Violences policières ≠ Violences de policiers
Si « violences policières » s’est progressivement substitué au terme « bavure » autrefois utilisé, « violences policières » est différent de « violences de policiers ». Analyse.
Si « violences policières » s’est progressivement substitué au terme « bavure » autrefois utilisé, « violences policières » est différent de « violences de policiers ». Analyse.
OPINION : les manifs n’intéressent personne si elles se déroulent dans le calme, mais elles font la Une de tous les médias avec des violences. Merci les black-blocs.
Le gouvernement devrait concentrer ses efforts sur le renforcement et la formation des forces de l’ordre plutôt que de mettre le feu à l’économie et à la société au nom d’une urgence sanitaire.
Les policiers ont été transformés en chair à canon d’une politique de sécurité publique qui englobe quasiment tout : de la circulation routière au nombre de personnes assises à la table des restaurants.
L’État n’a pas à vendre des vignettes auto, contrôler le prix des masques, se faire assureur ou encore diététicien. Sa raison d’être, c’est protéger et faire respecter la justice et la propriété.
Hier, aujourd’hui et demain, les voyous bottés ont tort, que nous soyons du même bord que ceux qui trinquent, ou pas.
Prétendre que la France serait un foyer de racisme qui se ferait au moyen de la violence policière et de discriminations institutionnelles est une imposture de la pire espèce.
La saisie récente du gouvernement contre les violences policières suite aux manifestations en soutien à Adama Traoré révèle la duplicité des élites concernant le traitement des violences policières, et des injustices en général.
Dans un État de droit, on ne confond pas ce qui est juste et ce qui est légal, ce qui est administrativement et procéduralement correct.
Si une question est définie en bien ou mal, elle devient existentielle, et le compromis n’est plus possible.
Les contacts entre populations et police locale ont changé en quelques décennies, et les défenseurs des droits de l’Homme dénoncent depuis des décennies la militarisation des forces de l’ordre.
La solution pour mettre fin à la brutalité policière repose, en grande partie, sur la police elle-même, depuis la haute direction au simple employé au bureau de l'accusation.
La crise des Gilets jaunes a accéléré la transformation des pouvoirs publics en État de surveillance, et peut-être faudra-t-il compter à l’avenir sur l’Union européenne pour ralentir le mouvement du tout répressif.
La police cherche désormais à intimider les citoyens.
Une vidéo montre un collaborateur du président frappant un manifestant. Comment représenter l'état de droit après ce débordement de violence toléré au sommet de l'État ?
Après un an de procès, et le changement à la tête de l’exécutif, l’affaire Théo suscite deux questions sur la nécessité de préserver la justice de la politisation.
« Violence » est le mot le plus galvaudé du moment… et le plus révélateur d’une société de confusion absolue.
Le tract controversé de la CGT sur les violences policières met la centrale syndicale à la Une des médias.
Quel avenir pour le Liberland, ce nouveau micro-État libéral ?
Le procureur de l’État de Baltimore a déposé une série d’accusations contre six policiers pour la mort de l’Afro-Américain Freddie Gray.