Les impôts : histoire d’une folie française, de Jean-Marc Daniel

Dans cette Histoire d’une folie française sur les impôts, Jean-Marc Daniel, après un petit tour du côté de l’Antiquité et de l’Ancien Régime, retrace ce qu’il nomme, à raison, 60 ans de matraquage fiscal.

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Les impôts : histoire d’une folie française, de Jean-Marc Daniel

Publié le 21 juillet 2018
- A +

Par Francis Richard.

On connaît l’expression : ça ne durera pas autant que les impôts. Ce qui signifie que tout a une fin, sauf les impôts, qui, particulièrement en France, sont éternels ou, comme le phénix, renaissent de leurs cendres…

Dans ce livre d’Histoire d’une folie française sur les impôts, Jean-Marc Daniel, après un petit tour du côté de l’Antiquité et de l’Ancien Régime, retrace ce qu’il nomme, à raison, 60 ans de matraquage fiscal, expression qu’il ne faut donc pas réserver au seul quinquennat Hollande.

Il est d’autant plus surprenant – mais peut-être est-ce de l’ironie – que l’auteur dise d’une part :

Nous pouvons établir le principe qu’une bonne fiscalité combine le financement d’un État efficace, la redistribution des revenus, la stabilisation de la croissance (notamment grâce aux stabilisateurs automatiques) et le maintien de l’attractivité du pays.

et d’autre part :

En revanche, une mauvaise fiscalité conforte les rentes publiques, étouffe l’économie selon le schéma de la courbe de Laffer et entretient le sentiment de confiscation et d’abus.

En fait la fiscalité, dans les deux cas, est un instrument du socialisme et de la servitude et ne peut qu’être néfaste, puisque les politiques et les hommes de l’État croient savoir mieux que les autres ce qui est bon pour ces derniers, et dépensent pour eux…

Ces hommes, tout imbus de leur prétendue science, pratiquent, au gré des circonstances une politique des revenus, une politique monétaire ou une politique budgétaire, autrement dit ils font de l’interventionnisme économique en faisant joujou avec ces manettes.

On connaît les conséquences de ces interventions intempestives qui sont, au fond, l’illustration du principe des calamités énoncé par Michel de Poncins :

Une calamité d’origine publique conduit toujours à une autre calamité publique pour soi-disant corriger la première.

L’histoire des 60 dernières années de politique fiscale des hommes de l’État français en administre la preuve.

Créativité fiscale

On remarquera surtout qu’au lieu d’employer leur créativité à favoriser la création de richesses par la protection des biens et des personnes, ces hommes l’emploient à créer des impôts pour les détruire et à apporter quelques corrections à ces impôts en multipliant les niches fiscales (que les hauts fonctionnaires des finances appellent dépenses fiscales dans leur jargon).

Un des bons côtés du livre, avec le feuilleton des retournements politiques, est de rappeler les grandes dates de cette exceptionnelle créativité fiscale française qui se double d’une non moins exceptionnelle créativité lexicale. D’ailleurs, ce serait plus correct de parler de contributions plutôt que d’impôts…

Pour qui a vécu la période, il est ainsi intéressant de remettre dans leur ordre chronologique les apparitions, disparitions ou transformations de ces nuisances qui ruinent le pays (ne serait-ce que par l’incertitude qui les caractérise : ce que font les uns, d’autres peuvent le défaire) :

  • 1954 : la création de la TVA (hors période mais généralisée en 1968…)
  • 1965 : la création de l’avoir fiscal
  • 1975 : le remplacement de la patente par la taxe professionnelle
  • 1981 : la création de l’impôt sur les grandes fortunes
  • 1986 : la suppression de l’impôt sur les grandes fortunes
  • 1988 : la réapparition de l’impôt sur les grandes fortunes qui devient l’impôt de solidarité sur la fortune
  • 1991 : la création de la CSG
  • 1996 : la création de la CRDS
  • 2003 : la suppression de l’avoir fiscal
  • 2009 : la transformation de la taxe professionnelle en contribution économique territoriale

