Anonymat sur les réseaux sociaux : le faux débat
L’anonymat sur la toile n’étant majoritairement qu’une Arlésienne, longue vie au PseudoAnonymat et fin de ce faux débat.
L’anonymat sur la toile n’étant majoritairement qu’une Arlésienne, longue vie au PseudoAnonymat et fin de ce faux débat.
La liberté d’expression n’est pas seulement une nécessité pour faire vivre la démocratie et un principe libéral fondamental. Elle reste aussi le meilleur argument de vente pour des médias sociaux.
Pourquoi devrait-on forcer des individus privés à diffuser ou sponsoriser des idées qu’ils trouvent répugnantes ?
Être en ligne, bien-être en ligne et savoir devenir en ligne, en toute connaissance de ses droits et responsabilités : les trois gestes barrières numériques à appliquer sur les réseaux.
OPINION : nous sommes submergés d’informations diverses, d’une qualité variable. Dans ce cadre général, la manipulation de l’opinion a particulièrement retenu l’attention ces dernières années.
Twitter, Facebook et les autres creusent actuellement leur tombe à chaque billet censuré, chaque utilisateur banni pour des raisons ou des règles futiles de plus en plus farfelues et idéologiquement teintées.
Un ouvrage de réflexion parfaitement bienvenu, sur un sujet plus que jamais d’actualité.
Les réseaux sociaux n’ont pas tous les torts. Ils ont permis de libérer la parole. Cependant, ils n’ont pas su se protéger d’un nouveau totalitarisme : la cancel culture.
Les travers de TikTok mis en évidence par Donald Trump changeraient simplement de mains en cas de vente forcée de l'application à Oracle.
Si le développement de la cancel culture peut inquiéter c’est que, sous couvert de l’édification d’un monde meilleur, la fin justifie les moyens.
Les hyperconnectés qui sont à fond sur les réseaux sont moins au courant des informations politiques, et plus au courant des théories du complot.
La résistance de Twitter, Facebook et Google contre les prétentions des communistes chinois à surveiller leurs utilisateurs représentent un bastion de la liberté face aux exigences d’un État despotique.
Les réseaux sociaux assument une sorte de cinquième pouvoir « brut », à côté de celui des médias et de la presse traditionnels.
La méthode TikTok » n'est-elle pas une façon sans violence et subreptice, d’imposer une certaine vision du monde à l’Occident ?
Je suis inquiet pour les libertés fondamentales, ce qui me rend de moins en moins populaires auprès de certains sur les réseaux sociaux...
Si le nombre d’utilisateurs continue d’être extrêmement élevé dans le monde, c’est que Facebook répond à un besoin qu’on a tendance à minorer pour ne retenir que ses aspects problématiques.
Et si les réseaux sociaux étaient le meilleur moyen de lutter contre le coronavirus ?
À l’occasion de l’épidémie du coronavirus Olivier Véran a osé dire que la limitation de la liberté d’expression a été en Chine un élément positif pour endiguer la contagion.
Avec l'affaire Griveaux, les politiciens se mettent à craindre pour leur vie privée... après avoir fait voter des lois qui permettent justement d'espionner celle de leurs administrés. Paradoxal.
Nous donnons une fois de plus le pouvoir aux algorithmes de s’ériger en juges de la liberté d’expression pour limiter et contrôler nos vies.