Dieudonné : la circulaire Valls est-elle légale ?

Le juge administratif va-t-il admettre la légalité de la circulaire envoyée par Manuel Valls aux préfets et qui vise l’interdiction des spectacles de Dieudonné ?

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Dieudonné : la circulaire Valls est-elle légale ?

Publié le 9 janvier 2014
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Par Roseline Letteron.

Valls Dieudonné

Le dernier événement du feuilleton Dieudonné est l’envoi aux préfets d’une circulaire du ministre de l’intérieur, datée du 6 janvier 2014, largement diffusée dans les médias. Son objet n’est pas dépourvu d’ambiguïté. Elle invoque d’abord des préoccupations d’ordre général, « la lutte contre le racisme et l’antisémitisme » ainsi que les « manifestations et réunions« . À ces finalités d’ordre général succède cependant immédiatement le problème particulier qu’il convient de résoudre : « Spectacles de M. Dieudonné M’Bala M’Bala ». Car l’objet, en effet, est d’inciter les préfets à prendre des arrêtés d’interdiction ou, le cas échéant, d’inciter les maires à le faire dans le cadre de leur pouvoir de police générale.

Intérêt à agir

Il est tout à fait probable que M. Dieudonné M’Bala M’Bala décide d’engager un recours contre la circulaire. Il ne rencontrera aucune difficulté à faire reconnaître son « intérêt à agir », dès lors que son nom figure expressément dans le texte et qu’il est personnellement visé par son contenu. La recevabilité formelle de son recours ne fait donc aucun doute, du moins sur ce point.

Les différents types de recours

Dieudonné peut certes envisager d’attaquer directement le texte de la circulaire. Mais la procédure est longue et ne lui permet pas d’obtenir rapidement l’annulation des interdictions qui vont frapper ses spectacles.

Il préférera sans doute contester la circulaire Valls par voie d’exception. Autrement dit, il fera différents recours contre les arrêtés d’interdiction pris par des préfets et invoquera l’illégalité de la circulaire qui sera leur fondement juridique. Il pourra d’ailleurs engager le débat dès les demandes de « référés-libertés » qu’il ne manquera pas de déposer auprès des différents tribunaux administratifs concernés, pour leur demander en urgence de suspendre ces interdictions. Ces référés-libertés devraient intervenir très rapidement après les arrêtés préfectoraux, le tribunal administratif devant se prononcer dans les 48 heures après le dépôt de la requête. En cas d’appel devant le Conseil d’État, ce dernier dispose de quinze jours pour statuer. Dieudonné peut donc se réjouir : le ministre de l’intérieur lui offre une publicité gratuite qui va s’étaler sur plusieurs semaines, au fur et à mesure que seront pris les arrêtés d’interdiction.

Après avoir examiné la procédure du recours, il convient de poser la question essentielle. Cette circulaire Valls est-elle légale, ou pas ?

Circulaires non impératives et circulaires impératives

Depuis sa décision Duvignères du 18 décembre 2002, le Conseil d’État distingue les circulaires non impératives des circulaires impératives. Il convient d’expliquer brièvement le contenu de cette distinction.

Les circulaires non impératives ne donnent que des conseils ou des recommandations. Elles ont pour objet de guider les décisions de l’administration en précisant le contenu du droit positif.  Elles sont publiées, mais ne peuvent être attaquées devant le juge administratif, car on considère qu’elles n’apportent rien de nouveau au droit existant. Elles relèvent de ce que l’on appelle couramment la « littérature grise » de l’administration, formule qui désigne ces textes uniquement destinés à guider l’action administrative, sans modifier l’état du droit. La circulaire Valls ne peut entrer dans cette catégorie, dès lors qu’elle produira des effets de droit pour les administrés (les spectateurs de Dieudonné), et pour celui qui en est le destinataire.

Les circulaires impératives, quant à elles, sont l’expression directe du pouvoir hiérarchique et doivent donc être appliquées par les services. Dans ce cas, la jurisprudence Duvignères distingue deux hypothèses.

Si la circulaire crée une ou plusieurs règles nouvelles, c’est-à-dire qui ne figurent dans aucune loi ou aucun règlement, elle est illégale. Elle est en effet annulée pour incompétence, puisque le ministre s’est attribué un pouvoir réglementaire dont il ne dispose pas. La circulaire Valls entre-t-elle dans cette catégorie ? Peut-être si l’on considère qu’elle met directement en cause le régime répressif mis en place par la loi du 30 juillet 1881 en matière de liberté de réunion. Ce moyen sera évidemment invoqué par les avocats de Dieudonné.

Si on considère que la circulaire Valls ne crée pas de règle nouvelle, elle n’est pas nécessairement légale pour autant. Dans ce cas, elle doit être considérée comme un texte impératif, mais interprétatif, c’est-à-dire qui se borne à donner l’interprétation officielle des normes existantes, notamment jurisprudentielles. Cette interprétation s’impose ensuite aux agents d’exécution, et plus particulièrement aux préfets.

Or, selon cette même jurisprudence Duvignères, une circulaire interprétative peut-être déclarée illégale si elle donne une interprétation erronée. La lecture de la circulaire Valls révèle au moins deux exemples d’interprétations pour le moins étranges du droit positif.

L’ordre moral, un élément de l’ordre public ?

La circulaire reprend évidemment la jurisprudence Benjamin de 1933, que désormais tout le monde connaît. Elle précise qu’une interdiction générale et absolue d’une réunion ne peut intervenir que si l’ordre public est si gravement menacé que les autorités publiques ne peuvent le rétablir avec les moyens qui sont les siens. Théoriquement, la circulaire devrait donc prescrire aux préfets de réquisitionner les forces de l’ordre dont elles ont besoin pour concilier la liberté de réunion et la liberté de manifestation. De manière concrète, il s’agit d’utiliser CRS et gendarmes mobiles pour tenir à distance les manifestants et permettre au spectacle de se dérouler aussi normalement que possible. Rien n’interdit, ensuite, de poursuivre Dieudonné devant le juge pénal pour sanctionner d’éventuels propos racistes ou antisémites.

La circulaire ne dit pourtant rien de tel. Elle rappelle les termes de la jurisprudence Benjamin, mais c’est pour ajouter aussitôt que l’interdiction d’un spectacle, même si elle doit avoir un « caractère tout à fait exceptionnel », peut toutefois être justifiée si trois conditions sont réunies :

  • L’interdiction « s’inscrit dans la suite de spectacles ayant déjà donné lieu à des infractions pénales » ;
  • Ces infractions « ne peuvent être regardées comme un dérapage ponctuel (…) mais sont délibérées, réitérées (..) et constituent un des ressorts essentiels de la représentation ».
  • Enfin, ces infractions sont « liées à des propos ou à des scènes susceptibles d’affecter le respect dû à la dignité de la personne humaine (…) »

Ces trois conditions ne figurent nulle part dans le droit positif, et surtout pas dans l’arrêt Benjamin. Aucun juge n’a jamais affirmé que l’interdiction d’un spectacle est licite parce que l’on a des raisons de penser qu’une ou plusieurs infractions pénales risquent d’être commises. Nous sommes là dans un raisonnement hypothétique : parce que des infractions ont été commises, le préfet doit supposer qu’il y en aura d’autres, et interdire le spectacle sur cette base. Or, la jurisprudence est toujours demeurée identique. Son critère essentiel est la capacité des autorités à garantir l’ordre public. C’est un critère extérieur au spectacle, et non pas un critère lié à son contenu. Aujourd’hui, la circulaire Valls demande aux préfets d’interdire un spectacle à raison de son contenu. Un retour de l’ordre moral ?