Etc…

Jean-Marc Daniel parle beaucoup, à juste titre, des prélèvements obligatoires, de la dette, des déficits publics (le dernier excédent remonte à 1974…), mais peut-être pas assez des dépenses publiques. Elles sont pourtant le noeud du problème que posent le socialisme et l’État-providence qui l’accompagne, même s’il dit à la fin :

Sur la décennie 1980-1990 [les dépenses publiques] représentent 49,8 % du PIB, 52,8 % entre 1990 et 2000, 53,7 % entre 2000 et 2011, et nous en sommes désormais à 56 %.

Manifestement, aucun des ténors de la classe politique française n’envisage de faire de l’inversion de cette courbe d’évolution la priorité absolue de son programme présidentiel ou législatif. […]

Pourtant, c’est en priorité par l’aspect « dépenses publiques » qu’il faut désormais prendre le problème budgétaire, en se fixant des objectifs de baisses concrets et réalistes de ces dépenses.

Pourquoi la classe politique ne fait-elle pas une priorité absolue de l’inversion de la courbe des dépenses publiques ? Parce que ce serait suicidaire, électoralement… alors que cela permettrait pourtant une véritable inversion d’une autre courbe, celle du chômage.

Jean-Marc Daniel, Les impôts – Histoire d’une folie française, Tallandier, 240 pages.

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  • Que signifie au juste: « une bonne fiscalité combine le financement d’un État efficace, la redistribution des revenus,… »?
    J’ose espérer que l’auteur a bien voulu dire qu’en diminuant les contributions obligatoires on favorise la distribution spontanée des revenus qui n’ont pas été confisqués.

    • « on favorise la distribution spontanée des revenus » LOL

      • Les évidences ne vous touchent pas. LOL

        • Je sais par avance que ce dialogue de sourd est inutile, merci.
          Etes vous libre de votre idéologie ?

          • Pas sûr que vous compreniez le sens du mot « idéologie », étant donné que vous l’employez à contresens.

            • Oui, sans doute n’admettez- vous pas que le libéralisme est une idéologie comme une autre.
              idéologie car les droits sont des idées posées sur papier, à partir des quelles vous raisonnez, et rayonnez.

              Elles sont discutables si l’on accepte d’aller en profondeur.
              « naturel » est tout autant discutable.
              vous posez un canevas d’idée et agissez, raisonnez à partir de ce centre sans jamais questionner la justesse de ce centre.
              C’est cela une idéologie, un canevas, un système, sur lequel on cherche à plaquer la réalité.

              La vie ne se plie pas à un canevas elle est bien plus complexe.
              Avec vos dogmes vous contraigniez la vie, la liberté dans ces dogmes qui ont des implications liberticides, dès que l’on creuse un peu.
              idéologie, système, c’est pareil, il faut s’y conformer, il y a perte de liberté, impossibilité pour une idéologie de coller à la créativité de la vie.
              Que savez vous de la liberté pour estimer qu’elle peut être contenue dans vos sacro saints droits ?
              comment savez vous que vous ne la bridez pas ?

              • « Qu’est-ce qu’une idéologie ? C’est une construction a priori, élaborée en amont et au mépris des faits et des droits, c’est le contraire à la fois de la science et de la philosophie, de la religion et de la morale. » (Jean-François Revel, La Grande parade)

                L’inverse du libéralisme.

