerait de revenir sur certains tarifs de rachat que l’État avait garanti par contrat, parfois pour 20 ans, aux acteurs de la filière photovoltaïque. Vous avez dit État stratège ?
Quand l'éthique de conviction et l'éthique de responsabilité justifient deux voies totalement différentes, comment trancher ?
Les coupures californiennes montrent clairement l’impasse dans laquelle conduit le rêve de l’électricité "tout renouvelable".
Le 14 août 2020 en fin d’après-midi, un « blackout » a privé plus de 2 millions de Californiens d’électricité (500 000 foyers) durant plusieurs heures.
L’imposition réglementaire des énergies dites renouvelables, mais aléatoires et intermittentes, est absurde. Voici quelques calculs qui le démontrent.
8000 Euros par famille se sont déjà envolés… et avec eux la balance commerciale de la France et le taux d’émission de dioxyde de carbone par Français qui impactera les générations futures !
Faudra-t-il bientôt avoir honte d’aller en vacances dans une voiture confortable à l’autre bout de la France, ou en avion à l’autre bout du monde ?
Nous nous intéressons ici uniquement à l’investissement, l’évaluation des coûts complets se heurtant à l’opacité du secteur des ENR.
La Convention citoyenne a plébiscité le développement immodéré des renouvelables, qui se substitueront encore plus au nucléaire. Pourtant, le nucléaire possède des qualités recherchées dans la feuille de route des conventionnels.
Les géants du net affirment vouloir limiter leur empreinte carbone. Des propos qui ne cadrent cependant pas vraiment avec la réalité.
Une politique contradictoire veut « en même temps » diminuer les émissions de CO2 en supprimant les moyens qui n’en émettent pas et en développant ceux qui en émettront indirectement.