La dignité de la personne, un concept-valise

Revenons maintenant sur le dernier critère permettant l’interdiction d’un spectacle, lorsque celui-ci comporte des propos ou des scènes de nature à affecter « le respect dû à la dignité de la personne ». En se référant à l’arrêt du Conseil d’État commune de Morsang-sur-Orge du 27 octobre 1995, elle ajoute que la dignité de la personne est désormais l’une des composantes de l’ordre public. Dans cette décision, la Haute juridiction confirme la légalité d’un arrêté interdisant, de manière générale et absolue, les spectacles de « lancer de nain ». Il s’agissait alors d’une attraction « consistant à faire lancer un nain par des spectateurs » et conduisant « à utiliser comme un projectile une personne affectée d’un handicap physique et présentée comme telle ».

Observons tout de même que cet arrêt est demeuré parfaitement isolé dans la jurisprudence administrative. En l’espèce, le Conseil d’État n’invoque d’ailleurs la notion de dignité que parce que la commune requérante a omis de s’appuyer sur le traitement inhumain et dégradant infligé aux victimes de ce spectacle cruel, moyen qui aurait permis de considérer qu’il portait atteinte à l’article 3 de la Convention Européenne des Droits de l’Homme.

Par la suite, le Conseil d’État n’y a plus fait référence de manière positive, sauf dans l’arrêt Association « Ici et Maintenant » du 9 octobre 1996. Mais dans ce cas, la notion de dignité est celle figurant dans l’article 1er de la loi du 30 septembre 1986 qui précise que la liberté de communication audiovisuelle peut être limitée pour assurer le « respect de la dignité de la personne ». Le Conseil d’État admet donc la légalité de sanctions infligées par le CSA à des stations de radio diffusant des propos racistes et antisémites. Certes, mais la sanction trouve son fondement dans la loi, et précisément il s’agit d’une sanction, c’est-à-dire d’une mesure prise après l’intervention des propos discriminatoires. Tout le contraire de l’affaire Dieudonné dans laquelle l’interdiction trouve son fondement dans une circulaire et intervient avant la tenue d’éventuels propos racistes et antisémites. En dehors de cette décision qui repose sur un fondement juridique spécifique et qui vise un régime de sanction a posteriori, la notion de dignité n’est plus invoquée par le Conseil d’État, sans doute parce qu’il ne parvient pas à en définir avec précision le contenu.

Le Conseil Constitutionnel, quant à lui, fait aussi un usage très prudent du principe de dignité de la personne humaine. Certes, il le reconnaît comme « principe à valeur constitutionnelle » dans sa décision du 27 juillet 1994. Mais il ne l’utilise que comme outil d’évaluation, par exemple pour affirmer, dans sa décision du 19 novembre 2009, que le régime disciplinaire des personnes détenues ne porte pas atteinte au principe de dignité. En tout état cause, aucune décision du Conseil Constitutionnel ne déclare une loi non conforme à la Constitution pour non-respect du principe de dignité.

En l’espèce, c’est évidemment sur la jurisprudence du Conseil d’État que s’appuie la circulaire, puisque c’est lui qui sera saisi des recours de Dieudonné. Mais l’affaire du « lancer de nain » est bien éloignée du cas Dieudonné. Dans le premier cas, il s’agit d’actes, dans le second cas d’opinions. Il s’agissait d’empêcher une atteinte physique, constitutive d’un traitement inhumain et dégradant et infligée à une personne placée dans une double situation d’infériorité. Infériorité par le handicap certainement, mais aussi infériorité liée au contrat de travail. Car les malheureux ainsi « lancés » étaient rémunérés et ne pouvaient donc se plaindre d’un tel traitement sans risquer de perdre leur emploi. Dans le cas de Dieudonné, la dignité en cause n’est pas celle de la personne donnée en spectacle, mais celle des tiers qui ont la possibilité de se défendre en saisissant le juge pénal.

De nouveau, l’interprétation donnée par la circulaire n’a qu’un bien lointain rapport avec le droit positif. La notion de dignité est perçue comme un concept-valise, dans lequel on met ce que l’on veut et que les préfets peuvent utiliser au gré de leurs besoins.

Le juge administratif va-t-il admettre la légalité d’une circulaire, et des mesures d’interdiction prises sur son fondement ? Rien n’est moins certain, car il ne peut tout de même pas manquer de voir que sa propre jurisprudence donne lieu à une sorte de création juridique sans aucun rapport avec l’habituel travail d’interprétation. Il est vrai que certains déclarent déjà qu’il est temps de changer la jurisprudence. Ce libéralisme aurait assez duré, et il serait bon de revenir à un régime de censure, pour le bien de tous évidemment. Le juge administratif va-t-il accepter cette pression ou maintenir sa position traditionnelle de protection des libertés d’expression et de réunion ? La jurisprudence Dieudonné, puisque c’est bien de cela dont il s’agit, apparaît ainsi comme un test pour le juge administratif, le moment ou jamais de témoigner de son indépendance. Celle-ci se trouve en effet mise au défi par les propos du ministre de l’intérieur et du Président de la République, que certains pourraient analyser comme des pressions à peine dissimulées.


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  • Merci, pour les precisions.

    (zut, je ne peux pas allez sur votre site, blogspot etant censure en Chine).

  • Excellent article Mme Letteron. Merci beaucoup pour ces présions.

  • Si on interdit Dieudonne, on dois aussi interdire des match de foot ?

  • Comment un conseil d’état peut-il de sa seule autorité contraindre tout le peuple français?
    C’est le conseil d’état ou le peuple qui est souverain en France?

    Il va falloir qu’on commence à se poser des vrais questions.

    Il est clair que le soit-disant bien commun dans lequel agit le gouvernement n’est le bien que de lui-même.

    Il faut aussi comprendre que la cause de Dieudonné est la nôtre, et que si il échoue, nous échouons avec lui.

  • Les analyses juridiques de Roseline sont au moins aussi vaseuses que les fondements juridiques des circulaires de Valls. Y a-t-il a un problème de sélection spécifique des professeurs de droit public à Paris IV?

  • A quand une circulaire pour interdire le pathétique spectacle de Valls et de ses copains coquins socialistes ?

  • Le Conseil Constitutionnel fait certes un usage très prudent de la notion de dignité humaine, mais il a plusieurs fois par le passé fait appel à celle plus large « d’ordre public immatériel » (sans l’énoncer en ces mots), la dernière en date étant sa décision sur la loi interdisant la dissimulation du visage sur l’espace publique (loi anti-burqa).