                • Le Larousse est bien moins peremptoire que Revel. Disons que celui-ci en donne la définition péjorative, celle qu’en général on jette à la face des gens qui n’ont pas la même idéologie que nous. L’idéologue c’est toujours l’autre. Nous, bien sûr, nous sommes toujours dans la stricte observance des faits et dans l’approche rationnelle de l’explication du monde.
                  Parfois je me demande si l’ideologue le plus dangereux n’est pas celui qui n’a pas conscience de son état…

                • vous venez de faire la démonstration que le libéralisme est bien une idéologie.
                  Vos droits naturel, comme vous dites, sont bien une construction à priori, une construction de l’égo pour s’auto justifier.
                  Vous ne questionnez pas l’ego, ne cherchez pas à avoir s’il est justifié ou non à la place qu’il occupe, s’il est possible qu’il reste en retrait de l’activité humaine, uniquement cantonné à la survie primaire du corps.
                  Au lieu de cela vous lui donnez une place centrale, le prenez comme point de départ à tout et lui donnez une assise pour librement s’exprimer.
                  Je dirais c’est bien, c’est une étape mais c’est très insuffisant car cette idéologie basée sur l’ego mène inévitablement à tous les maux de nos sociétés. Ce n’est pas nouveau, c’est ainsi depuis la nuit de temps ainsi, libéralisme ou pas libéralisme, l’ego a toujours occupé une place centrale dans nos vies.
                  Alors ensuite de ramer pour dire que la faim dans le monde se réduit grâce au libéralisme en occultant la vraie source de tout problème, la nature humaine, l’ego qui laissé libre, est comme une arme chargée dans les mains d’un enfant.
                  Le monde n’est que la projection de ce que nous sommes à l’intérieur.
                  Tant qu’une société humaine sera organisée autour de l’ego validé dans des sphères d’activités inappropriées en le flattant ou le perpétuant comme le libéralisme, ou contre l’ego ce qui l’amplifie également par réaction comme le totalitarisme , nous aurons des guerres, des famines et tout ce qui s’ensuit.
                  d’ailleurs le monde Economique dont vous rêvez est une une guerre Economique, une compétition perpétuelle.

                  • Vous faites l’expérience de vos droits naturels en affirmant qu’ils n’existent pas. Au fond, ce qui vous dérange, c’est qu’autrui puisse posséder les mêmes droits que vous.

                    • Je n’affirme pas qu’ils n’existent pas, je dis qu’ils ne sont pas ce qu’il vous plait de croire qu’ils sont. Relisez…

                    • Imaginer des droits naturels différents de ce qu’ils sont en réalité revient à les nier. Votre dernière phrase est une sorte de révisionnisme anti-humaniste, négation de l’observation objective de la nature humaine. C’est à partir de ce genre de concepts fumeux qu’on finit par construire des goulags et des camps de rééducation.

                    • @Cavaignac
                      « Imaginer des droits naturels différents de ce qu’ils sont en réalité revient à les nier. Votre dernière phrase est une sorte de révisionnisme anti-humaniste, négation de l’observation objective de la nature humaine.  »
                      Eh non l’observation n’est pas objective, elle est superficielle.
                      Vous n’allez pas au fond des choses, vous ne vous permettez pas de questionner celui en vous qui réclame ces droits.
                      Ça va sans doute vous paraître inutile mais c’est pourtant fondamental.
                      Nous agissons , pensons à partir d’un point , l’ego: celui qui reconnait être nous en nous même.
                      Ce point est il juste ou non ?
                      Quelles sont les conséquences de baser une civilisation sur ce point central ?
                      Est il possible de faire autrement, faire en sorte que ce point central n’empiète pas toute la société ?
                      Quelles en seraient les conséquence d’une société non basée sur l’ego ?
                      .
                      Voilà quelques questions que les libéraux et pas que, pourraient se poser.
                      Chacun restant libre de demeurer superficiel ou non.
                      Aucun rapport avec un camp de redressement ! lol
                      Vous vous faites peur tout seul ! re-lol

          • PHILOSOPHIE… apprenez la différence, elle est simple. Vous reviendrez quand vous aurez saisi…