    Dans le domaine des lois et circulaires plus politiques et médiatiques que juridiques, nous ne sommes jamais à l’abri de rien.

  • Ce qui est frappant c’est que Dieudonné en bon démagogue qu’il est joue et jouera de la victimisation dont il est objet…Victimisation à outrance qu’il dénonce chez ses adversaires …. Valls décidément n’as pas grand chose dans le ciboulot pour tomber dans le piège .quel con (((!!!

  • Le Président Hollande et monsieur Valls n’ont pas été investis des pleins pouvoirs.
    La dernière fois que les socialistes l’ont fait, c’était pour le Maréchal Pétain.
    Monsieur Valls se trompe d’époque de façon assez misérable.

  • Il faut diviser par 2 ou 3 le nombre des ministres pour qu’ils ne se croient pas obligés de faire n’importe quoi pour justifier leur poste.

    Ca coute cher, ça sert à rien ou c’est contre-productif, ça donne une image déplorable des politiciens et du gouvernement.

  • Bravo. L’article de Madame Roseline Letteron figure désormais comme l’étalon de l’état de droit en matière de censure et de la tentation des forces politiques d’en user. On pourra désormais s’y référer sur le fond. Merci de nous avoir précisé tous ces détails qui ouvrent l’esprit des non spécialistes de la question, qui étaient déjà bien perturbés en ces temps d’hostilité politico-médiatique. Je crois qu’il faut revenir aussi un peu aux fondamentaux de l’affaire, avant et pendant le cas Dieudonné. Aux circonstances historiques dont cette embrouille politico-personnelle n’est que le climax.

    Un détail n’échappe à personne : Manuel valls est personnellement concerné par l’affaire puisqu’il est par sa femme lié à la communauté juive et défend à ce titre les intérêts catégoriels de cette communauté ainsi que ceux d’Israël en France. C’est déjà un biais tragique compte tenu de son devoir d’impartialité dans l’exercice de son Ministère. J’aurais tendance à défendre les intérêts de la communauté juive, comme celle de toute communauté minoritaire et réprimée quand celle-ci est victime, pas quand elle devient dominatrice et bourreau.

    Sur le fond idéologique et politique, il est historique de constater que la communauté juive a reçu la protection, gîte et couvert, de la part de Staline pendant l’holocauste en échange de sa conversion aux thèses marxistes- léninistes, communistes et socialistes. La conséquence aujourd’hui est qu’une grande majorité des membres de cette communauté en France sont à gauche et vomissent la droite, censée être le repère unique des survivants de l’immonde national-socialisme, alors que depuis le XIXè siècle, c’est bien la gauche qui était ontologiquement antisémite – dont l’Affaire Dreyfus est l’apogée – et qu’au grand jamais il ne fallait oublier que les trois composantes du socialisme étaient, comme l’avaient prouvé les déclarations d’Hitler, de Goebbels ainsi que le Pacte Germano-Soviétique Ribbentrop-Molotov, le national-socialisme, le socialisme et le communisme. Un universitaire français démontre récemment aussi aujourd’hui l’accointance idéologique plus que marquée entre les propositions socialistes en France et celle du Front National (plus de 60% de correspondance idéologique). De plus, il est marquant que les gauchistes déçus par la gauche libérale-sociale et parmi les plus extrémistes passent directement de l’extrême gauche, de la gauche, vers l’extrême droite, sans passer par la case centre-gauche, centre-droit, droite et leurs différentes composantes, car ils y retrouvent leur fond de commerce, Dieudonné et Alain Soral ne faisant pas exception à la règle. Il reste qu’en France toute cette communauté convertie historiquement au socialisme et au communisme par opportunité et besoin de survie, s’est retrouvée dans le giron du marxisme-léninisme et du socialo-communisme, idéologie produisant les authentiques et extraordinaires kibboutz mais aussi les méthodes staliniennes de coercition bien connues – traiter son ennemi politique de fasciste, de raciste, voir d’antisémite est la plus facile des manières de le désarçonner, voire de le tuer politiquement et professionnellement, donc socialement, en public – , méthode désormais entérinée dans les faits de la société civile par le doux euphémisme de la censure, « la pensée unique et son tribunal populaire, social et professionnel ». Tous ceux qui ne pensent donc pas « droit et conforme » (à la pensée unique), en fait tous ceux qui ne pensent pas « gauche » dans certains milieux élitistes ou artistiques, perdent tout ce qui fait leur dignité : le travail, leur femme, leur famille… Leurs revenus donc leur maison, évidemment ! Depuis 30 ans, les règles de cette composante sociologique en France éradiquent, via les associations dédiées à l’ouvrage (SOS Racisme, Licra, Crif…), toutes les pensées non conformes, tous les gens qui les colportent ou défendent des opinions différentes.

    On peut être effaré et abominablement plombé par les lectures et les visionnages des archives de ce que la communauté religieuse juive a subi dans la première partie du XXè siècle. Des amis ont vu tous leurs ancêtres disparaître dans l’holocauste programmé par Hitler et Goebbels, organisé scientifiquement par Himmler. J’ai lu cette histoire depuis mon enfance et je reste abasourdi et honteux que l’humanité ait pu produire un tel crime de masse, comme sont odieux tous les crimes de masses produits contre toutes les minorités, noires, asiatiques, américaines, arméniennes, tutsis et tant d’autres… A ce titre la communauté juive n’a aucun droit de préséance pour l’histoire même si ce crime largement propagé par les médias français et internationaux laisse à penser qu’il est le seul et le plus terrible, l’apogée du crime contre l’humanité, la référence, l’étalon du crime de masse le plus odieux. Pourquoi ne dit-on pas alors, ne montre-t-on pas alors, ou faut-il le cacher par cette communication excessive, cette accointance socialo- communiste plus que marquée avec le plus grand crime de masse jamais produit sur cette terre, le communisme et ses 100 millions de victimes, l’équivalent de 17 shoahs ? Sont-ce des hommes qui ont pu produire de telles atrocités, les autoriser, défendre les thèses idéologiques de purification ethnique qui ont produit ces crimes ?

    Par ailleurs, on ne peut pas dire « peuple juif », c’est un mensonge historique qui prendrait son origine d’une particularité génétique sachant que le particularisme sémitique n’est pas uniquement juif. On peut être effaré et abominablement plombé par ce que la communauté religieuse juive a subi dans son histoire jusqu’à l’holocauste. On peut aussi être effaré, quand on connaît de près cette communauté, par ses pratiques de sélection exclusives, communautaristes et quasi racistes par moment (ils ne sont pas les seuls à procéder de la sorte, heureusement), qui peuvent apparaître pour certains aussi radicales que les propositions de race supérieure des nationaux-socialistes sous le régime hitlérien. En fait, il apparaît que la communauté juive subit les conséquences de son aveuglement idéologique, de ségrégation sociale, raciale, religieuse, professionnelle et financière, dont la base juridique et comportementale est la Thora, texte qui commence à dater un peu, 2700 ans d’âge, et subit le retour de boomerang de son attitude souvent exclusive et séparatiste en ces temps de grand mélange mondial. Son enfermement dans l’idéologie de la pensée unique, de tous les régimes d’exception et de censure, ne procure donc alors pas de surprise car elle partage dans le fond philosophiquement tout ce qui permet d’interdire, c’est le propre de l’attitude historique de la gauche, « tout ce qui n’est pas comme nous », « tout ce qui ne pense pas comme nous ». On constatera récemment dans les faits l’interdiction par le Premier Ministre Ayrault de factions d’extrême-droite qui dans une circonstance d’échauffourées avec l’extrémisme opposé ayant provoqué un décès sans avoir voulu donner la mort volontairement (ce qu’a prouvé la justice dans l’Affaire Clément Méric) a abouti à l’interdiction de la faction qui était victime en la circonstance et de la continuation de l’association qui était la prédatrice en la circonstance. Qui a fait comprendre à toute la population en France que la violence de gauche et d’extrême gauche était tolérée et tolérable, républicaine, alors que celle de la droite et de l’extrême droite était illégale et anti-républicaine ! On a même vu à ce moment-là ces extrémistes agressifs entonner le Chant des Partisans devant l’IEP de Paris. On aura donc tout vu et tout entendu ! C’était bien le droit de la libre expression même si celle-ci était faussée, récupérée, anti-historique voire révisionniste, compte tenu de la signature du Pacte Germano Soviétique précédent (PC-PS-NS) et de la position d’Edouard Herriot, de Maurice Thorez et de George Marchais pendant la guerre.

    C’est sous cet aspect politique et sociologique qu’apparaît l’Affaire Dieudonné, qui n’est qu’un sous-produit de cette lutte entre forces antagonistes historiques sur fond de société française et mondiale. Car le cas Dieudonné dépasse dors et déjà les frontières françaises et européennes quand on voit des quenelles (même devant des « lieux de mémoire ») dénoncées par des relais de veille venant d’Israël pour faire perdre leur travail à des personnes dans le régime d’exception non juridique de la pensée unique dont on ne trouve pas trace dans les démocraties normales mais bien dans les dictatures les plus avancées. Comment peut-on perdre son travail après avoir fait un bras d’honneur, un fist-fucking basique, alors que le salut nazi, non seulement n’est pas interdit pas la loi en France, alors que ce même salut nazi est utilisé par certaines armées arabes et palestiniennes (voir les photos sur Google) ? Comment peut-on fonder juridiquement un licenciement sur un geste non interdit par la loi ? Que dire alors du « J’irai cracher sur vos tombes » de Boris Vian ? Doit-il est retiré des bibliothèques, comme le Mein Kampf, comme la Bible, la Thora et le Coran devraient l’être, pour incitation réelles et répétées, écrites noires sur blanc à la haine – raciale ? la communauté religieuse juive n’est pas une race, les races n’existant pas et le mot race enlevé d’une soixantaine de textes legislatifs en mai 2013 en France, mais pas de la DDHC en préambule de la Constitution – envers une communauté religieuse ? Le racisme continue-t-il d’exister après la suppression de ce mot dans les textes de lois ? Bientôt dans le dictionnaire ? Devra-t-on dire maintenant SOS —isme ? SOS isme(s), oui c’est bien de ce dont il s’agit, la fin des « ismes », terminaison générique des tentations totalitaires ayant abouti aux plus grands massacres !

    On se souvient aussi par ailleurs, pour être honnête et impartial, comment avaient été recyclés les anciens dignitaires nazis comme conseillers de ces mêmes régimes moyen-orientaux et africains, ce qui objectivement a de quoi inquiéter la communauté juive quand elle est confronté au racisme d’origine islamique, sans rappeler l’entente plus que cordiale entre Hitler et le Grand Mufti de Jérusalem, grand-oncle et maître à penser de Yasser Arafat . Mais faut-il éradiquer et interdire de travailler, massacrer à la bombe atomique tous ceux qui pratiquent le bras d’honneur ou le salut nazi ? Il va y avoir du monde même si le salut nazi est odieux compte tenu du précédent historique. Alors que la quenelle n’est qu’un doigt d’honneur en plus grand. Légiférer sur les gestes insultants, va falloir doubler le nombre de députés !

    On peut être effaré par les excès de Dieudonné, dont on peut rapidement comprendre aussi qu’ils trouvent leur cause dans une volonté d’éradication ancienne de sa personne dans son métier par un groupe de pression qui veut le faire taire et disparaître de la surface de la planète pour des raisons personnelles, parce qu’il a du succès sans l’aide de ce groupe de pression – un comble ou un crime quand on connaît les structures du show-business français -, pour cause de relations professionnelles dégradées ou illégales compte tenu des contrats entre les personnes, qui, si elles sont condamnables, doivent faire l’objet de plaintes et de procédures, non de diffamation par voie de médias évidemment orientés et manipulés par un groupe de pression qui a le bras long et les relais de pouvoir. Sinon, c’est d’une chasse aux sorcières sciemment organisée contre lui dont il s’agit : « Ou quand on veut tuer son chien, on dit qu’il a la rage ». Dieudonné a la rage ? Certainement ! Evidemment ! Il est noir. « C’est donc un sauvage, qu’il faut mettre en cage ! » pourrait dire la pensée unique encore bien présente ici ! Dieudonné n’est pas non plus un ange blanc poursuivi par des méchants. Ce n’est pas mon copain et je n’ai jamais été à ses spectacles, même si je le trouvais très drôle dans son association avec Elie Seimoun, association très originale et très utile pour lutter contre ce même racisme. Comme toute satire et tout comique, même ceux de Dieudonné ! Et la rage fait que le chien méchant mord, ce qu’il fait avec plus ou moins d’élégance et de virtuosité, quelque fois même de bassesse/paresse intellectuelle quand il s’acoquine avec le négationiste Faurrisson et l’extrême droite. Cela ne l’empêche pas de dire de cruelles vérités qui sont aussi bonnes à dire et à entendre (par humour mais dans un grand mélange, des raccourcis et des amalgames propres à l’humour, pas que le sien) et qui ont été désormais établies par l’histoire et les CV des personnes incriminées, ceux qui veulent interdire sa parole dans les médias et qui utilisent le système et l’oligarchie qu’ils maîtrisent pour l’abattre. Il faut aussi avoir le courage d’entendre cette part de discours et cette part de vérité par l’humour, comme celle d’Alain Soral, malgré la bêtise des thèses complotistes paranoïaques, qui hors de cet extrémisme devenu indéfendable et de cette paranoïa avancée, fait montre aussi d’une situation psychologique tragique de personnes acculées, pourchassées, anéanties par un système qui veut leur peau, pour l’unique raison qu’ils ne pensent pas comme tout le monde, comme la minorité agissante et possédante, comme l’oligarchie au pouvoir. Pour laquelle il faut obtenir l’aide du bras puissant et séculier de l’Etat de droit qui devrait être opposable à tous, à des intérêts particuliers de toute nature, par tous les moyens les plus bas et les plus vils jusqu’à un juridisme de pacotille comme le démontre cet article. On en est à la tentative de mise sous séquestre de ses biens et d’enquête pour blanchiment d’argent. Ben voyons ! Pourquoi-pas ? Pourquoi pas avant, si cela est avéré ? Les services de Tracfin ont-ils manqué de professionnalisme ? Compte tenu de leurs moyens associés à ceux du Boulevard Mortier et d’Internet désormais, c’est grave ! Ou est-ce un soudain intérêt motivé par la nécessité de le faire taire ? Comme pour Coluche, dont on a assassiné l’impresario en d’autres temps, à qui on envoie ou on a envoyé la grosse artillerie fiscale pour des motifs plus ou moins avouables, afin de les faire taire et permettre de poursuivre les basses oeuvres de groupes de pression puissants dont seuls comptent les intérêts particuliers et financiers, les moyens pour les obtenir même par la corruption d’un Etat de droit, par l’entrisme, par le mécanisme cher aux sectes et aux groupes de pression. On a bien interdit l’accès à l’Etat pour la Scientologie, à juste titre, pourquoi pas les autres ?