  • « Histoire d’une folie française »; je dirais mieux, histoire de la désindustrialisation de la France, de la baisse de l’esprit d’entreprise et de la fuite de nos élites entrepreneuriales.
    Il serait intéressant de s’interroger sur les causes de cette folie qui a pour conséquence la paupérisation croissante de notre pays.
    La cause historique de cette perversion est la résultante de l’état d’esprit jacobin ultra centralisateur qui rabaisse le citoyen à un pion sans importance.
    Un pion n’ayant d’utilité que pour être manipulé par quelque élite Étatique… qui, se croyant investi d’une mission divine, prétend « gérer » le bien commun et le devenir des français.
    Le résultat est consternant: les français infantilisés, attendent des gestes Étatiques en ne voyant de planche de salut que dans l’élection d’hommes providentiels qui, eux, se révèlent tous, les uns après les autres, des carriéristes imposteurs et sans scrupules, certains même recruteurs de barbouzes, et qui ne sont, de fait, obnubilés que par leur prochain renouvellement de mandat.
    Pour ces gens là: au diable la France!!

  • Jean-Marc Daniel fait mon bonheur quotidien sur BFM radio chaque matin. A conseiller sans modération. Ca change des prêches étatistes débités sur France Inter, France Culture, Europe 1, etc. Merci à Daniel !!!

  • Encore un qui voit des socialistes partout. Cette pathologie devient lassante.
    Dommage qu’un livre sans doute intéressant soit gâché par un tel article…

    • Intéressant commentaire qui illustre à merveille cette nouvelle mode chez les socialistes et autres étatistes collectivistes, qui consiste à avancer caché, notamment derrière l’escroquerie écologiste.

      Il faut dire que les preuves de l’échec absolu et définitif de leur idéologie s’étant accumulées, ça ne plaide pas en leur faveur.

      • @cavagnac « plus belle ruse du diable vous faire croire qu il n existe pas  » ? Baudelaire

      • Vous aussi, vous êtes atteint d’une pathologie qui vous fait voir des choses qui n’existent pas ? …
        Ca m’énerve de lire – ce n’est pas la première fois ici – que tout ce qui n’est pas libéral est de facto socialiste. Manichéisme à deux balles. Le terme exact est étatiste, vous l’utilisez d’ailleurs, même si vous lui accolez de suite l’adjectif collectiviste… Chassez le naturel…
        Le socialisme est un mode de l’étatisme, mais ce n’est pas le seul.
        Ouvrez donc un dictionnaire des ideologies politiques. Ca vous évitera d’écrire là aussi des âneries. Je donne le même conseil à Francis Richard.
        PS : je précise aux mauvais lecteurs, dont vous êtes indeniablement que je ne suis ni socialiste, ni écologiste, la bêtise n’étant pas mon fort.

        • « je ne suis ni socialiste, ni écologiste, la bêtise n’étant pas mon fort. » ne seriez vous pas plus méchant que ceux, « libéraux », que vous critiquez? Nous sommes d’accord que c’est plus compliqué que ça…

        • C est vrai nous abusons de ce terme de « socialiste ». Un bien meilleur est « constructiviste » qui me paraît plus pertinent car il désigne ceux de droite, de gauche et leur extrêmes.
          Cependant socialiste ce n est pas une insulte Leham, collectiviste non plus.

          • Guido pardon…pas Leham.

            • Je ne dis pas que c’est une insulte.
              Je dis que c’est une vision manichéenne, idiote et contre-productive.
              Le constructivisme, une autre bête noire du liberalisme, ne me semble pas plus adapté à la situation que socialisme ou constructivisme.
              Etatisme me paraît plus pertinent, en attendant un meilleur terme.

              • « Je dis que c’est une vision manichéenne, idiote et contre-productive. »

                Manichéenne : il me semble que tout cela est manichéen. Un euro est soit dépensé par l’état (contrainte) soit par l’individu qui l’a gagné (coopération). Merci de citer un cas qui sort de cette dichotomie.

                Idiote : La vision en question a été portée par pas mal de philosophes, qui ont beaucoup apporté dans leurs domaines. Sont-ils des idiots ?

                Contre-productive : Il me semble que cette vision a été portée par des gens qui ont grandement amélioré la productivité de leurs pays.

                Pas sûr que renommer « socialisme » en « étatisme » change la donne.