    Il est aussi vrai qu’aujourd’hui les dénommés Victor Hugo, Jules Ferry, Léon Blum (membre d’un Front Populaire qui a voté les pleins pouvoirs à Pétain et associé de fait au Pacte Germano-Soviétique, et oui !), et plus récemment Coluche, Desproges, Le Luron, seraient inculpés pour incitation à la haine raciale et trouble à l’ordre public. Mais qui trouble l’ordre public depuis le 6 mai 2012 ? N’est-ce pas ceux qui sont au pouvoir par leur idéologie criminelle, totalitaire et antisociale… mais de violence légale souveraine ? N’oublions pas que le communisme et ses 100 millions de victimes sont toujours les associés objectifs de cette gauche qui gouverne actuellement la France. Comment est-ce possible ? Comment tolérerait-on un parti nazi (interdit à juste titre par la loi en France) si celui-ci était associé de manière objective à un parti de gouvernement à l’heure actuelle dans le monde entier ? Et bien le parti communiste l’a fait, a réussi à le faire, avec l’aide d’anciennes victimes bien réelles. Celles de l’immonde Shoah. A réussi à se faire passer pour un parti présentable, utile, démocratique et tolérant, grâce à eux. Nul besoin de chercher dans le show-business les anciens ou actuels activistes d’extrême gauche ! Il fallait le dire. Par ailleurs, un de leurs représentants actuels a fait montre récemment de son antisémitisme radical à l’encontre un membre éminent du gouvernement socialiste. Rassurons-nous, il revenait juste aux fondamentaux de son idéologie.

    Tout cela est-ce l’idée qu’on se fait d’une République impartiale et irréprochable ?

    Par ailleurs les victimes d’une autre époque ne sont-ils pas devenus les bourreaux d’aujourd’hui en Palestine, même s’ils avaient droit à un Etat, une terre, de manière évidente ? Il faut aussi se poser la question sans tomber dans les positions extrémistes et les volontés d’extermination proposées par certains drapeaux portés par des criminels notoires en puissance, des apologistes d’une nouvelle Shoah. Bien que la lutte soit à nouveau sur le terrain international et légal, bien que la lutte (même par la guerre) soit toujours aussi une question de survie pour tous, pas que pour les minorités agissantes et dominantes, il faut aussi avoir le courage de regarder les choses en face. L’auto-défense ne peut justifier les crimes à l’inverse.

    Quant à la France, ici désormais on se croirait dans une République bananière à l’état de délabrement avancé, quand une oligarchie et une minorité imposent leurs lois, leurs procédures, leurs produits, ce qu’il faut penser ou pas, ce qu’il faut dire ou pas, ce qu’il faut faire ou pas. On arrête et on met en prison des personnes qui revendiquent une position traditionnelle de la famille, arborant un tee-shirt rose avec père, mère et enfants – la base de la société quand même ! Quoi de plus pacifiste comme revendication ? – au mépris même de la loi via des arrestations arbitraires (Art 122-4 et 432-4 du Code Civil), et l’on autorise les tee-shirts et les posters d’authentiques criminels ayant exterminé leurs opposants à Cuba par une balle à l’arrière du crâne sans autre forme de procès ! On autorise aussi des positions de pouvoir, aujourd’hui même, au sommet de l’Europe à des hommes politiques ayant défendu le maoïsme responsable de plus de 50 millions de morts ! Notre époque marche assurément sur la tête.

    On va m’accuser de ne pas vouloir choisir mon camp. Si, je choisis mon camp ! Qui est celui de la France, de la liberté et de l’Europe, au nom de ce qu’elle devraient être et qui ne devraient pas être utilisées par les minorités, quelles qu’elles soient, comme lieu, témoin et tremplin pour résoudre les conflits inhérents à leur histoire personnelle et celle collective de leurs origines nationales ou religieuses. Si vous voulez mettre à feu et à sang la planète, je vous en prie, restez chez vous ou rentrez chez vous pour accomplir vos besognes et si vous voulez venir ou rester habiter chez nous, venez-y avec des intentions pacifiques et de tolérance, d’équité et de justice. La France n’est ni responsable de tous les malheurs du monde, même si elle a et a eu sa part, ni le lieu d’expression de leurs revendications exclusives et particulières. Il y a l’ONU pour ce faire.

    On crachait sur l’ancien Président. Ce que nous montre ce régime est souvent bien pire.
    Entre les quenelles et les mensonges d’état, qui sont les pires ?
    On le savait avant d’y avoir droit.
    Le socialisme est égal à lui-même.
    Cela n’étonne plus personne.

    • Bravo, tout y est.Je suis 1000% d’accord avec votre analyse.

    • Si on résume le tout Valls et Dieudonné sont des Nihillistes compulsifs,d’ incurables idéologues bouffés par leurs ressentiments respectifs et ourdis par la vengeance la plus primitive….

    • Je n’ai pas réussi à lire jusqu’à la fin… quel gloubi-boulga ! Y’a des choses justes, mais faut s’accrocher.

      • Moi même je m’y perd, c’est de l’humour. Il fallait prendre cela au 2nd degré.

        Je préfère sincèrement et très nettement votre concision pour parler de choses vastes et complexes, qui trouvent lerus origines dans une histoire profonde. Je vous ai épargné les fondamentaux historiques entre catholiques et juifs qui trouvent leur origine dans le crime de déïcide en la personne du Christ, qui possédait à l’époque, si l’on peut s’exprimer ainsi, « la double nationalité ». Ainsi que le shisme entre Moïse et Aaon et les adorateurs du Veau d’Or (qui détermine encore le shisme intra communautaire). Ainsi que le meurtre de Caïn par Abel. De la descendance des fils d’esclaves et de maîtres, qui forme la base religieuse du conflit israélo-palestinien. Soyez-en heureux !

    • Excellent, vous devriez faire un article.

    • Moi aussi +100
      Excélent

      • Merci à vous. Non je n’ai pas de blog. Dans ces histoires, l’honnêteté et la parole libre vous propulsent rapidement dans la liste des demandeurs d’emplois et des ostracisés, traitement qu’ont dû subir de nombreux auteurs qui ont voulu rappeler ces faits de manière impartiale, ce qui déplaît forcément souverainement aux groupes de pression. Je vous conseille de lire « Le livre noir de la gauche, colonialisme , antisémitisme, collaboration, pédophilie, affairisme… » et aussi de réécouter l’inoxydable chanson de Guy Béart « La vérité » et sa phrase historique « le premier qui dit la vérité, il doit être exécuté », phrase qui est dans l’histoire de Dieudonné malgré ses excès parfois insupportables, l’origine de son procès en sorcellerie. Dieudonné est dans l’excès et la caricature, parfois l’infamie, c’est le propre de l’humour. Il faut lire l’humour communautaire sur les chambres à gaz pour s’en convaincre, l’humour contre les gros, les moches, les handicapés, les blondes, les cons, les noirs, les jaunes, les belges, les bègues, les nabots… Le racisme est ontolgique à la nature humaine. Vouloir l’interdire par des lois mémorielles ou des procès pour révisionnisme est idiot et improductif, d’autant plus quand ces lois sont de notoriété publique inconstitutionnelles. Pour supprimer le racisme, il faudrait éliminer la population mondiale, les juifs eux-mêmes n’étant pas en reste. Ces lois, proposées de plus par un communiste issu d’un parti historiquement associé au plus grand crime contre l’humanité du XXè siècle et de l’histoire, est une parodie de légalisme. Est une manière à peine voilée pour un groupe de pression pour imposer sa dictature morale, préambule d’une dictature plus puissante encore qui ne cache même plus ses intentions, dans un pays plus que tolérant, avec les moyens qu’offre la technologie actuelle pour traquer les déviants et les non conformes à la doxa dominante. Je peux même vous assurer que mes propos libres peuvent être rapidement tracés et permettre aux autorités compétentes de remonter jusqu’à moi, pour faire pression sur moi. Je reçois en ce moment même de nombreux émails frauduleux sur mes comptes. Est-ce un hasard ? Je n’ai pas les moyens de le prouver mais je m’interroge. Sommes-nous encore en démocratie ? De nombreux articles, même sur ce site, commencent à se poser la question, d’une manière très sérieuse. Moi aussi ! Le débat hier soir sur C dans l’air montrait, de la part d’une magistrate très pointue dans le domaine, Evelyne Sire-Marin, les mêmes inquiétudes suite à la décision expresse hier soir du Conseil d’Etat. « Un précédent historique » disait-elle !

    • Oui à cette lecture et à cette analyse, juste un petit point de désaccord :
      le pouvoir tend « naturellement » à se concentrer quelque soit sa nature et souvent pour le pire. Mais on ne peut pas accuser aujourd’hui un communiste d’être responsable des épurations soviétiques, chinoises etc ni un nazi actuel d’avoir exterminé les juifs. La différence entre ces deux et que l’un en a honte, pas l’autre.

      La démocratie est une lutte mais plus personne ne s’en souvient…

      • « Mais on ne peut pas accuser aujourd’hui un communiste d’être responsable des épurations soviétiques, chinoises etc ni un nazi actuel d’avoir exterminé les juifs. »

        Je suis désolé de n’être pas d’accord avec vous. Je m’explique. Les deux idéologies ont montré, suite aux études universitaires effectuées depuis, malgré le peu de recul pou le communisme, que le crime était consubstantiel à ces idéologies. L’interdiction de l’idéologie nazie comme de son expression partisane a été actée dans tous les pays démocratiques du monde (OCDE). Celle du communisme, non. En effet, l’une comme l’autre professent l’avènement d’un « homme nouveau », transformé de gré ou de force, dans tous les aspects sociaux et comportementaux, idéologiques et artistiques, ce qui met les opposants à cette doctrine immédiatement dans la case des populations à éliminer. La théorie du genre n’échappant pas à la règle, étant l’une des branches de cette transformation idéologique et obligatoire. La liste est longue, comme vous le savez des populations non-conformes à cette idéologie de « l’homme nouveau » et qui ont été éradiquées de manière physique. Les socialistes d’aujourd’hui, dans la théorie du genre comme dans toutes leurs actions et démarches, continuant cette hérésie criminelle avec la conscience de ceux qui pensent oeuvrer pour l’avenir et le progrès de l’humanité. Malgré le fait que la régression et le crime de masse soient toujours au bout du chemin. Le communisme et le socialisme sont interdits constitionnellement aux USA et au Canada. Malgré les dérives que connaissent ces pays dans beaucoup de domaines, la population mondiale sait, il suffit de voir les demandes d’immigration, qu’ils sont les territoires où s’exprime la plus grande liberté. Compte tenu des crimes du communisme, celui-ci, en tant que berceau idéologique avéré de cette propension criminelle de masse avérée par l’histoire, devrait être interdit constitutionnellement, comme le socialisme et le national socialisme.

        « La différence entre ces deux et que l’un en a honte, pas l’autre. » Le communiste se dédouane de sa responsabilité avec les 100 millions de morts en pensant qu’il n’est pas responsable de ce crime de masse et que c’est la seule perversion de l’idéologie incarnée par Staline qui a permis ces horreurs. Non, l’histoire montre dès le début de l’ère bolchevique le début des carnages et de l’élimination massive des opposants. L’éradication des koulaks commence à la fin des années 20, lors du premier plan quinquennal (1928-1932). L’histoire montre aussi la composition sociologique religieuse des premiers groupes révolutionnaires de 1917 parmi l’élite de ce soulèvement, que ce soit parmi les financiers New-Yorkais ou les acteurs principaux. La grande majorité sont des talmudistes, éliminés, il est vrai, plus tard par Staline. La théorie de « l’homme supérieur et nouveau » était déjà en marche. La logique idéologique initiale était aussi cohérente avec la théorie du peuple élu, du peuple ou de la race supérieure, à Moscou comme à Berlin. Malheureusement, tout le monde s’en revendiquant, les joueurs de ce jeu « c’est moi la race supérieure » se sont tous pris le boomerang dans la figure. Les médias et le pouvoir français montrent aujourd’hui la même tendance. Les conséquences psychosociologiques sont identiques. Eradication des opposants. Radicalisation des rapports communautaires. Mèches de guerres civiles potentielles toutes allumées. Voltaire conclut : « Si tu veux voir qui a le pouvoir, cherche le chez ceux dont on ne peut pas parler. »

        • « c’est la seule perversion de l’idéologie incarnée par Staline qui a permis ces horreurs. Non, l’histoire montre dès le début de l’ère bolchevique le début des carnages et de l’élimination massive des opposants. » idem pour Mao, Pol Pot, Castro, Chavez, Corée du Nord, etc…

          • On peut même se demander si dans la tête des talmudistes présents dans le premier groupe responsable de la révolution d’Octobre n’avait pas déjà germé la volonté sioniste de créer en Russie l’Etat sioniste dont ils rêvaient tous en cachette ? Certains chercheurs émettent la thèse que c’est à des fins commerciales que les banquiers New-Yorkais ont financé la Révolution d’Octobre, pour ouvrir un nouveau marché libre à l’Est, malgré le fait que les échanges commerciaux avec la Russie tsariste étaient déjà emprunts de beaucoup de libéralités avec l’Occident. Néanmoins, il faut plus pencher, pour justifier cet investissement massif dans la Révolution d’Octobre d’une diaspora américaine riche et de représentants avérés de l’église talmudiste vers la thèse du potentiel état sioniste idéalisé en ces terres, peut-être plus vers le sud, vers l’Ukraine – peut-être la justification profonde de l’élimination des 5 millions de Koulaks par la famine et les massacres – ou la Mer Noire, ce qui aurait rapproché les populations de la terre promise, dans un premier temps. Mais ce n’est qu’une hypothèse non vérifiée car elle est de l’ordre de la psychanalyse a posteriori, donc non vérifiable.
            .