    • A la fois Guido avec une dépense publique à 56% du pib je doute que l on voit des libéraux partout , hein …

      • A l’inverse un ratio prélèvements/pib ne garantit pas le liberalisme.
        Les choses sont un peu compliquées que ça. La Turquie avec un ratio d’environ 25 est bien moins libérale que le Danemark.

        • Oui mais Guido avec un ratio comme le nôtre on est certain de ne pas l être . Vos raisonnements manquent cruellement de rigueur mathématique

          • C’est que vous n’arrivez pas à saisir ma rigueur mathématique dans toute son étendue ! ?
            Je ne considère pas que ce ratio signe de façon primordiale le liberalisme supposé de tel ou tel pays. C’est un élément d’appréciation parmi d’autres, mais pas le seul ou celui qui emporterait tous les autres.
            Ainsi le Danemark est un pays bien plus liberal que le nôtre alors que son ratio à longtemps été supérieur au nôtre.
            Si vous tenez compte du fait que des pays peuvent etre moins liberaux en depit d’un ratio faible ou plus liberaux malgré un ratio fort, quelle peut être la seule conclusion qu’un esprit rationnel peut tirer de l’hypothèse de départ ?

          • Même en ne restant que dans l’aspect économique du libéralisme (oublions un court instant le libre usage des drogues, la tolérance à l’égard de la prostitution, l’absence de moraline hygiéniste etc) l’indice de liberté économique me paraît bien plus pertinent que le niveau de prélèvement…

      • ratio prélèvements/pib faible

  • Preuve s’il en fallait que le chômage est le cadet de leurs soucis. La seule chose qui compte est de rester au pouvoir afin d’en profiter et d’en faire profiter famille, copains et militants!

  • Mes amis , vous avez vu les actus aujourd’hui dans la rubrique  » économie  » ? Les socialistes au pouvoir prouvent encore qu’on reconnait l’arbre à ses fruits . Encore une fois une liberté va disparaitre , on n’a plus le droit de rien , flicage et vol du citoyen. Et tout passera toujours car jamais plus personne ne se révoltera , c dingue !!! Donc ça passera et sera voter , au secours , ils sont devenus fous , il faut vraiment se barrer aux USA ! Je ne vous fais pas plus attendre , voilà ce que j’ai lu : Darmanin , ce bigleux , de ce gouvernement , prévoit de faire voter une loi pour que les revenus ( même 200 euros par an ) que vous pourraient tirer d’une vente sur le bon coin, bablacar , et autres plateformes collaboratives soient désormais déclarables et taxables . Oui , vous avez bien lu : vous devrez désormais ( c la plateforme qui devra le faire ) payer des impôts sur votre fauteuil que vous mettrez en vente sur le bon coin . L’Urss en marche , pas Lrem !!! Mes amis , comment pouvez -vous nous lutter contre ces dictateurs fous , dites-moi ?

    • J’ai fait des fautes de grammaire et de conjugaison mais c la colère , veuillez m’excuser !

      • Je voulais dire que c la plateforme qui transmettra au fisc ( et non qui paiera vos impôts évidemment , vous m’aviez compris ) . Darmanin ( empêtré dans pleins d’affaires mais c pas grave , les gauchistes ont le droit , l’honneur et la fierté étant des notions inconnues chez ces gens là ) et ce gouvernement montrent leurs vrais visages : comme on dit , quand on gratte le vernis , ça pue ! Hollande avait déjà essayé de taxer cette économie aussi , sans trop de succès . Logique que son successeur soviétique réessaie !Encore heureux que ce ne soit pas méchancon au pouvoir ,lui il interdirait carrément l’économie collaborative , le crowfunding et les plates-formes .

        • Encore une preuve que nous glissons lentement mais sûrement vers la dictature et la mafia . Rackett d’état sur tout ! On aurait Luciano et Capone au gouvernement on ne verrait pas la différence ! Mes amis j’ai peur !!!

    • pourquoi se barrer aux USA? c’est mieux la bas? j’ai comme un gros doute..

  • Les commentaires sont fermés.

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