  • Dieudonné a gagné devant le tribunal administratif. Mais il est prévu que le harcèlement continue, inpunément, même si l’erreur de droit positif est évidente. Il est à noter que le président du Conseil constitutionnel a dénoncé le mépris conscient du droit positif par les politiques. Dieudonné n’inspire pas forcément la sympathie chez les libéraux mais le gouvernement utilise aussi tous les moyens disponibles contre l’ensemble des opposants.

  • 1 – j parie que le juge va se coucher.
    2 – pendant ce temps, les vrai problèmes.. chômage, non-compétitivité…
    C’est Leonarda bis..

  • Et là on vient d’apprendre que la circulaire est en quelque sorte rejetée et le spectacle autorisé !
    http://www.magtuttifrutti.com/article-vous-avez-dit-discriminations-au-passe-au-present-et-au-futur-121982105.html

  • Le Conseil d’Etat est saisi en urgence.

  • valls , c’est le pitt bull humain du ps ; quand il est en colère et que la haine lui brule les entrailles , il a les yeux qui lui sortent de la tête et les oreilles toute rouge ; sur la photo il doit être dans une phase de calme ;

  • en tous les cas cette analyse est confirmée par la décision du TA en début d’après midi, je doute que le Conseil d’Etat saisi en urgence ( ce qui est une procédure anormale) invalide la décision du TA. Valls s’est planté, voir d’ailleurs la réaction de la LDH qui estime que le ministre a fait une erreur grossière ……

    le fait que le spectacle se déroule dans la ville de Zayrault explique cet acharnement ….

  • Dieudonné fait des blagues de mauvais gout sur les Juifs et la Shoah, il a l’Etat qui cherche à le détruire juridiquement.
    Shevchenko détruit une croix à la mémoire des victimes du communisme et devient la Marianne sur les timbres…

    Encore une fois, les socialauds considèrent qu’il est plus moral de se faire exterminer sous Staline que sous Hitler…

  • Merci à Madame Letteron.

    Quelqu’un pourra-t-il m’expliquer comment il est possible de dire dans la même phrase :
    Etre contre le racisme et l’anti-sémitisme ?

    N’est pas comme si je disais que je suis contre la grossièreté et tout ces putains d’injures de merde ?

    • Peut-être parce que l’antisémitisme est une forme particulière de racisme…

      Le racisme est un jugement de valeur entre les diverses races poussant par exemple à préférer travailler avec un blanc plutôt qu’un noir, à réduire les individus aux races auxquelles ils appartiennent.

      L’antisémitisme est la haine du juif qui n’est pas considéré comme inférieur, mais est le bouc émissaire historique, accusé de tous les maux du monde, des épidémies, des crises, de l’accaparement, de l’endettement, de la mort du Christ, de conspiration pour imposer un ordre mondial…

      • Il ne peut y avoir une forme particulière de racisme que s’il y a une race particulière, ce qui est une négation du premier terme.

        Chaque racisme vise une communauté : tutsi, chinois, tibétains, amérindiens, breton, arabes, japonais (les fourmis jaunes de notre ancien premier ministre) …

        Je vous remercie pour votre tentative de réponse, mais elle ne m’a pas convaincu.

        • Ah oui ? Breton c’est une « race » ?

          Reformulez un peu : chaque racisme vise… une race. Là, ça va mieux.

          Ainsi, ne pas aimer l’islam, n’est pas du « racisme ».

          Je sais bien que dans le gloubiboulga mental général… le « racisme » est consommé à toutes les sauces… mais quand même…

          Anyway. La décision (???) expresse du Conseil d’Etat est proprement stupéfiante.

          On n’aime pas le résultat ? Alors, pouf, il suffit de changer les règles.

          Voilà le résultat de la « république apaisée » de Hollande et de ses complices.

          Le Catalan est totalement hystérique. C’est vertigineux.

          • Dire que Breton est une race à autant de sens que dire que Juif ou Chinois est une race, ou que teckel ou caniche. Le terme de race a été définie pour tenter de décrire des groupes d’etres vivants. Il est maintenant scientifiquement acquis que cette distinction n’a aucun sens et n’apporte aucune précision scientifique pour une quelconque classification. Il n’existe aucune frontière séparant ces prétendues races.

            Continuer d’utiliser ce terme est aussi stupide que de parler de classes sociales.

            • Tellement politiquement correct… La race, ça n’existe pas, la race, ça ne concerne que les chiens…

              Vous vous basez donc sur les définitions « scientifiquement » conçues (comme le marxisme est une organisation scientifique de la société) par des institutions officielles dans le but très politiquement correct de se débarrasser du sens commun des mots… C’est sur que si vous parlez le novlangue, on va avoir du mal à débattre…
              La langue est un support des idées, afin de communiquer ce que l’on conçoit. Un mot existerait alors que son essence n’existerait pas ? Ce sont des « scientifiques » qui l’ont dit ?
              La réalité n’existe pas ?

              Personnellement, je pense qu’il vaut mieux parler la langue vivante et commune que la langue officielle imposée par le parti pour des motivations non neutres…
              La race est un terme qui signifie à l’origine — c-a-d avant que son usage ne soit proscrit — la culture, la nation, l’ethnie, la communauté… Ainsi, au XIX siècle, on parlait de race Française, de race Juive, de race chrétienne…

            • Utiliser le terme de race est totalement anti-libéral car il signifie que les individu ne sont déterminés que par le groupe auquels ils appartiennent. Quant à moi, je pense que chaque individu est une entité à part entière et qu’il n’y a aucun déterminisme racial.

              Les marxistes au contraire, pensent que les hommes n’existent qu’en tant que membres d’un groupe, d’une « classe ». C’est bien là qu’est la pseudo science, dans la définition de race ou de classe.

            • Vous êtes scientifique ? le problème de l’existence des races humaines est un problème culturel et moral pas scientifique…. Pour la science les races existent en fonction de caractéristiques de groupes d’individus même si maintenant on évite évidement de l’employer pour l’humain vu que ça poserait un problème « moral » le mot étant trés mal connoté.
              On parle d’ethnie ou d’autres mais comme on parle d’hôtesses de caisse pour les caissières de supermarché…
              Entre un pygmé et un norvégien … deux humains différents du même genre (humain) et de …. différentes. Je ne vois pas ce qu’il y a de choquant sachant que les deux sont aussi évolués et adaptés à leur milieu. Ca dérange qui ? Les imbéciles qui pour passer leur honte d’avoir classé les races et les cultures en terme de valeurs (socialistes en tête) croient que tout le monde pensent comme eux et donc maintenant se rachète une virginité… dans le genre hypocrite…

              Alors pour les classes sociales idem que pour les races , c’est pas parcequ’on a du mal moralement à les concevoir qu’elles n’existent pas…

              ET pour vous éclairer un peu et répondre à une de vos intervention au dessous « allons voir ce qu’ils ont fait de ce qu’on a fait d’eux » J.P. SARTRE (entre déterminisme et liberté) car enfin dire que l’homme n’est pas ce qu’on a fait de lui, c’est la plus grosse énormité que j’ai lu depuis longtemps. Posez vous la question de l’existence par exemple de différentes cultures, religions etc et de leurs récurrences sociales … Souvent la liberté donc les choix sont bien minces…

          • Je trouve que clouer le bec à ce grand malade mental de Dieudo est effectivement un apaisement.

        • « Il ne peut y avoir une forme particulière de racisme que s’il y a une race particulière, ce qui est une négation du premier terme. »

          Pourquoi ?

          « Chaque racisme vise une communauté »

          Je pensais que ça visait les bébés chats…

  • Aujourd’hui, 9 janvier 2014, à 18h30, nous venons d’entrer dans un régime faschiste, un régime de répression de la pensée et d’accusations arbitraires d’actes qu’on pourrait commettre.

    Selon la phrase célèbre de Voltaire, « Meme si je ne suis pas d’accord avec vous je me battrai jusqu’au bout … »

    Il est urgent de faire une petition pour défendre les droits de Dieudonné, et d’exiger la démission de M. Valls pour abus de pouvoir.

  • Le conseil d’Etat infirme l’ordonnance du TA de Nantes. Faut croire que madame letteron a un peu trop confiance dans la justice de son pays, et que les juifs sont plus égaux que les autres.

    • Je crois que les juifs ne sont plus vraiment concernés. Ils sont instrumentalisés, par une clique, dans un objectif politique précis.

      Car enfin, mettez-vous à la place -politique- de Hollande et de ses complices.

      Il y a les élections municipales en mars, suivies par les européennes.

      Pourquoi à 3 mois du scrutin, provoquer un tel bordel ? Un tel barnum ? Et pas une fois, non à répétition (on ne parle que de cela depuis noel), en mobilisant tout l’appareil d’état mafieux, les médias, avec une hystérie qui dépasse l’entendement, et qui choque profondément de nombreuses personnes ?

      Pourquoi ?

      Sachant que mécaniquement… une telle opération leur ferait perdre des voies !

      Les voies par exemple des jeunes beurs dans les banlieues, les mêmes qu’ils ont poussés à s’inscrire sur les listes électorales. Les voies des gauchistes « libertaires », etc.

      Bref, ça n’a aucun sens.

      Voici une théorie :
      -sachant les élections perdues, craignant une claque énorme, alors Hollande joue son va-tout
      -c’est à dire la création d’une situation de conflit, qui dégénèrera, avec des manifs, des attaques, des morts éventuellement, bref une bouffée de haine très forte

      -devant une telle violence, la masse serait alors tentée de voter « légitime », « ordre », c’est à dire pouvoir en place.

      -la masse du « peuple de gôche » qui aurait normalement choisi… l’abstention (pour punir Hollande) irait voter « légitime » afin de « faire barrage à l’extrême-droite » (vous connaissez la musique)

      -ce qui permettrait à Hollande d’éviter un désastre, même si c’est au prix d’une casse du tissu national, en la jouant « père rassembleur protecteur »

      C’est tordu, c’est vicelard, mais voyez vous une autre explication rationnelle, au déferlement irrationnel provoqué depuis noël ?

      • Jusqu’aux élections il y aura encore deux ou trois « tarte a la crème » de ce style.
        Ce qu’ils veulent c’est tout simplement d’éviter de se « concentrer » sur les vrais problèmes.
        Hollande n’a pas ce niveau cela dit en passant. Ni lui, ni sa clique

      • Le scénario d’un chaos controlé devenant vite incontrolable ,avec cette bande de branquignoles au pouvoir qui tire a hue et à dia ça va vite devenir très dangereux pour Hollande . A moins que Valls soit un factieux de type neo cons asservit a un parti de l’étranger et provoquant une résurrection de la grande nation ils auraient tout à perdre vos socs ..Mais ils sont tellement démocratiquement ethno centrés que rien n’est impossible vu leurs velléités à user d’un vocabulaire datant de la seconde guerre mondiale

      • Entièrement d’accord avec votre analyse.
        Malheureusement pour la gauche, il n’y a pas eu de trouble à l’ordre public, et le pari vicieux de Valls risque de se retourner contre lui.
        De plus, beaucoup de braves gens sont choqués par son agressivité, que ce soit aujourd’hui face à Dieudo, ou il y a peu face aux manifs anti mariage homo…
        Un dernier point qui n’a pas grand chose à voir: en tant que français juif, je me dissocie TOTALEMENT du CRIF et de la LICRA qui ne vivent que d’un antisémitisme fantasmé, et je leur dis NOT IN MY NAME, vous ne me représentez pas…
        Et puisque je suis en forme, je discutais avec un collègue qui a un nom à particule, et nous étions d’accord pour reconnaître que lui avait souvent été brimé pour son nom, et moi absolument jamais…

      • Entierement d’accord, j’en suis arrive a la meme conclusion.

      • Hollande a déjà l’UMP avec lui, comme c’était le cas lors de la loi de programmation militaire, la loi anti-Amazon – pour ne parler que des lois les + récentes.

      • Hihi ; il me vient une question en réponse : qui est le plus irrationnel ?

        Nous avons tord de croire à la rationnalité de nos décideurs; ils ne le sont pas. Le calcul n’est pas la raison.

  • quand on connait un minimum le cursus de m’bala, on en vient à penser, qu’aprés avoir craché sur les juifs, il crachera sur les occidentaux dans leur ensemble, et sur les libéraux en particulier.
    je ne vais pas lever le petit doigt pour défendre ce zozo et la troupe de femmes voilées et de barbus qui va voir ses  » spectacles « .
    tient bon manuel !!

    • Petite tirade islamophobe assez vulgaire.
      En rentrant d’un de ses spectacles, (tout admirateur de Rothbard et de Mises que je suis), ma femme m’a demandé à quoi ressemblait son public. Réponse : le métro à l’heure de pointe…
      Arrêtez donc de fantasmer sur des barbus imaginaires, et battez vous pour la liberté d’expression qui n’a ni barbe ni voile, et qui est carrément mise à mal par l’état socialiste.
      Et pour paraphraser Maurras : l’etat gouverne mal mais se défend bien.

  • On va interdire les spectacles de Dieudonné !
    Ceux de Bhl et de Noah, c’est pas la peine !

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